Champ Lexical De La Mort

Hervé-Bazin, né le 17 avril 1911 à Angers où il est mort le 17 février 1996 (à 84 ans), est un écrivain français. «Vipère au poing» est le premier roman d'Hervé Bazin. Celui-ci l'a rendu immédiatement célèbre. Il a été publié en 1948, et est le premier volet d'une trilogie qui raconte successivement l'enfance de Jean Rezeau, sa vie de jeune adulte puis celle d'homme d'âge mûr (jusqu'à la mort de sa mère Folcoche). Cette trilogie (Vipère au poing, La Mort du Petit Cheval, Le Cri de la Chouette) est très

correction commentaire : la mort de Nana. Nana, Emile Zola,1881 ANALYSE DU TEXTE ( BROUILLON) Composition : extrait de roman naturaliste . mort du personnage principal et excipait du roman : fin d'un monde , d'une époque texte narratif ( 3 personnages qui fuient : valorisation de l'horreur et de la solitude de Nana) Rose = témoin de l'horreur" mais part : Nana finit absolument seule Mais paragraphe principal = texte descriptif. Portrait , tableau d'un morte . Aspect pictural Narrateur

d’essais. Problématique : en quoi la description de la ville permet de décrire le personnage ? I)                   LA DESCRIPTION DE LA « VIEILLE VILLE »   1)      Une ville dégradée et déserte -     Champ lexicaux du vide (« personne »), de la mort (« haleine de mort », « froid de mort », « tombeau ») et de la clôture (« fermées », « les volets sont tirés »). -      L’accumulation des termes « des soupiraux, des caves, des fenêtres noires » sans conjonction de coordination pour les relier

| | |laquelle il ne peut rien. Cette force en |d’insistance- champ lexical du destin, de | | |général le conduit à la mort. |l’impuissance, de la souffrance, de la faute,| | |But: provoquer les sentiments de pitié |de la mort. | | |(empathie du lecteur face au

(vers 1225 à 1263) très riche en émotion qui expriment sa fureur,sa souffrance et sa complaisance suit au révélation douloureuse et éprouvant . De manière, générale ont ressent une atmosphère de souffrance renforces par les champs lexicaux de la tristesse, du chagrin, du malheur et de la souffrance .Ainsi dans le texte on retrouvé au vers 1241 « Et moi, triste rebut de la nature entière, Et moi, triste rebut de la nature entière »puis vers 1246 « Encore, dans mon malheur de trop

| |mélange naturel de nitrates, qui se forme sur| |Et tout ce sang porte dans les millions de cervelles un même mot d’ordre : | |les vieux murs humides. Peut aussi signifier | |Révolte contre Hitler et mort à ses partisans ! | |“poudre de guerre”, car les nitrates | |Pourtant ce cœur haïssait la guerre et battait au rythme des saisons |

son ami et se jette dans le piège. Cette dernière scène est la cinquième rencontre entre Octave et Marianne. Ils se retrouvent après la mort de Cœlio, probablement quelques jours après. - Reprise de la question et annonce du plan : C’est une scène courte où le tragique naît de l’impossible communication entre les deux personnages et de la forte présence de la mort qu’elle soit réelle ou symbolique. Lecture Explication I : Une communication impossible Un dialogue inégal : longueur des répliques d’Octave

recueil : les Amours jaunes. Le thème principal de ce texte est la mort. On peut donc se demander comment Corbière a su poétiser le paradoxe entre le crapaud, qui est un animal, et lui-même, un homme, par la mort. On commencera d'abord par parler de la description dans ce texte puis de la voix de l'auteur. I) La description a) Champs lexical Pour débuter, le poète utilise différents champs lexicale. Il se sert du champs lexicale de la laideur : « crapaud » v.7, « tondu » v.9; et de celui de la

valeureux guerrier grec qui tua Hector, l’époux d’Andromaque, lors de la guerre de Troie. On peut alors constater qu’il y a du sarcasme de sa part, puisqu’en parlant de soins dignes du fils d’Achille on parle de la mort de son époux. Donc en nommant Pyrrhus ainsi elle pouvait faire allusion à la mort de son époux ainsi que son interrogation suite à la volonté de Pyrrhus de protéger le fils d’Andromaque (Astyanax) alors que c’est supposé être l’ennemi de son fils et d’elle-même. 2- Il y a 5

la Bruyère plusieurs procédés littéraire sont mis en avant afin de dénoncer les horreurs de la guerre. L’accumulation des verbes « se dépouiller, se brûler, de se tuer, s’égorger » accentuent l’atrocité des gestes. De plus, on remarque le champ lexical de la mort ou de la perte, « veuve », « orphelin », « enlève », « détruire ». L’apostrophe au jeune Soycourt rajoute de la tristesse cela nous rapproche de la réalité. Dans ce texte est aussi évoqué les aspects de l’histoire. On comprend une boucle