Chambre Criminelle 12 Décembre 2000

Commission par une chambre de sept juges qui tranche le litige - et, éventuellement, pour les affaires posant une grave question d'interprétation, renvoi devant une grande chambre de dix-sept juges 6 - § 3 : Les effets des arrêts rendus par la Cour européenne des droits de l'homme - L'octroi d'une satisfaction équitable - L'influence de l'arrêt rendu sur l'évolution de la législation et de la jurisprudence nationales (l'exemple des écoutes téléphoniques) - La réforme du 15 juin 2000 et le réexamen

Paragraphe 1 : Indépendance Paragraphe 2 : Pouvoirs d'enquête Paragraphe 3 : Pouvoirs judiciaires Paragraphe 4 : Caractère contradictoire de l'instruction SECTION 3 : Les voies de recours Paragraphe 1 : Modalités de la saisine Paragraphe 2 : La chambre de l'instruction SECTION 4 : Proposition de suppression du juge d’instruction SECTION 5 : Tribunal maritime commercial CONCLUSION Page 3 sur 63 TITRE I : DROIT PENAL DES AFFAIRES Page 4 sur 63 INTRODUCTION La société est régie par

........................9 2.1.1. Le SUDOC (Système Universitaire de Documentation)............9 2.1.2. La BNF (Bibliothèque Nationale de France).........................10 2.1.3. Les Bibliothèques Municipales de Lyon..............................12 2.1.4. British Library Public Catalogue.......................................13 2.1.5. Library of Congress.......................................................15 2.2. ELECTRE....................................................................

reste majoritairement pour les délit, et le reste (donc la grande minorité) pour les crimes. Les contraventions relèvent de la sphère pénale. Le livre 1er du code pénal est divisé en trois titres. Premier titre, «la loi pénale»; articles 111-1 à 113-12. Ce titre permet de déterminer les éléments généraux de la notion d’infraction : une infraction est la réunion de 3 éléments. D’une part l’élément légal, soit la source, le texte en principe venant du législateur. Depuis 1958, le législateur est compétent

pouvait être prononcée mais le placement en maison de correction était possible. En revanche, s’ils étaient capables de discernement, il encourait une peine réduite par le jeu d’une excuse de minorité. La majorité est portée à 18 ans par une loi du 12 avril 1906. Une loi du 22 juillet 1912 le confirme. Elle va néanmoins changer le régime des mineurs. Elle supprime la question du discernement pour les moins de 13 ans qui sont considérés comme irresponsables pénalement. Mais, des mesures éducatives

somme d'argent est versée directement à la victime sauf en cas d'amende où le prévenu verse cette somme au trésor public. Pendant longtemps a existé le principe d'identité des fautes civiles et pénales mais maintenant de plus en plus l'adage, le criminel tient le civil en État tient à s'appliquer. Enfin, le mot « responsabilité » se rapporte à la notion de « serment » qui vient du grecque « spendo » et du latin « spondeo ». Historiquement la responsabilité existait déjà à cette époque, le digeste

« Précis de droit criminel » Garraud - «  Théorie du code pénal » Fautin Ely - Dans la collection que sais je ? : Bauer « violences et insécurités urbaines », Bossar « la criminalité internationale », « le vol » Gerraud et Senat, « Droit pénal » Larguier, « la procédure pénale » Larguier, Léoté « les prisons », « le crime organisé », Pradel « histoire des doctrines pénales », « la criminologie » picat, « droit pénal des mineurs » Introduction Quelques réformes : Loi du 12 juin 2003 sur

communauté internationale. Cette convention a inspiré la rédaction dans la création de la Cour pénale internationale. La convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées 2006, entrée en vigueur en décembre 2010. Progrès énorme car aucun instrument juridique ne permettait de sanctionner les disparitions forcées. Une définition y est donnée. Prévoit un mécanisme de contrôle et impose des obligations aux Etats. B- Le droit coutumier Il s’agit d’une

Initiation aux sciences criminelles Chapitre I : Définition des sciences criminelles Section 1 : Un fait divers : une tentative d’approche des sciences criminelles X est né en 53, a eu une enfance difficile. Y né en 85 et a aussi eu une enfance difficile. X est battu et donc placé dans une famille d’accueil ou il développe un trouble de la personnalité, va dans des foyers ou il est tantôt battu tantôt celui qui battait. Condamné par le tribunal pour enfant Nantes dans une affaire

répressifs de sa demande en réparation, elle déclenche automatiquement l’action publique. 3- La phase judiciaire. Pour les procès importants, c'est-à-dire pour les infractions les plus graves (les crimes, punis d’au moins 10 ans de réclusion criminelle), et lorsque l’affaire est complexe, qu’elle n’a pas été suffisamment élucidée pour les infractions de moyenne gravité (les délits), la phase judiciaire commence par une instruction « préparatoire », c'est-à-dire une recherche de preuves à charge