Champ Lexical Noblesse

hommes et en exploitant le champ lexical de la fraternité. Il en fait notamment usage pour nommer le groupe des pendus, mais aussi pour nommer celui des vivants, créant ainsi un lien de ressemblance entre les deux : «Frères humains, frères, notre confrérie». Ceci nous amène donc à une autre technique utilisé par Villon pour motiver la solidarité des hommes; il rend les hommes égaux dans la mort comme dans la vie. De fait, l’utilisation d’expressions d’un même champ lexical, celui de la fraternité,

bien son fils, remettant en question la confiance qu’il porte à sa femme. On assiste donc à un drame familial. De plus, la tension dramatique est accentuée par le champ lexical de la désolation du fils. Il comporte des termes comme « larmes aux yeux », « sanglota », « les sanglots »,  « les hoquets », « balbutiant ». Et par le champ lexical de colère des parents plus particulièrement du père : « colère concentré », « jetant avec force », « yeux de lynx », « frappa », « un ton sévère ». Plus on approche

l’expérience douloureuse qu’est la solitude et dans une seconde partie, nous parleront du lyrisme universel. Musset exprime dans ce poème sa grande solitude dû à sa séparation avec George Sand. En effet, on peut voir la présence d’un champ lexical de cette solitude comme attendre, perdue déserte et fuit. Le terme solitude est lui-même présent dès le premier vers. Il y a une omniprésence de la troisième personne qui pourrait faire croire qu’il parle de la femme aimé mais qui finalement revient

forte pour montrer que les adultes se servent des enfants pour leur propre travail « qui se sert d’un enfant ainsi que d’un outil ». Enfin, l’auteur essaye de montrer la souffrance physique et morale que les enfants peuvent endurer. Grâce au champ lexical de la maladie et de la fatigue « fièvre maigrit », « pâleur », « déjà bien las ». Avec le lieu peu propre où les enfants sont tout au long de la journée, on imagine bien qu’il y a toutes sortes de maladies qu’ils peuvent attrapés, ce qui accentue

viennent l’acclamer et le féliciter pour son mariage « la foule coulait devant lui comme un fleuve » (hyperbole). On a l’impression que les gens sont venu rien que pour lui « lorsqu’il parvint sur le seuil […] le contemplait et l’enviait ». Le champ lexical du désir est exprimé « baisers », « gentillesse », « lèvres » pour montrer l’adultère. Il profane le lieu sacre qu’est l’Église en pensant a Mme de Marelle « quelle charmante maitresse, tout de même ». Il n’épouse Suzanne que par intérêt professionnel

pour finir sur la vengeance de Mme Raquin. On remarque dans ce passage le rapprochement des deux meurtriers contrairement au reste du roman. En effet, on relève un champ lexical du regard : « dernier regard », « regard de remerciement » qui montre l‘insistance de Zola sur le regard de ses personnages. On remarque aussi un champ lexical de verbes de pensées et de sentiments où Thérèse et Laurent sont tous deux sujets : « songeant », « ils se sentirent », « ils éprouvèrent ». On comprend donc que Thérèse

I. La solitude tragique de Bérenger a) Il se retrouve seul suite au départ de Daisy. Utilisation d’un miroir, car plus d’interlocuteur, d’où le choix d’un monologue. b) Thème : éloge des rhinocéros. Importance du corps pour Bérenger (champ lexical du corps très présent). Il a tendance à mettre en opposition certains points du corps humain avec les rhinocéros : comparaison de la voix. Eloge chez le rhino, « leur chant ont du charme », idée d’envoutement, de magie, lié à la voix. Référence

d’un pouvoir surnaturel : front // vents ténébreux (2), panse // couchant rougeoie (5), sourcils // orage menaçant (13), cheveux // tempêtes voltigent (15), poing // obscurité (17) • • 2. La gradation de la violence Elle s’orchestre à partir du champ lexical d’un bruit de plus en plus intense : sons de cloches innombrables (8), sonore, le vacarme de millions d’habitants (9), grondant (20) Elle se lit dans la structure du poème lui-même : Première strophe : le dieu « se carre », mention de la « rage

semble se référer à la bien aimée tant par les expressions qui appartiennent au champ lexical de l’amour et de la passion (« aimer, charme, vivre ensemble ») ; que par les pronoms possessifs qui renvoient à l’affinité entre le poète et le destinataire. Le deuxième vers place le poème sous le signe du rêve et de l’évasion, notamment grâce au verbe « songer », et s’achève sur le sommeil « le monde s’endort ». Le champ lexical du rêve (« songe, mystérieux, dormir, s’endort… ») est dominant et le verbe

litote: «va je ne te hais point» vers 963 ce qui permet a Chimène de révéler, avec pudeur, son amour. Aussi d'autre négation ponctuent son discour «je ne puis» qui met fin au vers 963 et le vers 984 «Mon unique souhait et de ne rien pouvoir», le champ lexical de l'amour est très présent: par la métaphore du feu :Rodrigue «ta flamme» vers 965 ou encore «des feux si beau» etc... Cependant si l'amour est réciproque il s'accompagne de douleur. -Amour et douleur culminent dans l'échange de stichomythies