Champ Lexical Noblesse

Diderot, dans son Supplément au voyage de bougainville, qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical dénonce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot donne le champ lexical de la violence : " funeste avenir ", " fureurs inconnues ", " folles ", " féroces ", " esclaves " et " teintes de sang ". Les mots sont

génération, est d’abord proposée. Champ lexical des lignes 11 et 12 ainsi que l’hyperbole de la ligne 12. Ces qualités constituent un portrait idéalisé des ancêtres et des Canadiens français. 2. Ensuite, le texte présente de l’envahisseur anglo-saxon une figure essentiellement négative (donc opposée à celle des Canadiens français) qu’il est légitime de combattre afin de survivre. Il brosse en quelques traits une image démoniaque de l’étranger. Champ lexical des lignes 18, 19 et 20, et

le haut et le bas: terre / nue - le vertical et l'horizontal : descend / termine mon horizon - l'intérieur et l'extérieur : va et vient entre la fenêtre - vue sur l'extérieur - et la pièce dans laquelle se trouve le poète. • Le champ lexical de l'eau • Approche de la réalité : désir d'appréhender le monde dans sa globalité > tout a un contraire (Connaissance de l'Est - découvre une autre partie du monde ) • Phrase descriptive juxtaposée, sauf « cependant » qui rompt la structure

ces termes : « éclair », « foudroyés ». Mais c’est surtout la vengeance de Mme Raquin que l'on ressent dans ce texte, plusieurs évocations de son regard sur la mort des deux complices sont présentent. On relève dans ces derniers paragraphe le champ lexical du regard : « yeux », « contemplant », « regards », ils traduisent à la fin un triomphe : « ne pouvant se rassasier les yeux, les écrasant de regards lourds. » Dans cette seconde partie, nous avons pu voir que le dénouement de Thérèse Raquin

termes « charme » et « prodige » tissent le réseau lexical du merveilleux. Nous avons ici affaire à une célébration du téléphone. Le « rocher » est le centre d’un jeu phonétique (cf. décrocher) avec « en anicroche » (« sans anicroche » = sans problème) ; la métaphore est ici activée par la fausse dérivation rocher → décrocher = enlever du rocher. Le couple sirène / homard (homard / homme) évoque une relation de séduction observable par le champ lexical du sensuel : « appel », « seins », « frémir »,

travers différents procédés stylistique. Le plus manifeste correspond aux réseaux lexicaux dont on peut dire qu'ils caractérisent le monstre (l’apparence) et le travestissement dont l'évocation est fréquente dans la littérature du XVIII eme siècle, comme dans l’œuvre de Marivaux. a. Le lexique des apparences trompeuses -vocabulaire de l'apparence trompeuse : a l'air, masque, fourbe. De tout le champ lexical où manque le terme « hypocrite », c'est le substantif figure qui paraît le plus riche

Français Ici Théramène raconte la « mort » d’Hyppolite L’utilisation du champ lexical de l’audition a préparé la vision " d’horreur " qui a lieu maintenant (combat entre Hyppolite et le monstre). Cette apparition monstrueuse introduite par l’adverbe " Cependant " (qui oppose la vue à l’ouïe) constitue le moment crucial du récit dans la mesure où l’ennemi du héros est décrit dans toute sa puissance, notamment avec des termes hyperboliques de géographie. Mais le récit demeure vraisemblable

connaît très bien '' comme ma peau '' L1, une comparaison qui montre une certitude du personnage par rapport à l'artiste. Ensuite il y a le champ lexical des sensations qui domine, L14 '' j’entends '', L17 '' je sens '', une sensation qui s'éclaircit de plus en plus '' l'odeur de sa veste mouillée'' et ''le bruit de la pluie sur cette veste'', ce champ lexical des sensations montre aussi la situation délicate de l'artiste qui doit être épuisé, contrairement au personnage qui a l'aire d'être en forme

emportés sans retour » (v. 4), « l’océan des âges » (v. 5), « Coulez, coulez » (v. 28) b) toutes les strophes où l’on entend la voix du poète, évident dès les premières strophes  Analogie avec l’eau dévoile la nature fuyante du temps 2. Vaste champ lexical de la perte a) « emportés » (v. 4), « dévorent » (v. 29), « Oubliez » (v. 30), « échappe » (v. 32), « fuit » (v. 32), « dissiper » (v. 34), « s’envolent » (v. 41), « passés » (v. 44), « perdus » (v. 44), « efface » (v. 45), « ne rendra plus » (v

en plus) Assonance en “i” = ton joyeux et excité  II. Une mise en abyme sur la création poétique A) Le thème: l’écriture d’un poème “JE” du poète : forte implication Mise en abyme: écrit un poème sur le fait d’un écrire un Champ lexical: “petit poème, mes autres poèmes, mes oeuvres complètes, “-pouète”, rime, rythme, lyre, verse, prose” Acte d’écrire: “j’ai envie d’écrire”, Pégase (inspiration poétique) B) Un poème qui prend forme Animalisation: “en voilà un qui passe”