Champ Lexicale De La Correspondance

dramatique. Dans cette fable, on remarque la chronologie très bien définie, il y a une gestion du temps logique. En effet, La Fontaine fait correspondre chaque partie du texte aux parties d'une pièces classiques sans transitions ou temps mort, cette correspondance donne une dynamique au texte, elle rend le récit vivant et animé. Tout d'abord le lecteur commence par lire un dialogue entre deux personnages, c'est un début in medias res, qui plonge le lecteur directement au coeur de la dispute au moment où

idéal = souvenir d’une scène vécue par Baudelaire en 1841 mais trouve sa source dans le malaise d’un poète. - au delà de l’anecdote + caractère dramatique, on découvre la signification symb. Lecture Sujet Narration d’une scène de vie en mer + correspondance poète/albatros = passage d’une anecdote à l’allégorie. A travers les motifs de l’oiseau -> Baudelaire propose une vision du poète, céleste et inadaptée. Poème dynamisé par une grandeur manichéenne (grandeur/chut – ciel/terre – poète/foule) Problématiques

daigne » L'insistance sur les attributs et les qualités de Dieu « Dieu de tous les êtres, de tous les temps », la puissance, l'éternité, la connaissance totale. La puissance divine est mise en relief par l'insistance sur la faiblesse humaine : champs lexical de la fragilité et du néant humain « faibles créatures », « débiles corps », « langage insuffisant », « usages ridicules ». Une constante demande d'aide « oser te demander » ce qui est demandé est présenté comme bénéfique à l'humanité entière

spirituel, « géographique »). Baudelaire exprime l’idéal sous diverses formes. Il y a l’idéal « géographique » que l’on peut relever avec, par exemple, le champ lexical de la nature. Il y a ensuite l’idéal esthétique et avant tout l’idéal esthétique chez la femme. Puis il y a l’idéal spirituel et l’idéal poétique. Tout d’abord, dans « Correspondance », Baudelaire met en avant l’idéal « géographique ». Il parle ici de la « nature » décrivant ici « l’homme » traversant « des forêts de symboles ». La forêt

nchA la façon de «  Correspondances », le titre du poème « Harmonie du soir » donne une des clés de son interprétation. Tout en respectant la rigueur métrique et le ton du pantoum,. Baudelaire en fait le lieu de la transfiguration poétique d’un paysage crépusculaire. Pourtant, le poème tient sa réussite de ce que Baudelaire a appelé la « sorcellerie évocatrice » ou « la magie suggestive » de la poésie qui devient alors un art purement suggestif et symbolique. 1erparagraphe La première strophe

mariniers » . La correspondance entre tous ces sens s’appellent les synesthésies : «  Les parfums , les couleurs et les sons se répondent » ( cf Correspondances ) . Elles permettent l’éclosion de l’Idéal . Axe II : un lieu paradisiaque a) lieu idéal  Simplicité des images. Effets de symétrie (vers construits sur le même patron syntaxique): «  des hommes dont le corps.. / et des femmes dont l’œil » . Femmes désignées métonymiquement par «  l’œil  », symbole de la franchise .Champ lex de la beauté

38 (fait penser à l'eau qui coule, sa fluidité) et le rythme est vif : notamment dans les deux premières strophes, il y a absence de points et les enjambements (3-4, 7-8) rallongent les vers. -L’obsession du temps (v 30 : temps qui fuit) avec champ lexical du temps : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité". On observe une métaphore du temps : "l’océan des âges" v 3 et v 35-36 assimilé à l’eau → métaphore filée du temps qui coule. Cette réflexion

cordon de sa sonnette afin d’alarmer le personnel. Le Vicomte de Valmont réussit à l’arreter en lui expliquant que si elle agit de la sorte, elle sera aussi perdue, car il l’a menace de la dénoncer au sujet de la clé (...) et donc ça révélera sa correspondance avec Danceny et se retrouvera donc certainement au couvent. Elle est alors amenée à la soumission. (En effet, elle s’excuse de son attitude : «  Celle-ci, tout en se désolant » (paragraphe 14)). Valmont souhaite obtenir qqch en échange des

les références au décor et à la nature sont toujours présentes, mais à partir du second quatrain elles sont liées au corps du dormeur. Dans le premier quatrain, le champ lexical de la nature est omniprésent, avec ses éléments et ses reliefs : « rivière », « herbes », « soleil », « montagnes », « petit val ». S’ajoute le champ lexical de la lumière : « soleil », « rayons », « d’argent », « luit » (ces deux dernier termes étant mis en valeur par leur place en rejet en têtes du vers après enjambement)

Mademoiselle de Chartes se révèle être la parfaite correspondance avec le canon de beauté féminin du XVIIème siècle. Elle est d’une « extrême jeunesse » (ligne 21), « la blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donne un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle ; tous ses traits étaient réguliers et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes» (ligne 24). Cette accumulation, les hyperboles, le vocabulaire valorisant ainsi que le champ lexical de la beauté physique donnent l’image d’une