Champs Lexical De La Religion

image des indiens champ lexical de la barbarie: image négative champ lexical de la dérive sexuelle : pécher de la luxure champ lexical de la mécréance (ne pas croire en dieu) “idolatre” “temple” “mosquées”: pagamisme (croire en plusieur dieux) contraire à la foi + les plus grands énemis des occidentaux sont les musulmans à cause des croisades. “culte en l'honneur de Satan”: c'est un paradoxe car si les indiens croient en Satan alors ils croient en dieu. b.la religion champ lexical religieux “ satan”

charité 2- « vous ne connaissez » à « je me vais » la religion en débat 3- A fin chantage tentation sadique perverse de dj Dj se place en rivale dieu, il s’agit de lui reprendre une âme grâce à l’argent b- enchainement des répliques -Scène dynamique faite sur des réplique courte et équilibrer stichométrie, équilibre entre les prise de paroles qui sont de véritable confrontation - enchainement lexical Variation schématique entre le bien (idéal

Plan : I Les méfaits de l'Opinion A- Une dénomination de la pensée réformée péjorative.B- Les victimes de l'Opinion II La dénonciation de l'opinion A- Champ lexical de la violenceB- Champs lexical du désordre III Un texte engagé A- La position de RonsardB- Caractère engagé du texte I- Les méfaits de l’Opinion A- Une dénomination de la pensée réformée péjorative. .Opinion (doca en grec) : lexique péjoratif, signifie le sens commun, vs paradoxe, qui induit la réflexion et la pensée. .Ce monstre :

évoque la religion de l'antiquité. C'est un endroit sacré, ou l'on peut être en relation avec le divin. Le « est » est au présent de vérité générale. C'est un endroit où peuvent s'exercer des correspondances verticales vers le Dieu. Cette métaphore est filée dans le premier quatrain puisque les arbres sont un peu plus loin présentés comme de « vivants piliers ». Ces termes sont une périphrase, ils désignent les arbres. On retrouve également « forêts » juste après. Nous avons alors un champ lexical

bénéficier (= qui reçoit de l’argent du tiers état et du roi), qualité présentée ironiquement : n’est pas soul « le seul » = hyperbole ; cultivé : lit St-Augustin (confessions) et Rabelais (XVIème, Gargantua, Pantagruel, humour et critique sur la religion notamment et morale épicurienne). - Abbé présenté avec humour : métonymie = « s’amusait avec Rabelais », euphémisme = « déjà un peu sur l’âge », antithèse = « aimé de ses voisins, après l’avoir été autrefois de ses voisines ». - Mlle de Kerkabon

démontré par l’auteur en employant des indications temporelles précises comme «  vingt minute  », «  cinq heures et demie  » ou «  A six heures  », et des mots appartenant au champ lexical de la rapidité comme «  vite  », «  aussitôt  » ou «  courte  ». Le discours direct du prêtre incarne aussi le désir ardent de terminer la cérémonie le plus rapidement possible

inexplicables qui font malgré tout avancer l'histoire. - Molière fait intervenir des éléments surnaturels. Les éléments font alors avancer la pièce. Le surnaturel et la religion se mélange dans le texte, le commandeur, tué par DJ avant le début du roman, revient pour le punir. - Crédibilité donné à la pièce. Durant la pièce, DJ renie la religion et les dogmes habituels. Le paradoxe qui le punit ensuite est une sorte d'avertissement pour la population de l'époque, critique de l'inconstance grâce à Dieu. On

pièce Tartuffe a un rôle de destructeur de société. ?Pb religieux : Le problème religieux est la fosse dévotion. Mais pas seulement car Molière a travers Tartuffe s’attaque a la religion directement. IL s’attaque au temps au Jeansénisme qu’aux Jésuites. La religion est présente grâce aux champs lexicaux de la religion : cieux, pieux, chemin du ciel,… Conclusion : cette scène est bien une scène d’exposition dans la mesure où tous les personnages sont présenté et que l’intrigue de la pièce est

traité apparait comme une norme pour diriger et s’entraider en Europe L21 : « Ils dirigeront dans le même esprit de fraternité dont ils sont animés pour protéger la religion la paix et la justice »,et L26 : « Les trois princes (…) s’envisageant(…) comme délégués de la providence pour gouverner trois branches d’une même famille » . La religion chrétienne unit ces souverains a telle point qu’ils se sententcomme tous frère et fils de Dieu et suivent ainsi d’un commun et obligé accord sa volonté en tous point

reconnaissables et abordent des domaines important comme la guerre, la religion, la politique et le social. Par l’analyse de ses 4 poèmes on s’aperçoit que Rimbaud évoque explicitement sa révolte contre la société, puisque dans chaque texte il dénonce le conformisme social. Je commence par son poème « Le Mal », dans lequel il révèle tout d’abord les atrocités de la guerre : cette œuvre illustre l’horreur omniprésente sur les champs de batailles et sur lesquels règnent le chaos. Cette idée de chaos