Champ Lexical Tabac

puissante 1° Champ lexical de la nature a) «les  vents » (l.4), « les eaux » (l.4), « un désert » (l.5), etc. → La nature est omniprésente. 2° Personnification de la nature a) « un étang désert où le jonc flétri murmurait » (l.14) et « Levez-vous vite, orages désirés » (l.20) → La nature est une force incontrôlable. C.A : René associe la nature à une force qu’il ne peut pas contrôler et qui l’entoure en tout temps. B) René perçoit son âme 1° Champs lexicaux liés aux

« vilain » (l.1160), et « fesse-mathieu » (l.1160). Le revirement de situation amène le comique puisqu’Harpagon ne s’attendait à entendre autant d’insultes. L’abondance de mots insultants reliés à l’avarice illustre à quel point il est avare. Ce champ lexical est donc comique. Bref, cette pièce est une comédie à cause de l’exagération du vice du personnage principal. L’avarice est présentée une première fois lorsqu’Harpagon se plaint de devoir dépenser de l’argent et, une deuxième fois, lorsque tous

utilise deux symboles de liberté « oiseau » et « brise » personnifiés par une double apostrophe: « oiseau qui fends l'espace...Et toi, brise qui passe ». On peut supposer que les points de suspension rappelle le vol de l'oiseau. On retrouve le champ lexical du mouvement, ce qui reflète la vie: « vol », « mouvant », « tourbillonne ». On observe une hyperbole qui laisse penser que le poète n'est tellement plus habitué à voir de la couleur qu'il s'emporte en imaginant celle d'une feuille: « Peinte de

pour lui. 8. a) –«Et elle hait les juifs  –« Elle déteste les juifs » –«Elle en a peur » L’aveu de Conrad est alors qu’il n’a pas présente Hans à ses parents puisque sa mère hait les juifs. b) Le champ lexical présent dans cette partie du texte c’est le champ lexical de la haine : (l. 32) « hait », (l. 35) « déteste », (l. 35) « peur ». c) Conrad pense que cette explication est désagréable (l. 30) « La raison […] est beaucoup plus simple et plus désagréable ». 9. Les « gens

compliquer, simule une soit disant connaissance qui rend la publicité plus convaincante. ⇒ L’ironie est présente dans le discours, énonçant les soit disant qualités du produit alors que l’auteur sous entend l’inverse. B. Un objet superficiel ⇒ Champ lexical de la superficialité: ‘’vernis’’ rappelle la surface. De même que ‘’mélodie’’ qui renvois a l'idée de la ‘’surface’’ d’une musique sans aller dans la profondeur musicale. ⇒ la matière de la radio en aluminium: un simple métal froid, brillant

nature. Les mésaventures d’une expédition dans un froid glacial avec des attaques d’insectes et la désobéissance et les conflits entre animaux. Tout d’abord nous pouvons voir que le voyage se fait dans un froid glacial. En effet, nous voyons le champ lexical du froid : « glace neigeuse », « solidifier », « gelées ». De plus, la température est si basse que les paroles se gélifient et fondent au touchées : «  Elles restaient un instant gelées au milieu de l’air, il suffisait de tendre ensuite une main

Et ce, par une accumulation de termes se rapportant au champ lexical de la sensualité. L’idée d’un corps voué au désir qu’exprime l’auteur dans les quatre premiers quatrains : « sa bouche de fraise », « pétrissant ses seins », « la lèvre humide », « mes seins triomphants », « mes bras veloutés » ; montre à bien des égards une omniprésence de la sensualité féminine. De surcroit, cette notion est accentuée par l’élément de redécouverte du plaisir qu’évoque Baudelaire dans sa métaphore : « Et fais rire

de leur famille.             Par ailleurs, ces trois figures maternelles sont aussi des personnes sources pour leur entourage. Elles prodiguent émerveillement "elle nous rapportait" l.8 est répété deux fois dans l'extrait de Sido, sentiments (champ lexical des sentiments dans l'extrait de Steinbeck), tout comme elles sont à l'origine de fêtes "fêtes, goûters, promenades, jeux, sortes de bamboulas…" au pluriel pour l'extrait de Giono, ou encore à l'origine du fonctionnement de leur famille. Madame

et ayant si tard commencé, …» - C’était une grande fête (l. 21) mais le destin les a quand même rapproché. Le ciel(l. 19) les a réunis-> « quelque ordonnance du ciel » II - Une amitié différente des autres - Amitié fusionnelle - Champ lexical de l’union - Cette amitié fait penser à une expérience mystique – élection divine - Une expérience chimique avec « quintessence » Mélange chimique -> « mélange » (l. 7), « confonde » (l. 6), « quintessence » (l. 37) III - Une amitié

travers le champ lexical de la beauté qu'on dresse un portrait physique : "regard suprême" vers 5, "beauté" vers 6, "la belle folâtre" vers 11, "la belle fille" vers 15. c) La répétition du mot "regard" insiste sur le jeu de regard qui s'installe entre les deux personnages : "je cru voir" vers 3, "elle me regarda" vers 5, "elle me regarda pour la seconde fois" vers 10, "je vis venir" vers 14. De plus nous avons un pléonasme vers 5 "elle me regarda de ce regard suprême" + champ lexical de la vue