Chacunes De Nos Perceptions Sartre

Filozofická fakulta Masarykovy univerzity Ústav románských jazyk a literatur Les éléments existentialistes dans les pièces de Jean-Paul Sartre Les Mouches et Huis Clos Bakalářská diplomová práce Svatava Postůvková Vedoucí práce PhDr. Petr Dytrt, Ph.D. Duben 2009 2 Prohlašuji, že jsem tuto Závěrečnou bakalářskou diplomovou práci vypracovala samostatně a použila jsem pouze uvedenou literaturu. Zároveň prohlašuji, že elektronická verze Závěrečné bakalářské práce je shodná s verzí tištěnou

en nous, dans la nature de l'individu, dans les génes. Communication animale n'est jamais un dialogue. Pas d'échanges entre individus. Instinct : adaptation naturelle de l'organisme à la nature. L'enrichissement du vocabulaire étoffe notre perception de la réalité. Ex: les Inuits ont 30 mots pour définir les nuances du blanc. Ils en captent donc autant. Le langage permet de constituer 1 monde commun. Benveniste oppose une réponse linguistique à une conduite corporelle. (donc le langage humain

être pensant, c'est-à-dire de soi, et notamment de sa conscience. La conscience étant l’essence principale de l’Homme, il n’existe qu’à travers elle. Si notre conscience nous trompait, l’Homme serait dès à présent une absurdité dénuée de tout sens. Sartre parle également de la conscience intentionnelle, elle n’est alors pour le coup pas réfléchi, elle s’impose et existe par elle-même, elle arrive de façon spontanée, appropriée au cadre qui nous entoure, elle ne dispose dès lors que d’un intervalle

d’attention, l’origine de mes actes. Ne s’aveugle-t-on pas toujours consciemment sur les causes de nos actions ? Faut-il réellement admettre alors l’existence d’un inconscient séparé ? Ou bien ne faut-il pas plutôt le qualifier, comme le fait Jean-paul Sartre, de conscience obscure ou de pré-conscience afin de ne pas déresponsabiliser les hommes ? L’altérité radicale en moi : la possession. Altérité : (non-identité) caractère de ce qui est autre. Dans les croyances magiques de la plupart des peuples

Travail de Maturité Français et philosophie Existentialisme et regard d’autrui chez Jean-Paul Sartre Antoine Verburgh, 3M5 Gymnase Auguste Piccard 12 novembre 2007 Maître responsable : Samia Ryser-Abdo Résumé du travail Jean-Paul Sartre (1905-1980) a présenté à travers ses romans et ses pièces une philosophie de l’existentialisme concrète et engagée. Le principe de base de cette pensée, tel qu’il est expliqué dans sa conférence l’Existentialisme est un humanisme, est que rien, ni Dieu

méditation métaphysique, ( §11/12/13. Episode dans lequel il a constaté qu’il connait l’existence du morceau de cire par la seule inspection de  « l’esprit » - entendement -, mais que la perception est incapable de lui fournir une connaissance certaine de la nature du morceau de cire – même dans la 6eme méditation la perception fournira une expresse, sans certitude), qu’il traite le cas d’autrui sous la forme « des hommes qui passent dans la rue » : «  je juge  que ce sont de vrais hommes » (et non pas des

savoir s'il y a une identité stable et continue .peut-on définir notre moi ? Hume répond que non. Il explique que le moi est insaisissable car, lorsque je tente une introspection, je ne saisis rien de stable et d’évident mais une fluctuation de perceptions changeantes et contradictoires. Cela illustre l’empirisme, courant auquel appartient le philosophe du 18e siècle. En effet l'empirisme part du principe qu'aucune connaissance n'est possible sans expérience. Il s'oppose ainsi au rationalisme ou philosophie

notre âge, tous ces facteurs déterminent notre place, et donc qui nous sommes; car à la place d'un autre, vous feriez et diriez exactement comme lui, vous seriez lui. Notre identité, c'est notre place. Nous ne sommes une "situation intériorisée" dit Sartre. Ainsi sommes nous tous effets de cette Structure, et non sujets comme nous voudrions bien le croire. La Structure produit l'indifférence du sujet. Indifférence totale et absolue ? Nous serions alors intégralement déterminés. Cette affirmation

où, finalement, le temps n’est pas réellement. Donc, techniquement, il est possible de nier son existence en tant que chose : le temps n’est pas dans les choses. Certes, mais il est toujours là avec l’Homme, et l’Homme est toujours dans le temps. Sartre et bien d’autres n’ont-ils pas dit que, arrivant sur Terre, nous sommes condamnés à nous réaliser ? Or, la réalisation implique par définition, de se trouver dans le temps car la réalisation de nos idées, de notre vie, celle de notre croissance et

nous nous reconnaissons par le jeu de la mémoire en tant qu’elle nous donne la capacité de lier entre elles des sensations et des perceptions. Celles-ci sont en effet rapportées à une même expérience, celle que je fais de ma personne à des moments différents, mais qui sont inscrits dans une même durée puisque c’est toujours moi qui ai ces sensations et ces perceptions. 1/4 A titre d’illustration, il est clair en effet que le simple fait de se reconnaître physiquement dans le miroir chaque