Champs Lexical De La Folie

La Bête Humaine publié en 1890 par Emile Zola. Fidèle aux principes du naturalisme qu’il a lui-même mis en place puisqu’il est le chef de file de ce mouvement de la fin du XIXème siècle, il présente un personnage, Jacques Lantier qui va céder à sa folie meurtrière, héritée de parents alcooliques et des milieux pauvres dans lesquels il a grandi. Embusqué pour tuer le mari de sa maîtresse Séverine, c’est finalement elle qu’il va égorger. Le meurtre et le cadavre de la jeune femme sont décrits avec minutie

Tout d'abord, on peut constater des points communs entre les deux premiers poèmes du corpus. En effet, on remarque dans ces deux textes des champs lexicaux relativement marqués comme celui de la mort, avec “je mourais”, “s'éteindrait”, et “meurt” et celui de la guerre, avec “le front de l'armée” et “un obus”, dans le second. On a ensuite le champs lexical de la décomposition dans le poème de RONSARD avec, “les os”, “un squelette”, et “décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé”. Dans le premier texte

chaque paragraphe, dans la première «  refoulée par la raison », dans la deuxième «  déraison » dans la troisième «  gouverne de la raison ». Dans les deux textes on voit une gradation sur la question de la raison. Dans les deux textes le champ lexical de la folie est utilisée; Dans l’extrait de l’horla, «  Perdu la raison », « reconquis la raison », « éperdu d’étonnement », « contemplais », « somnambule », « étranger inconnaissable, invisible », « qui comprenda », « sain d’esprit », «  plein de raison »

désespérée, s'exclame et s'adresse à Claude, en introduisant ainsi le champ lexical de l'amour. Elle lui dit qu'elle l'aime de tout son coeur, "Je t'aime, que je t'adore!" (l.2), est très significative car c'est un indice de l'auteur, ce fait que Christine veuille à tout prix que Claude en soit persuadé, comme s'il n'était pas au courant. Le troisième paragraphe relate le thème du désespoir, allant parfois jusqu'au champ lexical de la mort, qui est voisin de celui du désespoir, du sombre. En effet

Séquence 2 : Le théâtre du XVIIe et du XXe siècleLes Fausses Confidences (1737)Texte 1 : Acte I, Scène 14 :Introduction : Cette scène est extrait de l’acte 1 scène 14 de la célèbre pièce Les Fausses Confidences du dramaturge français, Marivaux, joué pour la première fois en 1737. Marivaux était un célèbre moraliste français du XIIIe siècle qui s’inspirait beaucoup de la Comedia Del Arte ainsi que la société d’ordres dans laquelle vivait pour écrire ces œuvres

invisible et dangereux qui menace son esprit. Comment le registre fantastique est-il traité dans ce passage? Le registre fantastique est très présent dans ce texte, tout d'abord par le thème de la peur. Ce thème est très bien illustré par le champ lexical de la peur : « affolés » ( l 21); « peur » ( l 24); « épouvante » ( l 23) et « frissonner » ( l 32).Celui-ci nous montre la panique et l'angoisse du personnage. La ponctuation accentue l' angoisse : -Les exclamations: « Je l'ai vu! »;  « on

bien-aimée Hermione par l’intermédiaire de son ami Pylade. En quoi cette scène présente-t-elle un dénouement typique d’une tragédie ? Nous étudierons d’abord le comportement ambigu d’Oreste face au désespoir, puis la chute du personnage vers la folie, et enfin la manière dont cette scène résout l’intrigue et le sort des personnages. Dans cette scène, Racine délivre une vision ambivalente du personnage d’Oreste, le représentant tantôt ironique, tantôt désespéré. En effet, certains propos

après avoir été chassé par Acaste. Dans la scène 4 de l’acte 1, Médée expose ses émotions et sa colère envers Jason. On se demandera alors comment Médée exprime et justifie sa haine qui la pousse dans une folie vengeresse et meurtrière ? Pour ce faire on verra tout d’abord l’humiliation de Médée puis le personnage tragique qui nous est révélé à travers ce monologue.Conclusion :En conclusion, cette scène permet à travers le monologue de Médée d’observer

a un mélange entre l’énergie et la vérité des passions et une alternative de crainte et d’espérance, de terreur et de pitié continuelle. Nous allons étudier la scène 5 de l’acte 5 qui est la dernière scène de la pièce. Cet extrait nous raconte la folie que vit Oreste car son amante, Hermione est morte indirectement par sa faute : il a fait tuer Pyrrhus, l’amant d’Hermione. Nous pouvons alors nous interroger sur la place de cette scène dans cette tragédie. Premièrement, nous étudierons les

limites de la folie ?   Introduction : -          Présentation du texte : le recueil, le 4° livre Pauca Meae, le sens de ce titre et l’organisation des poèmes dans ce livre. -          Lecture du poème. -          Position du sujet (reprise de la question) : Le sentiment dominant exprimé par ce poème : une souffrance allant jusqu’à la folie. -          Annonce d’un plan : centré sur ces deux mots-clés.   I – L’expression de la souffrance :   -          champ lexical de la souffrance :