Champ Lexical Du Regard Apparition

l’élaboration d’un portrait hyperbolique qui présente Caliste de façon idéalisée. b) Une femme idéale Caliste présente toutes les caractéristiques de la femme idéale du 16ème siècle. Elle semble rassembler en elle la femme parfaite. Relevons le champ lexical de l’attirance sensuelle : « grâces », « appas » (v12). Son éclat féminin est tel qu’elle « éblouit » (v9). L’ensemble de ces indications est repris par le mot « trésors » auquel elle est associée au vers 3. Elle devient alors une sorte de personnification

meurtre de Camille - la décision d’éliminer tous les survivants de cette histoire : * meurtre du chat François * tentatives d’assassinats mutuels - dénouement avec le suicide des deux mariés - situation finale : Satisfaction de Mde Raquin qui regarde immobile et savoure le suicide de Thérèse et Laurent. Les lieux sont assez proche, il y trois grands lieux dans cette histoire : Vernon, lieu d’enfance de Camille, Thérèse et Laurent. Il y a que le chapitre 2 qui se déroule à cet endroit.

animal permet de faire une critique à la Cour satirique, le contraste entre les thermes officiel et campeux comme « majesté » « prince » etc... et le monde animal font partie des procédés satirique utilisé par la Fontaine puisqu'il a recourt au champs lexical de la Cour de la société plus raffiné pour le monde animal et pour le monde le plus bas . De même les diérèses du vers 1 et 2 « Lionne » « nation », la désignation du vers 26 « sont péjoratifs et participe à l'alcatire ». De plus la rime des vers

l’amant de Thérèse et son complice dans l’assassinat de Camille. L’ironie du sort veut que ce soit Camille lui-même qui l’introduise chez lui et le présente à sa femme. Les premiers regards de celle-ci pour Laurent laissent prévoir quelle sera leur relation future. 1. Présentation de Laurent par Camille 2. Le regard de Thérèse sur Laurent 1. Le jour (un jeudi) est déjà différent des autres, puisque c’est celui des « réceptions du jeudi », où Madame Raquin reçoit quatre personnes (Michaud, son

c’est, de plus, l’occasion de travailler sur les différents genres du biographique, de l’autobiographie au récit personnel, en passant par les mémoires ; de surcroît, l’œuvre porte non seulement le témoignage d’une existence singulière mais aussi un regard plus large sur l’Histoire, initiant par là un questionnement sur l’humanité. SOMMAIRE Séance 1 › À la rencontre de l’œuvre Séance 2 › Sur le seuil Séance 3 › La naissance d’une amitié Séance 4 › Les techniques narratives Séance 5 › L’expression

rêverie Structure syntaxique de la première strophe qui met en avant l’importance accordée à la rêverie  Mise en place d’un effet d’attente avec « quand… » Apparition de « je vois » au vers 3 après une longue proposition conjonctive introduite par « quand » et entrecoupée d’incises Cadre qui détermine la puissance de la rêverie à venir Champ lexical de la clôture : « les deux yeux fermés » et de l’intimité : « ton sein chaleureux » Expression d’un climat protecteur, sûr et propice au rêve nostalgique :

personnage. « ce regard désert » -métaphore péjoratif. Page 53 « comme une déportée » une comparaison dépressive avec des mots tels que « cachot » lg 6-8. Ponctuation reflète la « vitesse » de l’autobus. Description- gradation de l’atmosphère. Chaleur et rouge cru renforce le thème de la frustration et la colère. Un ton dévalorisant « peau blême, rouge cru de cou » le point de vue du narrateur qui joue à être dans les pensées de Thérèse. Portrait dévalorisant de Bernard Champ lexical de l’inconfort

la scène paraît silencieuse comme le souligne l'adverbe final « silencieusement ». En revanche, le champ lexical de la vue est très présent avec des termes comme « examina », « aperçut » ou « image », le lecteur se trouvant impliqué dans cette vision par l'usage des impératifs mais aussi par le biais du pronom « on » dans « à peine voyait-on ». Enfin, la description est au départ amorcée par le regard du jeune peintre Nicolas Poussin et s'achève par une comparaison avec une « toile de Rembrandt ».

la disposition du texte en cinq paragraphes. De plus, la description de Mme Arnoux est faite tout d’abord par un portrait physique puis ensuite, un portrait moral. Le premier paragraphe est en réalité une seule phrase courte, « Ce fut comme une apparition : » l.1 qui permet d’appuyer l’importance du passage. Pour cela, Flaubert utilise le présentatif « ce fut » l.1 qui, encore une fois, vient insister et mettre en valeur l’importance cet extrait et finit la phrase par deux points, ce qui annonce

L'autre perle de Cléopâtre Près de l'anneau de Salomon. La couronne au gouffre lancée Dans la ballade de Schiller, Sans qu'un plongeur l'ait ramassée, Y jette encor son reflet clair. Un pouvoir magique m'entraîne Vers l'abîme de ce regard, Comme au sein des eaux la sirène Attirait Harald Harfagar. Mon âme, avec la violence D'un irrésistible désir, Au milieu du gouffre s'élance Vers l'ombre impossible à saisir. Montrant son sein, cachant sa queue, La sirène amoureusement