Chaloupe

un cri se fit entendre de la batterie : un homme à la mer ! On mit de suite en panne, c'est à dire qu'on masqua les voiles pour empêcher que la frégate ne marchât, mais cela demanda du temps. On mit une chaloupe à l'eau, on jeta de suite la bouée de sauvetage, le malheureux la manqua. La chaloupe fit des recherches mais ne trouva personne, elle revint après trois heures de recherches. La mer était très grosse pour une petite embarcation et les matelots qui étaient dedans eurent mille peines à rattraper

pour combattre l’attirance que le garçon éprouvait pour la mer. Le père l’envoya étudier dans une ville de l’intérieur des terres, à des centaines de kilomètres de là » 5/ a) Le récit se termine par la découverte du squelette de Stefano dans sa chaloupe avec un petit galet rond à la main. De plus l’auteur nous donne une description qui nous indique que le K est un poisson qui porte des noms différents selon les mers (Kalonga, Kalu). Cependant les naturalistes ignorent ce spécimen et d’autres prétendent

pour pouvoir donner une vue d’ensemble de l’identité de la femme au lecteur sans devoir la décrire en scrutant chacun des détails. De plus, il met en évidence la beauté de la femme. Effectivement, il ne s’agit pas de comparer la femme à une vieille chaloupe détériorée qui coule, mais bien d’un beau navire qui part en se laissant emporter par les vagues. Il donne un côté majestueux à cette femme. Encore une fois, il décrit cette femme mystérieuse en tournant autour du pot, sans donner trop de détails

examinerons la préparation du renversement des rôles . Dans cette scène, on nous présente les personnages et les lieux où vont se dérouler l'action. On peut tout d'abord relever le champ lexical de l'île « naufrage»( 5) , «mer» (7) , « rocher» (8) «chaloupe»(9) , « vagues» ( 9) , «leurs cases » (21) «la côte » (42) . En effet, cette île est présentée par Iphicrate qui l'a décrit comme une île où il sera "perdu" ( l 16 ) et dans sa réplique, il utilise à plusieurs reprises la négation "ne perdons point

est vide. Elle est donc à l’opposé des paysages insulaires chez les auteurs du XVIIIème siècle où la nature est généreuse et abondante. Symboliquement, l’île est coupée du monde et le champ lexical du naufrage («naufrage», «vaisseau s’est brisé», «chaloupe», «vagues», «aborder», «je suis perdu») accentue l’hostilité d’une nature violente et capricieuse qui coupe les personnages de leur monde originel. Cette insularité est bien sûr aussi symbolique : les personnages se retrouvent seuls face à eux-mêmes

valet refuse (l.54). - progression depuis une autorité désormais inutile jusqu'à une stratégie par les sentiments, elle aussi inutile. II/ 1) La déstabilisation du maître a. l'isolement. perte du gourdin → perte du symbole du pouvoir. Chaloupe introuvable → évasion impossible b. prise de conscience assez tôt d'Iphicrate de la perte de son pouvoir (l.39) –> la remarque : « j'ai mal fait de lui dire où nous sommes » montre que le maître continu à imaginer qu'il domine encore son valet

s’attarde sur les termes « radieux » et « étincelait ». Les modalités exclamatives et injonctives dans les répliques expriment cette joie, une joie que l’on retrouve en 1848 lorsque la foule pénètre dans le palais des Tuileries : « Saperlotte ! Comme il chaloupe !». à la fin du texte quand le peuple prend possession du palais royal, l’insurrection devient fête : « une joie frénétique éclata », « s’amuser », « dansaient », « buvaient »… Le regard de l’écrivain : Sous la pluma satirique de Flaubert

écuyer. Flaubert, n'épargne pas non plus son héros, Frédéric Moreau dont il choisit le point de vue pour mener la narration de cette page. Sujet au coup de foudre, il se comporte tel un adolescent transi. Par exemple "il affect[e] d'observer une chaloupe sur la rivière" pour mieux observer l' "apparition". De même son désir de connaître tous les aspects de la vie de Mme Arnoux (jusqu'à ses "meubles" et ses "robes" !) est excessif et risible. Que dire de son émotion devant le "panier à ouvrage" qu'il

gine des naufragés et symbole de l’esclavagisme sous l’Antiquité. Les champs lexicaux de la vie insulaire (« l’île », « l’Île des esclaves », « cases », « coutume ») et de la mer (« naufrage », « noyés », « mer », « vaisseau », « rocher », « chaloupe », « vagues », « embarquement », « vogue ») éloignent les protagonistes de leur environnement habituel, les plongeant brutalement dans un cadre nouveau et mystérieux. L’espace semble rétréci, confiné entre la « mer » (l. 8), les « rocher[s]

Il perd son père en 1719. Mais il est ruiné par la banqueroute de Law en 1720, perd son épouse en 1723, et doit alors écrire pour vivre et élever sa fille. L'île des esclaves Iphicrate et Arlequin ont fait naufrage sur une île, après que leur chaloupe se fut brisée contre un rocher. Tous leurs compagnons semblent avoir péri en mer, Iphicrate veut partir à leur recherche mais Arlequin profite de la situation pour décider de ne plus être son esclave. Pour son insolence, Iphicrate, furieux, veut