Champ Lexical Du Voyage

voyage au bout de la nuit L’extrait de Voyage au bout de la nuit de Céline met en scène Tania, la nouvelle copine de l'auteur, qui est prise dans une fièvre amoureuse pour un homme qu'elle a rencontré à Berlin. Elle est prête à tout pour retourner le rejoindre, même à poursuivre les agents théâtraux dans des conditions précaires. Cependant, cette histoire d'amour prend une tournure tragique lorsque l'amant de Tania meurt de la grippe. Le narrateur la suit alors dans son délire et tente de la

DENIS DIDEROT, Supplément au voyage de Bougainville, 1772 Denis Diderot, le grand philosophe des Lumières, était à la tête de l’encyclopédie. Il défend la liberté de penser et à constamment recours au dialogue comme une forme privilégiée du débat. Chaque personnage représente souvent les opinions contradictoires de l'auteur lui-même. Le dialogue permet donc à Diderot de mettre en scène une délibération en exposant ses propres interrogations. Le supplément au voyage de Bougainville participe pleinement

un environnement vaste "ciel" (V3), "large" (V5) sans limite comme nous le confirme l'allusion aux astres et aux constellations par le champ lexical de des corps célestes: ''Grande-Ourse'' (V7), ''étoiles'' (V8) et naturel comme nous le prouve l'utilisation du champ lexical de la nature: ''ciel'' (V4 et 8), ''rosée'' (V11).L' utilisation du champ lexical du voyage ''course''(V6), ''routes'' (V9), ''soulier'' (V14) ainsi que celle de verbes de déplacement ''allais'' (V1) donnent une impression de

Le titre du poème « Tsigane » nous fait tout de suite penser au voyage, à la découverte. Le poème exprime sa quête sans fin de liberté et de nouveauté à travers l’errance. L’emploi d’une métaphore entre « un vent » et « baigne » signifie que le tsigane se rend partout, vers l’avenir, n=vers la nouveauté. C’est tous les jours un nouveau départ, les cheveux aux vents, ce qui donne une sensation de liberté. Chaque jour, puisqu’il voyage, il doit s’adapter à une nouvelle situation. L’utilisation du

* « Chacun est libre » Thomas More. Récit d’un voyage fictif pour donner un contre modèle à la GB. Il y a 2 parties, la 1ère est publiée après la seconde pour donner un contre point à la société Anglaise et européenne. Propose une société meilleure ; l’espoir d’un changement ; prise de distance, critique qui invite à la contestation * « Utopia » Thomas More. Lieu écarté, caché. Egalité, pas de classe sociale, collectivité. Champ lexical de la nature (importance de la nature). Vocabulaire

Quant aux interprétations et aux déductions, vérifiez si vos propres réponses sont semblables aux pistes de réponses, sans nécessairement être les mêmes. « L’invitation au voyage », de Baudelaire Tableau-synthèse Déduction Idées et thèmes Symbolique du décor Repérage des illustrations Procédé d’écriture Champs lexicaux Preuves textuelles Beauté Le décor suggère un ailleurs merveilleux où tout est harmonieux, où il y a correspondance entre les sens, les sentiments et la spiritualité

L’Invitation au Voyage. Baudelaire est un écrivain français né en 1821 et mort en 1867 à Paris. En 1861, Baudelaire publie une 2ème édition des Fleurs du Mal ; dans cette nouvelle édition il y a le poème étudié : L’Invitation au Voyage. Dans les Fleurs du Mal, il y six parties, ce poème se trouve dans la 1ère partie : Spleen et Idéal, c’est le 53ème. Il fait partie du 3ème cycle des femmes qui ont inspirée Baudelaire. Pour écrire ce poème, il s’est inspiré d’une actrice rencontrée en 1866, Marie

 Idée principale 1 : L’éclatement du temps présente une contradiction entre la vision du futur et un retour au passé. Idée secondaire 1 : Pendant le voyage en train, le temps est tourné vers le futur sous l’attente d’un point d’arrivée. Preuve 1 : Citation : « Dis, Blaise, sommes-nous bien loin de Montmartre? […] / Le train palpite au cœur des horizons plombés / Et ton chagrin ricane… » Procédés d’écriture relevés : répétition et oxymore Commentaire interprétatif : La répétition constante

son temps, notamment les poètes. De ce fait, il compare sa situation actuelle à un vide comme le prouve l’utilisation du champ lexical de l’absence. En effet, le poète emploie des termes tels que : « rien (v.4) ; déserte (v.6) ; vide (v.7) ; blancheur (v.7) ; perdus (v.15) ». Ainsi, nous pouvons déclarer que le présent n’a plus aucune importance pour le poète. Ce champ lexical du vide est comparable au problème de l’écriture chez u poète et donc au manque d’inspiration auquel est confronté Mallarmé

bouche (l’envie/mépris/nourriture) Champ lexical de la nourriture Champ lexical de la naïveté Champ lexical de l’envie Champ lexical du mépris Figure d’analogie Figures d’insistance Ponctuation rationnelle II. De grands yeux (lignes 17 à 54) (envie/naïveté/mépris) Le premier pas (mépris/envie/naiveté) Le supplice odieux (nourriture/mépris/envie) Champ lexical de la nourriture Champ lexical de la naïveté Champ lexical de l’envie Champ lexical du mépris Figures d’analogie Figures