Champ Lexical Tabac

Lecture analytique de la scène de la rencontre dans Manon Lescaut, roman de l’Abbé Prévost (1731) page 56 Eléments de la scène de rencontre : On attend qu’il y est deux personnages Champ lexical de l’amour Champ lexical du regard Champ lexical des sentiments Champ lexical des sensations Il y a de la description (une description souvent élogieuse) Caractérisation du texte : Personnages : Le chevalier Des Grieux Lieu : Amiens, France Auteur : Abbé Prévost Titre : Manon Lescaut

rire, immense et croissant, assure la fidélité de se invités et souligne sa supériorité dans le domaine de l’amabilité. Par ailleurs, ces invités se « battent » pour assurer une place dans le « camp des fideles ». Ceci rappelle alors le champ lexical militaire : « haut siège » l.1, «  poste élevé » l.9, « contre un ennuyeux ou contre un ancien habitue » l. 13, «  camp des ennuyeux » l.13, « s’essoufflait vite » , « distancé et vaincu »l. 15, « ruse »l.16. Ce lexique met en évidence le différent

suivre, comme s'il était le messager de Dieu, un élu. Nous pouvons retrouver le champ lexical de la lumière : "torche, flamboyer" v19-20, on peut considérer la présence de ce champ lexical comme une allégorie de la connaissance, du savoir. Mais nous retrouvons egalement dans ce texte le champ lexical de l'obscurité: "nuit" v.33 "les ombres" v.35, et nous pouvons considérer celui ci comme l'ignorance. Ces deux champ lexicaux nous rappelle le titre du recueil " Les rayons et les ombres", la lumière et

Félicien C'est à travers le corps féminin que les auteurs décrivent le plus souvent la sensualité. Dans ce texte,extrait du livre Voyage par les grèves et les champs, Flaubert nous la montre autrement. C'est grâce à la chevelure d'un homme que la sensualité est mise en avant de ce texte. Tout d' abords,nous pouvons observer un champ lexical du corps, «Chevelure blonde, dos, chevelure de femme, ses deux épaules, coup nu, tête et bras nus». Le corps entier est présent dans ce texte. On peut observer

indispensables pour le décryptage du texte | |Le type de texte, la versification, les sonorités, l’énonciation, | |les valeurs des temps et modes des verbes, les adjectifs antéposés | |et postposés, les adverbes, le champ lexical, champ sémantique, | |connotation, dénotation, la syntaxe, la ponctuation, les figures de | |style, le niveau de langue, les modalisateurs… | 1. Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çà et là par

réalité journalière vécue par les mineurs chaleur et humidité la température montait jusqu'à 35 degrés, chauffait, son supplice s'aggravait, brûler le sang,= champ lexical de la souffrance la chaleur, métaphore = chaleur qui devient torture. Ruisselaient d'eau, grosses gouttes, continues, rapides et fumant d'une buée de lessive = champ lexical de l'humidité = le lieu devient étuve, précision très réaliste du tourment enduré elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient = rythme ternaire et

présence des champs lexical de la guerre (mitraille v1, bataillons v4, croulent v4, folie épouvantable v5, broient v5, morts v7) dominé par la violence et la mort. La métaphore « les crachats rouges de la mitraille » v1 compare les balles de l’artillerie aux blessures quelle peut causer et au sang quelle fait verser. Cela évoque le fait que les armes font la guerre sans aucun sentiment à l’égard des soldats tués. La métaphore « Croulent les bataillons en masse dans le feu » compare le champ de bataille

croise mais on ne se rencontre pas. De plus, on remarque à l’inverse de la première partie, que les trois textes évoquent des points négatifs sur la ville. On doit en conclure que les personnages ont un avis assez négatif. On remarque que le champ lexical du vol est évoqué à chaque texte. Prenons par exemple le cas du texte B où il est question « de vol, prostitution et meurtre ». Donc Paris est aussi une ville de débâcle, un repère de brigand. On retrouve ce paradoxe à la fin du texte B lorsque

verbe « oublier » démontre qu’il a reçu une certaine éducation, mais que par son égocentrisme, il n’en a que faire des bonnes manières. | « il fait son propre de chaque service » (L.3) l’utilisation du mot « propre » forme une antithèse avec le champ lexical dominant de la saleté et du dégoût, même si dans cette phrase le terme représente la possession. | « Il ne se sert à table que de ses mains » (L.5) l’utilisation de ses mains à table démontre qu’il est sans gêne. | « Il manie les viandes, les

message Epicurien: 1ers mots: Vivamus: subjonctif Vivons: impératif Ces mots résument toute l'histoire. Répétition du mot vivamus chez Du Bellay, en les plaçant dans des endroits stratégiques: virgules. Dans les deux poèmes, il y a le champ lexical de la vie « vivamus, anemus, lux,vivons,faire bonne chère, le vivre, le plaisir, désir...» Chez Catulle, les nombres servent à traduire l'intensité . Le futur montre cette volonté de vivre « fecerimus» ( lorsque nous auront fait), conturbabimus