Chambre Criminelle 24 Janvier 1995

monstres doit prendre garde de ne pas devenir monstre lui-même (...)". En d'autres termes, un juste équilibre doit être trouvé entre la protection de l'individu et celle de la société. B. - Origines 4. - Avant l'entrée en vigueur de la loi du 24 janvier 1984, et faute de textes comparables à ceux que connaissait le droit bancaire suisse (L. 8 nov. 1984, art. 47 b. - Le secret bancaire dans la CEE et en Suisse : Rapport national du colloque organisé par le Centre d'économie bancaire international

pénal ..................................................................................... 3 Document n° 2. Article 8 de la DDHC de 1789 ................................................................................ 3 Document n° 3. Cass. crim., 24 janv. 2012, n° 11-84045, Bull. crim., n° 20 ; LPA, 6 août 2012, n° 156, chron., p. 6, obs. M. Boursier......................................................................................... 3 Document n° 4. Article 2 du code civil ...............

idéologies qui les sous-tendent, et qui par conséquent devraient être jugés et condamnés pour les actes qu`ils ont commis. Toutefois, chaque Etat restant souverain sur son territoire, et ce fait pouvant constituer une garantie à l`impunité de ces criminels, il a fallu chercher les remèdes à ce fléau d`échapper à la justice, et l`une des solutions envisagées fut la proposition de créer une juridiction pénale internationale. En effet, face aux multiples atrocités qu’a connu l’humanité au XXème siècle

Droit pénal Introduction Le droit pénal ou criminel met en scène différents acteurs : police, juge d’instruction. On pense souvent au procès pénal. Il est envisagé d’instaurer des jurys. Le droit pénal a un objet particulier. Il touche à la société et a pour fonction de définir les sanctions applicables et la manière dont ces sanctions seront appliquées. Ces actes troublant l’ordre social sont qualifiés d’infraction pénale. Ce sont des actes que la société interdit, par l’intermédiaire de l’état

en parfaite violation de la loi. Cette situation devrait provoquer de vives réactions de la part des acteurs du monde judiciaire et notamment du conseil national de la magistrature, mais il n’en est rien : le récent film de Raymond Depardon, 10ème chambre, instants d’audience, a ainsi pu être projeté en sélection officielle lors du festival de Cannes, sans que jamais la question de l’illégalité de l’enregistrement des audiences n’ait été soulevée. Le paradoxe est donc immense entre une justice globalement

cette "œuvre d'art" anonyme est rapidement découvert. Jean LAFLEUR est poursuivi devant le Tribunal correctionnel sur la base des articles 1 et 2 de l'arrêté-loi du 29 décembre 1945 portant interdiction des inscriptions sur la voie publique (M.B., 4 janvier 1946) et dont voici reproduit partiellement le contenu : article 1er : « il est interdit d'apposer des inscriptions, des affiches, […] sur la voie publique,.[…] les ouvrages d'art, monuments et autres objets qui la bordent ou sont situés à proximité

LONASE MAEP MCA MEF MFDC NEAS NEPAD OHADA OIDD OIT OMD OUA PAJ PID PIRSP PNBG Direction des affaires criminelle et des grâces Direction des affaires civiles et du sceau Direction de l’administration générale et de l’équipement Direction de l’administration pénitentiaire Domaine d’appui stratégique Direction de l’éducation surveillée et de la protection sociale Division des investigations criminelles Document de stratégie pour la croissance et la réduction de la pauvreté Direction des services judiciaires

fonctions. Un certain équilibre fut atteint et l’organisation judiciaire élaborée pendant la révolution fut conservée jusqu’en 1958. Ensuite c’est l’ordre judiciaire de nos jours qui est apparu. A. L’élaboration des institutions La loi des 16 et 24 aout 1790 posa quelques principes fondamentaux qui sont encore aujourd’hui les bases de nos institutions modernes. Il s’agit du principe de la séparation des pouvoirs, il s’agit ensuite du principe de l’égalité devant la justice (principe de gratuité)

18e il y avait environ 400 baillages dont les limites étaient souvent imprécises. Ces baillages étaient devenus des circonscriptions judiciaires où l’on traitait des affaires mettant en cause des nobles, des biens ecclésiastiques et des affaires criminelles de moindre importance. Il existait également des présidiaux qui ont été ajouté par Henri 2 au 16e siècle pour renforcer le système judiciaire royal en désengorgeant les parlements qui étaient des juridictions d’appel. Ils étaient placés entre le

A. Le droit constitutionnel 7 B. Le droit administratif 7 §2_ Le droit privé interne pur. 7 A. Le droit civil. 7 B. Le droit commercial. 8 §3_ Les droits mixtes internes. 8 A. Le droit pénal (criminel). 8 B. Le droit de la procédure 8 C. Le droit social. 8 D. Les droits mixtes détachés du droit civil, administratif et commercial. 9 LES SOURCES DU DROIT CIVIL 10 LES SOURCES HISTORIQUES 10 Section première: