Chambre Mixte 10 Avril 1998 Liberté Syndicale

coalition et toute association non autorisée de plus de 20 personnes. Toute coalition devient un délit pénal qui entraîne des peines d'emprisonnement. Avec l'entrée en vigueur du Code civil en 1804, les relations de travail sont livrées au principe de la liberté contractuelle et se trouve gérer par les articles 1710 et s. relatifs au contrat de louage et plus particulièrement, le contrat de louage de service aux articles 1779 et s. A l'époque, il n'y a pas de législation sociale particulière et la relation

l’application du droit du travail. SECTION 1. L’histoire du droit du travail La révolution française La révolution française détruit le droit du travail de l’Ancien régime, notamment les corporations. Elle établit l’égalité entre les hommes et la liberté du travail. En réalité, la révolutionnaire ne sera pas favorable au salarié. Ça évoluera, mais au départ non. C’est un droit qui se révèle inégalitaire en faveur de l’employeur. Dans le code civil, l’article 1781 (abrogé), prévoit que le maitre est

contrats) Fascicule 1 Théorie générale des obligations et du contrat LECTURES I. Notion  d’obligation  – Sources des obligations > Document 1: N. MOLFESSIS, « L’obligation naturelle devant la Cour de cassation: > remarques sur Cass. 1re civ. 10 oct. 1995 » (D. 1997, 85) Document 2: Cass. Com., 23 janvier 2007 (RDC 2007, 697, obs. Y.-M. Laithier). Définition du contrat - Classification des contrats II. > Document 3 : Art. 1101 du Code civil (définition du contrat) > Document 4 : J. GHESTIN

Sécurité sociale (Cass. Ass. plén. 18 juin 1976, Hebdo-Presse), est devenue également un critère jurisprudentiel de l'existence d'un contrat de travail. Mais depuis un arrêt en date du 13 novembre 1996, confirmé par l'arrêt du 12 février 1999, la chambre sociale a adopté une définition unique (en droit du travail et en droit de la sécurité sociale) du lien de subordination juridique : Le lien de subordination est caractérisé par l'exécution d'un travail sous l'autorité d'un employeur qui a le pouvoir

nombreuses garanties qui sont accordées aux fonctionnaires (les agents de l’Etat …) grâce à la fonction publique. Il y a plus de 5 000 000 d’agents dont 1 800 000 d’agents territoriaux. Certaines garanties sont importantes comme le droit de grève, la liberté syndicale mais il y en a bien d’autres … Tant est si bien que les agents sont avant tout au service de la puissance publique et non pas à une majorité mis en place à une époque donnée. §1 L’approche fonctionnelle : la double fonction de l’Administration

libéral, porté par la bourgeoisie avec comme objectifs la séparation des pouvoirs, ppe de représentation et donc participation des représentants des peuples à la législation, et reconnaissance d’un domaine de liberté individuelle. Novatrice. Csq 1 =Désormais toute atteinte à une liberté individuelle ne devra résulter que de la loi = naissance de la théorie de la réserve de la loi. Csq 2 = ensemble des actes des autorités Aves doivent être soumise aux lois = théorie de la prééminence de la loi

nous permettent de décomposer l’Etat. Conception libérale des Etats: LOCKE réagit et dit qu’il faut organiser la séparation des pouvoirs ( notamment pour une question de liberté) MONTESQUIEU estime que la liberté politique n’existe que par la loi dans des Etats à gouvernements modérés par la séparation des pouvoirs( liberté par les lois) B.CONSTANT (principal théoricien du XIXe )souhaite que l’Etat se limite à de grandes fonctions comme la police, la justice, la défense ou les relations extérieures

unilatraux. En principe il en est de mme pour les actes privs. En application principale du critre organique il en est de mme des actes juridictionnels et administratifs. organes administratifs et lgislatifs On pensait que tous actes dfinis par les chambres parlementaires taient considrs comme ntant pas des actes administratifs. Il est ncessaire de procder une dissociation. Pour les actes adopts par les assembles on trouve les lois, les rglements des assembles lapplication ces actes du critre organique

décret D’ALLARDE, 2 et 17 mai 1791 : il autorise à toute personne l’exercice de la profession de son choix et la liberté du commerce et de l’industrie - La loi Le CHAPELIER, 14 et 17 juin 1791 : abolie les corporations et les jurons ; les métiers ne sont pas libres, il faut passer par des apprentissages, des corporations. La révolution les abolie. Cette loi est à l’origine de la liberté d’entreprendre, qui a aujourd’hui valeur constit. En 1807, le CCom se contente de reprendre les dispositions

(DDHC, 1789). Fort de ce constat, les Etats ont enclenché un processus de reconnaissance universelle des libertés fondamentales. Rares sont aujourd’hui les pays qui n’ont pas souscrit aux textes fondamentaux internationaux sur les droits de l’Homme, au moins par la ratification. Cette mondialisation revêt diverses facettes. D’une part, on remarque une reconnaissance juridique de ces libertés au travers des constitutions ou des traditions juridiques des Etats européens notamment. D’autre part, elle