Champs Lexicaux Les Chatiments

interne du narrateur-personnage, comme le montrent les nombreux verbes d’opération de la pensée (par exemple : « je pensais », l.9, « j’ai pensé », l.25, « j’ai compris », l.43) et de perception qui émaillent le texte, notamment ceux qui relèvent du champ lexical de la vision (ex :  « je voyais », l.8, « j’ai vu », l.11) . C’est avec une grande précision que Meursault rend compte ici des multiples sensations – visuelles, auditives, thermiques… - qu’il a éprouvées dans les minutes précédant le meurtre de

bourreau, festin de pierre) Messager de Dieu les choses sont jouées, plus de conditionnel « arrêtez ». Dom Juan ne peut plus s’échapper. La statue est la figure du destin. Champ lexical religieux : Ciel, flamme, tonnerre qui tombe de…la puissance du destin. II. Le défi de Dom Juan Dom Juan se voit infliger un châtiment à la hauteur de ses péchés : la mort. Il a enfin un adversaire à sa taille : seul Dieu peut le stopper. Mais il refuse la domination de son destin, dans le sens ou il l’affronte

Nous allons étudier du point de vue de l’argumentation un texte de Victor Hugo, le dernier jour d’un condamné, le chapitre XXVI en date de 1829, Le châtiment une nouvelles fois de Victor Hugo réflexions sur la guillotine de Camus en date de 1957. Nous allons donc répondre a la question qui est « En quoi ces trois textes mettent en œuvre une stratégie argumentative différente. » L’extrait le dernier jour d un condamné fait plus appel aux sentiments qu’à la raison. Nous partageons en tant que

femme et l’amant ne sont pas poursuivis par la justice. L’histoire parle de deux amants qui ont tués le mari gênant pour s’aimer en liberté, mais qui ne le purent pas. Malgré ne pas avoir été poursuivi par la justice, leur crime fût leur châtiment. Ce dernier les hantait complètement et leur culpabilité et leurs remords les envahirent. Et donc avec l’envie de mettre fin à leurs souffrances et d’échapper ses sentiments effrayants, ils s’empoisonnèrent mutuellement. Le registre tragique

génération à l’autre : ~ « les dévorer jusqu’au dernier » ceci est une mesure de précaution pour éviter toute descendance et donc toute vendetta. La justice humaine est fondée sur la vengeance, la justice divine cible le coupable. ~ Cf : champ lexical de la vengeance C’est une vengeance plutôt qu’une justice. Il n’y a aucune description pittoresque des animaux, pourtant caractéristique d’Esope. Il évoque les RAPPORTS et non pas ce qui les caractérise. II. LA JUSTICE DIVINE La Rapidité

à influencer le lecteur, il joue en quelque sorte avec ses sentiments : il vise à persuader, par des figures de style, le travail du rythme, des questions directes ou oratoires... Les indices du texte argumentatif > Vocabulaire abstrait, champ lexical lié au sujet (ex : la liberté, la justice, le bonheur…)> formulation d’une thèse, c’est-à-dire le jugement d’ensemble que l’on cherche à faire partager (ex : « La guerre est un fruit de la dépravation des hommes »)> apport d’arguments et

"Fable ou Histoire", Châtiments, Victor Hugo Mouvement littéraire: Romantisme Contexte historique : Exil à Jersey, Coup d'état de Napoléon III/Règne de Nap. III VH se sert de l'analogie entre les hommes et les animaux pour faire une satire/critique politique. Il réécrit une fable de LF "Le loup devenu berger". Cette fable est construite selon le schéma narratif: SI : v.1 à v.2 + élément déclencheur Péripéties/actions : v.7à 13 puis réaction v.17 SF/Chute: v.18 Texte narratif, les verbes

Commentaire « Les feuilles d’automne » Victor Hugo est un auteur romantique du XIXème siècle, il est connu pour avoir écrit de nombreux poèmes comme les contemplations, les châtiments ou encore les feuilles d’automne. Victor Hugo est un poète lyrique mais aussi épique, il a écrit de nombreux poèmes qui évoquent le sentiment du mal être et de la mélancolie. Les feuilles d’automne est un poème qui a été écrit par Victor Hugo et publié en 1831, il est dominé par le thème de la fuite du temps. On

  partie   (ligne   15   à   27)   rendra   compte   de   la   machination   montée   contre   Pyrot.   Enfin   la   derniere   partie   (ligne   28   à   44)   évoquera   le   chatiment  imposé  à  Pyrot  après  son  procès.     Nous   verrons   donc   dans   un   premier   l’analyse   de   la   réaction   du   peuple.   Cette   réaction   n’est   autre   que

peuple français et tous les combattants de la Liberté sauront honorer notre mémoire dignement. Au moment de mourir, je proclame que je n'ai aucune haine contre le peuple allemand et contre qui que ce soit, chacun aura ce qu'il méritera comme châtiment et comme récompense. Le peuple allemand et tous les autres peuples vivront en paix et en fraternité après la guerre qui ne durera plus longtemps. Bonheur à tous... J'ai un regret profond de ne t'avoir pas rendue heureuse, j'aurais bien voulu