Chaîne de transport d'électrons

crustacés, de perturbations de leur taux de croissance et de leur reproduction. Les effets indirects de l'acidification sont la dégradation de l'habitat des poissons et des modifications des relations entre prédateurs et proies (interruption de la chaîne alimentaire). Presque aucune espèce ne survit à des pH inférieurs à 5. Quant aux sulfates, ils induisent une pression osmotique importante, qui déshydrate les êtres vivants. | | Exemple de base : | La soude caustique ou Hydroxide de Sodium

d'eau continu à travers les parois Cells sont en contact aussi par les plasmodesmes  Voie symplasmique. Flux d'eau depuis racinaire [sève (vaisseaux du xylème)] jusqu'à transpiration par les stomates Nécessaire pour la photosynthèse  donneur d’électrons Eau apoplasmique. Quand la plante est-elle en déficit hydrique? Quantité H2O [transpiration] > Quantité H2O [absorption] Les réactions des plantes à la sécheresse dépendent:  De la vitesse d'évaporation de l'eau  De la durée

"passivement" dans les veines élastiques et à l'aide des mouvements de "massage" dus aux contractions des muscles squelettiques notamment. Le cœur n'est pas la seule pompe même si il constitue le moteur principal du mouvement du sang dans les artères. Le transport des gaz (O2 et CO2) par le sang se fait essentiellement par des protéines transporteuses dont la principale est l'hémoglobine (Hb), située dans les globules rouges ou hématies. L'appareil lymphatique comprend aussi aussi des vaisseaux clos de même

organites sont appelées par le nom de l’organite concerné (membrane nucléaire, membrane mitochondriale, etc.). En microscopie électronique on observe une tri-lamination de la membrane : un feuillet clair de 3 nm (environ 2 fois la longueur d’une chaîne d’acide gras) entouré par 2 feuillets sombres de 2,5 nm chacun ; l’épaisseur totale est donc d’environ 8 nm. Ceci a permis de mettre en évidence la structure en bicouche phospholipidique de la membrane plasmique. I) Composition des membranes Les

stomate est ouvert. Stomate Phloème Tissu conducteur de la sève élaborée qui est une solution riche en glucides et autres molécules organiques. Séve élaborée, Xylème Poil absorbant Cellule de la zone pilifère Zone pilifère Pollinisation Transport des grains de pollen depuis les étamines vers un pistil apte à être fécondé. Abeilles. Stigmate Extrémité du pistil sur lequel se dépose le pollen. Lieu de germination. Androcée Stomate Ensemble de cellules de l'épiderme de la feuille délimitant

centrale nucléaire produit toujours de l'électricité à partir d'un combustible nucléaire mais il existe plusieurs types de réacteurs. On peut les classer en 5 grandes catégories en fonction de la nature du combustible utilisé, de la substance qui transporte la chaleur appelée caloporteur et de la substance qui ralentit les neutrons appelée modérateur Réacteur à eau pressurisée (ou REP) L'eau sous pression (donc à l'état liquide) est à la fois le caloporteur et le modérateur. Le combustible utilisé

Al C 6 28,09 7 N P 8 O 9 F 10 22,99 24,31 26,98 30,97 32,06 35,45 39,95 Si 14 15 11 12 13 16 S 17 Cl Ar 18 masse atomique 12,01 6 C n° atomique (Z) : nombre d'électrons qui gravitent autour du noyau de l'atome Tableau 1.1 Le carbone appartient à la 4e famille des éléments. Son numéro atomique, (Z), est 6 ; il possède donc 6 électrons e- (deux sur la couche 1, et quatre sur la couche 2) qui gravitent autour

déterminer les éléments constituant ces molécules (p. ex., carbone, hydrogène, oxygène, azote et phosphore). - Poser des questions à l’élève pour revoir la structure électronique des éléments C, H, O et N, à l’aide du tableau périodique. - Combien d’électrons se trouvent dans leur dernière couche électronique? - Quelle est la relation entre l’électron et la liaison chimique? - Combien de liens chaque élément peut-il former avec d’autres éléments? - Quelle est la valence du carbone? - Dessine un diagramme

98 98 100 100 100 101 6 Transmission de l’information 6.1 Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.1.1 Quelques dates . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.1.2 Nécessité d’un conditionnement de l’information 6.1.3 Transports simultanés des informations . . . . . 6.1.4 Introduction sur les modulations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

97 98 98 98 98 100 100 100 101 6 Transmission de l’information 6.1 Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.1.1 Quelques dates . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.1.2 Nécessité d’un conditionnement de l’information 6.1.3 Transports simultanés des informations . . . . . 6.1.4 Introduction sur les modulations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102 102 102 102 103 103 . . . . . . . . . . .