Chaine De Valeur Porter Unilever

Pourtant, avant même que le modèle japonais ne s’impose comme le modèle dominant, de nombreux chercheurs et dirigeants occidentaux soulignaient l’intérêt de réunir, de souder… et finalement d’intégrer les différentes fonctions de l’entreprise. Culture, valeurs et objectifs partagés sont déjà des vecteurs d’intégration puissants. Les entreprises nipponnes furent dans ces domaines des précurseurs. Elles surent en effet créer autour de grands thèmes fédérateurs, comme l’élimination des gaspillages ou la recherche

mondialisation 39 40 40 40 42 43 43 45 46 47 47 47 48 51 51 52 54 56 56 57 59 61 63 2 Les technologies d’information et de communication 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 2.8 2.9 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 3.7 Le commerce électronique Les nouvelles valeurs portées par Internet L’émergence de méta-marchés La restructuration des réseaux de distribution La naissance des infomédiaires L’élargissement géographique du marché L’impact de la communication électronique Le Web 2.0 et la nouvelle communication

cette culture est l’optique produit : l’entreprise ne se focalise plus alors sur la quantité de produits mais sur leur qualité souvent au détriment des attentes des clients. Cette culture peut être illustrée par les déclarations du Président de la chaîne Arte à son lancement : « Nous n’avons pas l’intention de suivre les suggestions de M.Audimat et de Mme Part de marché. Même si un tout petit nombre de téléspectateurs décide de regarder un opéra à 20H40, nous aurons gagné ». Un mois après, le nombre

marque et non plus sous la marque du fabricant. Cet essor des produits vendus sous la marque du distributeur a été particuliGrement marqué dans les chahes de supermarchés en libre service comme Sainsbury's, Tesco's et Fine Fare, et les nouvelles chaînes de magasins "discount" comme Asda. Dans les deux secteurs, cet essor a été favorisé par de grandes campagnes de publicité destinées b détourner le consommateur des marques traditionnelles en faveur de la marque du magasin. Cette pression exercée sur

finalités, les enjeux et les composantes du système d‟information mercatique. LIMITES DE CONNAISSANCES Définir la notion de marché et montrer son importance dans la démarche mercatique Définir les notions de besoins générique et dérivé et mettre en valeur la prise en compte des besoins dans la démarche mercatique. Montrer que la mercatique est un processus de décision et d‟action. Distinguer et caractériser mercatique stratégique et mercatique opérationnelle. 3 le système d‟information mercatique

bénéficient du statut d’agriculteur sur le plan économique et social, qui peut leur permettre de bénéficier de plusieurs aides, notamment de l’État (prêts, indemnités, régime social). – La responsabilité des associés est fixée à deux fois la valeur du capital de chacun. Leur patrimoine personnel est dissocié du patrimoine du groupement. – Des prêts à moyen terme spéciaux (prêts bonifiés soit des pouvoirs publics soit de l’Union européenne) peuvent être accordés au GAEC. – Chaque associé

les comptoirs a été repensée pour un contact plus intime avec les produits et une interaction accrue entre le client et les différentes gammes de la marque.20 16 17 Idem. KOTLER (Ph.), Marketing Management, 65p. “Les strategies génériques de Porter”. 18 De Clercq (V.) (Responsable marketing – Neuhaus) 19 « Neuhaus peaufine se nouvelle griffe », in La Libre Belgique. (Cfr. Annexe n°4, p.26) 20 Rapport Annuel de 2005 – Neuhaus. 7 Année académique 2007-2008 2.1.7. STRATEGIE DE CROISSANCE

profils d’achats 39 3. Qu’est ce qu’un client fidèle ? 41 3.1. La fidélité est polygame 42 3.2. La fidélité profite aux grandes marques 43 4. Un exemple d’outil de marketing relationnel : les programmes de fidélisation 44 4.1. Quelles valeurs importent aux clients ? 47 4.2. Les limites des programmes de fidélisation 49 Partie 3 : quelle place pour la relation 51 1. Les relations exprimées par les marques aujourd’hui 51 1.1. L’accroissement de la satisfaction par la relation 51

contexte concurrentiel « dynamique », Coca-Cola France fait état de résultats « satisfaisants » en 2009 avec des ventes en forte progression (+ 5,7 %) en GMS. La performance du numéro un des sodas est un cran en dessous du marché, qui a bondi de 8,6 % en valeur. Selon nos estimations, le chiffre d'affaires total de Coca-Cola en France avoisinerait maintenant 2 milliards d'euros (70 % en GMS, 30 % en hors-domicile). Christian Polge, président de Coca-Cola France, a affirmé sa volonté « d'élargir le portefeuille

de l’ESCP-Europe en 1994, il a exercé différentes responsabilités pendant dix ans en tant qu’analyste financier puis en tant que contrôleur de gestion chez Indosuez, Unilever et Carrefour. Avant de rejoindre l’université, il occupait le poste de directeur du développement des performances au sein de la direction européenne du supply chain management du groupe Carrefour. Gérald NARO est professeur des Universités à l’institut des sciences de l’entreprise et du management (ISEM) de l’université Montpellier-I