Champ Lexical Du Regard Apparition

La fonction du regard dans La Morte Amoureuse de Th. Gauthier Introduction Théophile Gautier, que nous connaissons surtout grâce à ses poésies ou ses romans, a aussi grandement contribué à faire connaître le genre fantastique en France. Il appartient, avec Charles Nodier, Prosper Mérimée ou encore Guy de Maupassant, à un groupe d’auteurs qui, en s’inspirant parfois de l’exemple que leur donne à l’étranger E.T.A. Hofmann ou encore E. A. Poe, donneront progressivement ses lettres

prospérité, liberté | La Hollande est dominée par l'Angleterre | Déclin de cette peinture | Disparition des émotions et des ambitions, vie aisée | Installation d'une monarchie absolue, des bienséances, de la vie de cour | Apparition de la tragédie française | Vie de cour, importance des bienséances, goût de la représentation | Révolution | Disparition de la tragédie | Disparition de la société nobiliaire |  Le tableau fait apparaître des relations

Héro médiéval est tirée du héro antique qui est exceptionnel par ses exploits = héro se surpasse par force physique et spirituelle .Courtoisie ou fin'amor = codes en matière d'amour. Comment le héro mythique est-il mis en scène ici? Paragraphe 1= champs lexi de la guerre: 'heaume, haubert armer, bataille' = monde médiéval, registre épique, exploit guerrier. Similitude entre mythe de Thésé et T et I + Minautore et Morholt+ héro antique et médiéval. Enumération montre pitié et peur = 2 sentiments

dans une nuit atroce, celle de l'esprit ou celle du corps, incapables de rejoindre le pays natal, éternellement solitaires. Et la ville qui hurle autour d'eux est perdue comme ils sont perdus en elle. QUATRAINS I et II Vers 1-4 “contempler”, c'est regarder avec une attention méditative. L'âme est donc conviée à réfléchir sur ce spectacle douloureux qui va éclairer le drame intérieur du poète. Il s'agit des “aveugles”, mais pour ménager un effet, le terme n'apparaîtra qu'à la dernière rime du sonnet

métal qui nous fait penser qu’ils sont dans un réfectoire. Le jeune au premier plan a les bras croisés et il s’appui dessus. Il a le regard lointain comme si par la pensée il s’évadait de cet univers. Ce sentiment d’évasion est amplifié par le flou crée derrière lui ; le photographe ayant probablement utilisé une focale courte pour donner une faible profondeur de champs à l’image et détachant encore un peu plus le personnage au premier plan du reste. 2] Etude des marques d’énonciation :

La constitution d’un nouveau couple maître-valet au féminin A. Le portrait de deux femmes Suzanne : perspicace, vive mais inexpérimentée. Comtesse, que l’on découvre pleinement dans ce passage : - femme encore amoureuse de son mari (Champ lexical de l’amour dans son aveu : "Ah! je l’ai trop aimé ! je l’ai lassé de mes tendresses et fatigué de mon amour ; voilà mon seul tort avec lui" (l.36-38) - Lassitude : En // cependant, on voit qu’elle emploie le passé pour évoquer le Comte, et

1 Baudelaire La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois1, verts comme les prairies, - Et d'autres

cochons... » de COLIN THIBERT. ColinThibert, pseudonyme de Pierre Colin-Thibert, est né en 1951. Il est scénariste et romancier. Ses nouvelles, « Trois petits cochons... » (2008) et « Alter ego » (2009), tiennent de la science-fiction et portent un regard lucide teinté d'inquiétude sur le monde. - « La Fin de la faim ? » de FLORENCE THINARD. Florence Thinard est née en 1962, journaliste et romancière, elle a,en particulier, participé en 2008 à la publication d'un recueil de nouvelles avec son

autres puisque séparées par une virgule e par la répétition de « dans mon pays ». De plus, « dans mon pays, on remercie » présente les mêmes caractéristiques. Pour décrire son idéal, René Char choisit de représenter la nature en employant un champ lexical riche et varié (« printemps », « oiseux », « aurore », « ombre », « feuilles », « arbres », « branches », « fruits »). Ainsi, il crée un contraste à la guerre dont il a été marqué, en ayant recours à des nuances et des couleurs, telles que le vert

vivant et est basée sur le principe que les espèces supérieures, les prédateurs, chassent et se nourrissent d’autres espèces plus faibles, les proies. Néanmoins, le lexique jusque là dithyrambique se transforme en lexique péjoratif dès la deuxième apparition du mot « homme » (ligne 4). Nous pouvons relever l’utilisation de la structure grammaticale décrite une fois de plus, mais elle a cette fois-ci une connotation dépréciative à cause de l’adjectif qualificatif épithète « sots » (ligne 6), elle-même