Chambre Commerciale 4 Juin 1996

Commentaire de la jurisprudence (rapport annuel 2007/2008) Le législateur (loi du 2 août 2005) a confié à la Commission d'examen des pratiques commerciales la charge d'établir annuellement, conjointement avec son rapport annuel, « une analyse détaillée du nombre et de la nature des infractions aux dispositions (du titre IV du Livre IV du Code de commerce, relatif à "la transparence, aux pratiques restrictives et autres pratiques prohibées"), ainsi que des « décisions rendues en matière civile

I. Introdution 2 II. Historique 3 A. 1923-1966 : période Walt Disney 3 1. 1923-1937 : courts métrages 3 2. 1937-1954 : premiers longs métrages 4 3. 1955-1966 : premiers parcs à thèmes 5 B. 1966-1983 : après la mort de Walt 5 C. 1984-2005 : l'ère Michael Eisner 6 1. 1984-1989 : reconquête du géant 6 2. 1990-1999 : nouvel âge d'or 6 3. 2000-2005 : entrée mitigée dans le XXIe siècle 7 D. 2005-2010 : débuts de Robert Iger 9 E. 2010? : Disney-ABC-ESPN-Marvel

Semestre3 Lecourt Année 2006 - 2007 Droit commercial Examen : 4 Questions de cours durée 1H Lecture éventuelle Yves Guyon, droit des affaires chez Economica, 2003 Introduction : L’histoire du droit des affaires Les sources du droit commercial sont grecques. Elles remontent au milieu du 7ème siècle avant JC, avant l’apparition de la monnaie. Le fonctionnement des affaires à Athènes était connu, tel que le montre les textes d’Isocrate. Demorthène décrit également l’opération

Cass. Civ. 3, 6 octobre 2004, Bull. Civ. III, n° 167 Une rigueur toujours maintenue ! En considérant que le défaut de la conformité de la chose vendue à sa destination normale constitue un vice prévu par les art. 1641 et s. C.civ., la troisième chambre civile de la Cour de cassation semble toujours suivre la chronologie des obligations du vendeur. Des époux ont acquis un immeuble en stipulant dans le contrat une clause de non garantie au titre des vices cachés. Cependant l’immeuble n’est pas étanche

circonstances de la vie sociale (constitution, approbation des comptes, modification des statuts, filiales et participations), les dirigeants sociaux encourent une responsabilité pénale particulière au titre de leur gestion. 2 Les articles L 241-3, 4° (SARL) et L 242-6, 3° (SA) du Code du commerce incriminent le fait, pour les dirigeants, de faire, de mauvaise foi, des biens ou du crédit de la société, un usage qu'ils savent contraire à l'intérêt de celle-ci, à des fins personnelles ou pour favoriser

volontés par la levée d’option et donc la réalisation de la vente finale. Cependant, la Cour tend à nuancer sa position. Elle permet aux parties de prévoir contractuellement une autre sanction, notamment la réalisation forcée de la vente. La 3e chambre civile de la Cour de cassation a admis, dans un arrêt du 27 mars 2008, qu’une clause d’exécution forcée puisse être stipulée dans la promesse. Dans ce cas, le juge peut prononcer la réalisation forcée de la vente malgré la rétractation du promettant

|violer le principe de la contradiction, | | | |légalement justifié sa décision ; | | |Civ I, 3 juillet 1996 |l'erreur sur la valeur de ce qui est l'objet du |  | | |contrat ne constitue pas un vice du consentement|

articles de 556 à 569, ainsi que par le code du commerce dans le livre V relatif aux difficultés d’entreprises, les articles de 721 à 723. Cette double consécration traduit la volonté du législateur pénal de scimmisser dans le domaine du droit commercial et surtout le droit des entreprises en difficultés et sanctionner certains chefs d’entreprises malhonnêtes ou notoirement incompétents, afin de les écarter purement et simplement de la vie des affaires. Cette préoccupation du législateur se trouve

..................................... 4 A. L’INVOCABILITE DES TRAITES INTERNATIONAUX DEVANT LE JUGE ADMINISTRATIF ________________________________________________________ Date de création : année universitaire 2003/04 4 2 Art 55 de la Constitution............................................................................................... 4 C.E., 30 mai 1952, Dame Kirkwood ............................................................................. 4 C.E., 18 décembre 1998, SARL du Parc d’activités

puis du 10Janvier au 12Fevrier. Hôtel Marignan Champs Elysée 12 rue de Marignan 0140763456 14/12/2010 SOMMAIRE Présentation de l’élèvePage 1 Présentation de l’entreprise et de son organisation Page 2-3 Analyse de l’existantPage 4-5-6 Diagnostic de l’offre de servicePage 6 Mise en évidence d’une problématiquePage 7 Enquête de satisfactionPage 8-9 Les solutions possibles Page 10 Solution retenuepage 11 Les conséquences de la solution retenuePage 12 RétroactionPage