Chantage

propre fils « se brûler la cervelle » ? Plus la lettre avance, plus la mère est prise au piège car elle ne peut pas ne pas lui donner cet argent. De plus, Rastignac utilise la stratégie d’exagération car la lettre est une exagération entre les moyens (chantage) et l’objectif (tenue de soirée). Ligne 16 : « Je dois aller dans le monde, et je n’ai pas un sou pour avoir des gants propres. » Rastignac insiste sur le fait qu’il doit faire son chemin mais n’a pas assez d’argent pour pouvoir satisfaire ses besoins

pour présenter la situation à sa fille, comme quoi elle court un grave danger. Mme de Clèves a besoin de sa mère pour l'aider dans ses choix et cette dernière a peur qu'elle en fasse de mauvais : « déplaisir de vous quitter ». C'est une sorte de chantage affectif que l'on retrouvera plusieurs fois dans la suite du discours. - « Vous avez de l’inclination pour M. de Nemours ; je ne vous demande point de me l’avouer : je ne suis plus en état de me servir de votre sincérité pour vous conduire. »

autorité. Aux injonctions « suis-moi », « parle », succède la supplication « Avançons, je t’en prie ». A travers la fréquence du « nous », il tente d’instituer fictivement un rapport de complicité avec son esclave. Il va même jusqu’à recourir au chantage affectif établissant ainsi un nouveau pacte avec lui. « Mon cher Arlequin » « Ne sais-tu pas que je t’aime ? » lui demande-t-il. Toutefois, excédé par l’insolence de son valet, présenté ici métaphoriquement comme un esclave, Iphicrate laisse

tante du Vicomte, car son mari est retenu à Dijon pur un procès très important. Contrariée, Mme de Merteuil essaie de rendre Valmont jaloux en lui racontant ses frasques amoureuses avec son nouvel amant, le chevalier de Belleroche et en exerçant un chantage affectif : si Valmont  peut fournir une preuve écrite de sa liaison avec madame de Tourvel, elle acceptera de redevenir son amante. Madame de Volanges, amie et confidente de Mme de Tourvel, met en garde cette dernière contre le volage Valmont et

menaces verbales, agressions physiques, avances et agressions sexuelles dans les espaces publics. -34% d’insultes et menaces verbales, harcèlement moral et sexuel, agressions physiques et destruction du matériel à l’école et au travail. -41% de chantage affectif, pressions psychologiques, viols et agressions physiques dans les foyers. De nos jours, La violence est de plus en plus fréquente à cause du manque de travail, du racisme, du sexisme, des différences physiques et morales. Les gens sont

théâtralisme est évident (dépendance affective) labilité émotionnelle. Mme X semble être d’une psychologie plastique, elle n’est pas dans l’authenticité d’identité personnelle, elle semble influençable, personnalité histrionique. Elle exerce un sévère chantage affectif sur ses enfants, elle semble se conforter dans ce mode de vie par les bénéfices secondaires (assurance invalidité). Érotisation des rapports sociaux (rapport avec le médecin). Nous pouvons diagnostiquer une hystérie de conversion, en effet

enfants sont de véritables "radars" de détection qui comprennent le langage infra-verbal comme personne. L'enfant ne doit pas non plus servir de messager entre ses deux parents, ni de bouc émissaire en cas de conflit. Il doit être préservé de tout chantage affectif, qu'il concerne les droits de garde, la pension, le mode de garde… Tout cela serait extrêmement destructeur pour lui ! Conclusion Tout cela semble évident, mais ça se complique dès lors que les sentiments sont à l'œuvre, et que

violence conjugale : verbale, psychologique, physique, sexuelle ou économique.Les victimes peuvent souffrir d’isolement, de harcèlement, de dénigrement, d’humiliation, d’intimidation, de dévalorisation, de menaces, de violence physique et sexuelle, de chantage affectif ou d’injures. Le conjoint peut aussi abuser de sa victime en gérant ses revenus et ses dépenses afin de lui enlever son autonomie. L’emprise du conjoint peut s’exercer sur le plan psychologique en de contrôler les pensées de sa victime,

Aspect Sociétal a) Place du maître traditionnel (>, méchant) : Iphicrate autoritaire -Menace Ar : « les dieux te puniront » => justice : CL justice : puniront, punissent, corriger & devoir => supériorité sur nouveau maître Ar. + surnomme d’ingrat - chantage affectif : « sentiment d’amitié » ; « je croyais que tu m’aimais, et cela m’attachait à toi » Portrait d’Ar égoïste & incapable de reconnaissance -Aveu : maltraitance/ bat « sans trop de sujet » => trouve excuse : pour corriger défauts Ar. => garder

leur autorité sur leurs enfants, car ils ont peur de ne pas être aimés, . « C’est la génération de parents la plus dépendante de l’amour de ses enfants. Ils misent tellement sur l’affection des ados, qu’ils les mettent en position de pouvoir, par le chantage affectif par exemple. » La « bonne » autorité est celle qui contient l’adolescent, le protège, le rassure. . « Pour qu’un adolescent puisse accéder à une certaine autonomie, il est indispensable qu’il soit capable de se fixer lui-même des limites