Chaldée

civile affreuse. On me tira du creux de ma statue, et on me mit à la tête d'un parti. Cador courut à Memphis, pour vous ramener à Babylone. Le prince d'Hyrcanie, apprenant ces funestes nouvelles, revint avec son armée faire un troisième parti dans la Chaldée. Il attaqua le roi, qui courut au-devant de lui avec son extravagante Egyptienne. Moabdar mourut percé de coups. Missouf tomba aux mains du vainqueur. Mon malheur voulut que je fusse prise moi-même par un parti hyrcanien, et qu'on me menât devant

façon le philosophe tel qu’il le conçoit : ni « enthousiaste », ni « prophète ». Il inclut dans son énumération pour les exclure de la catégorie des philosophes : Zoroastre, hermès, Orphée. Et « les législateurs dont se vantaient les nations de la Chaldée, de la Perse, de la Syrie, de l’Egypte et de la Grèce ». Selon lui, les hommes « qui se dirent enfants de Dieu étaient les père de l’imposture », des menteurs qui «  se servirent du mensonge pour enseigner des vérités » hautement suspectes, fallacieuses

tremper dans de l'eau, afin de déclencher la fermentation nécessaire à la production d'alcool, et que l'on assaisonnait avec de la cannelle, du miel ou toutes autres épices en fonction des préférences des clients. La bière, connue des peuples de Chaldée (maintenant Irak, Koweït) et d'Assyrie (Irak, Syrie, Liban, Palestine), devenue monnaie d'échange, commença sa dissémination. Des recherches archéologiques ont pu démontrer que les Provençaux brassaient déjà leur bière au Ve siècle av. J.-C.3. Jeton

Pour le travail du bronze et celui de l'ivoire, les Phéniciens ont excellé dans leur production, sachant que la matière première nécessaire à ces deux industries était recherchée dans les contrées lointaines. L'ivoire venait de l'Inde par la Chaldée, de l'Arabie et de l'Egypte. Pour le bronze, qui est un alliage d'étain et de cuivre, les Phéniciens cherchaient le cuivre d'Espagne et l'étain d'Angleterre, l'île de Malte et celle de Chypre servaient d'entrepôts. L'industrie de la pourpre

Mésopotamie. Ces observations étaient faites dans un cadre religieux. Le mouvement des astres étant perçu comme volonté divine ; les prêtres ou astrologues servant de traducteurs. Cela peut donc être considéré comme l'origine de l'astronomie. De Chaldée, cette astronomie-astrologie se répand en Grèce après les conquêtes d'Alexandre le Grand. De là elle se répandra dans tout l'empire grec, en Inde, en Égypte puis jusqu'à la Rome antique tout en devenant plus structurée, moins religieuse et donc plus

l'histoire. I. II. III. Naissance de l'art. Les cavernes. La Religion. Introduction à l'art oriental (1923) L'Égypte I. II. III. IV. V. Le tombeau. Le temple et la mystique. La Peinture. La sculpture. L'art saïte. L'ancien Orient. I. II. III. La Chaldée. L'Assyrie. La Perse. Introduction à l'art grec (1923). Les sources de l'art grec. I. II. III. IV. Phidias. I. II. III. IV. La synthèse attique. L'art philosophique. L'équilibre. Le temple. L'art égéen. Le mythe et le miracle grecs. Les Doriens

Les pièces ont toujours été en métal quoique une cité telle que Carthage a préféré une monnaie en cuir. La monnaie de fer a précédé la monnaie d’argent dont on date la naissance en 900 av JC, en Grèce. Les premières pièces d’or naquirent en Assyro-Chaldée. La frappe du métal était la garantie de la force publique, les unités de prix dépendaient des unités de poids. De même un rapport fixe était établi entre l’or et l’argent. Intéressons maintenant aux monnaies de la France antique. Elle reflète assez

Brillait à l'occident, et Ruth se demandait » (quatrain tiré de « Booz endormi », La Légende des siècles, II, chapitre 6). Jouant sur les mots, peut-être Jéricho ou bien Jérimoth, Hugo se complimentait en quelque sorte : Jérimadeth, une ville de Chaldée totalement inventée, pouvant se lire « J'ai rime à dait » (recherche désespérée d'une rime anagrammatique, de mirliton, avec « demandait »). Soyons modeste, le monorhème « Chantre » de Guillaume Apollinaire nous réserve d'autres secrets, qui sait

Brillait à l'occident, et Ruth se demandait » (quatrain tiré de « Booz endormi », La Légende des siècles, II, chapitre 6). Jouant sur les mots, peut-être Jéricho ou bien Jérimoth, Hugo se complimentait en quelque sorte : Jérimadeth, une ville de Chaldée totalement inventée, pouvant se lire « J'ai rime à dait » (recherche désespérée d'une rime anagrammatique, de mirliton,  avec « demandait »). Soyons modeste, le monorhème « Chantre » de Guillaume Apollinaire nous réserve d'autres secrets, qui sait 

plus ancienne des grandes religions monothéistes. Il est porteur d’une croyance en un Dieu unique, créateur du monde, éternel, transcendant. Ce Dieu s’est révélé au patriarche Abraham par une injonction, celle de quitter la ville de ses ancêtres, en Chaldée, pour aller vers une terre inconnue, Canaan, avec la promesse, pour sa descendance, d’être un grand peuple et une bénédiction pour tous les peuples de la terre. Dans cette continuité, l’étude de la Torah, la loi divine, reçue en héritage, est le fondement