Champ Lexical Du Regard Apparition

Il y a des stichomythies. Don Salluste a une grande importance dans la scène. Il y a des brèves apparitions de Ruy Blas. Don Salluste est suivi de Gudiel. Il est autoritaire et se sert souvent de l'impératif, des exclamatives et de didascalies. «  Il se tourne brusquement vers Gudiel », fait des gestes. Acte II, scène 3 de Ruy Blas L'amour impossible dans l'acte II, scène 3 de Ruy Blas Le regard Le spectateur est omniscient dans cette scène car il connaît l'identité de Ruy Blas, connaît

blessures », et 41 « brûlure ». Il retranscrit cette souffrance morale dans le poème tant sur le plan physique que psychologique. * rêve et utopie Cette souffrance morale est due à la réalisation improbable d’une utopie qu’il s’était crée : le champ lexical du rêve le montre au vers 1 : « j’ai tant rêvé », v.15 « tous songes », v.26 « chimères », v.30 « tant pis pour les rêveurs, tant pis pour l’utopie », v.14 « imagine ». On se rend compte par l’intensité de la métaphore du vers 25 « j’attendais

procédés littéraires que l’auteur met en place contribuent également à renforcer les liens qui les unissent. Ainsi, l’emploi d’un champ lexical commun pour qualifier les sentiments qu’ils éprouvent par rapport aux évènements des chapitres VII et VIII en fait partie. Ces sentiments qu’ils partagent et qui sont déclenchés par Raymon lui-même, s’expriment au travers du champ lexical de la honte auquel participent notamment des termes tels que « humiliations »[3], « souillé »[4], « déshonneur »[5], « réputation »[6]

Eléments pour l’intro + révision des 4 étapes. Pbmatique : De quelle façon les inconvénients de la vie parisienne apparaissent-ils dans ce texte ? I. Une ville placée sous le signe de l’agitation * champ lexical du bruit => vacarme assourdissant * énumération de personnages => foule * champ lexical de la foule => omniprésente, gênante * anaphore (répétit° d’une exp en début de vers) de « là » => on ne sait plus où donner de la tête, agacemt |Méthode : Dans une lecture analytique (ou un commentaire

originale - L’entrée à la cour et l’influence maternelle future Le commentaire | Introduction I. Le portrait de Mlle de Chartres a. La beauté parfaite La tournure impersonnelle de la phrase permet de mettre en scène le personnage. Son apparition est théâtrale. L’adverbe « alors » rappelle le lever du rideau au théâtre et crée une mise en attente. Émerveillement du public avec « attira les yeux de tout le monde ». Système de subordination cause-conséquence : « l’on doit croire que »

Troncs communs  - Textes divers autour de la typologie textuelle.Module 1- La nouvelle réaliste : Maupassant «  La ficelle  » ou «  Aux champs  ». -La poésie, une ode et une chanson.Module 2- La nouvelle fantastique : Mérimé : « 

Une charogne Problématique : Comment Baudelaire affirme-t-il la victoire de l’art sur la mort ? Premier mouvement  Description alchimique de la charogne S5champ lexical de la putréfaction : « mouches », « putride » (v. 17), « noirs » (v. 18), « larves » (v. 19)  description répugnante du cadavre, sens de la vue sollicité allitération en [R] aux vers 17, 18, 19  son désagréable qui fait écho au bourdonnement des mouches (v. 17), sens de l’ouïe sollicité hyperbole + rejet : « de noirs bataillons

est la jeune fille uniquement. - progression des événements / évolution (strophe 1 : apparition, strophes 2 et 3 : bonheur éprouvé, strophe 4 : soumission !) Cadre spatio-temporel : temps = "un jour de juin" ; lieu = non défini. b) un récit assumé par un narrateur : - dès le deuxième vers, apparition du pronom "j'" ; caractérisation du narrateur : "soucieux", "mon âme assombrie" ; il est défini par son regard " mes yeux" et par son état d'esprit "mon âme". 2) la jeune fille : a) attendue dès

cette ville, et d'y pénétrer avec l'auteur. En effet le regard progresse à travers un champ de vision de plus en plus resserré avec un effet de zoom. Nous avons au début des plans d'ensemble ( vers 1 à 17 ) qui donnent à voir la cité de loin, puis on pénètre dans les « quartiers » en s'approchant assez pour voir les habitants, même furtivement ( « les femmes et leurs guenilles apparues » au vers 19 ) et la flore dans les squares. Puis le regard s'arrête sur un lieu précis, le bar, où l'on entre au

bains : Ouvrez vos oreilles ! BÉRENGER : Comment ? JEAN : Ouvrez vos oreilles. J'ai dit : pourquoi ne pas être rhinocéros ? J'aime les changements. BÉRENGER : De telles affrmations venant de votre part... (Bérenger s'interrompt, car Jean fait une apparition effrayante. En effet, Jean est devenu tout à fait vert. La bosse de son front est presque devenue une corne de rhinocéros.) Oh ! vous semblez vraiment perdre la tête ! (Jean se précipite vers son lit, jette les couvertures par terre, prononce