Chapitre 14 Salammbô

Dossier sur Salammbô De Gustave Flaubert Sommaire 1. L’auteur et son œuvre : I) Sa vie II) Son œuvre III) Réflexion sur son œuvre

1. L’ installation d’une atmosphère : Le festin (chapitre 1) La lecture analytique des deux premières pages est centrée sur les intérêts suivants : • Le décor et l’installation d’une mise en scène • Dans la peinture des convives, cosmopolitisme et violence 2. Les portraits : Salammbô, Narr’havas, Mathô (chapitre 1) + Narr’havas (chapitre 15, p.339), Hannon ( chapitre 2, p. 68) Le portrait d’Hannon est étudié selon les axes suivants : • La difformité • Les effets de contraste • La perception

vole le voile sacré de Carthage, le Zaïmph, incitant Salammbô pour écrire le camp des mercennaires afin d'essayer de le voler en arrière. Le Zaïmph est un voile bejewelled fleuri drapé au sujet de la statue de la déesse Tanit dans le sacrosanct de son temple : le voile est le gardien de la ville et le contact de lui apportera la mort au malfaiteur. Flaubert s'écarte du compte de Polybius dans beaucoup de conditions particulières. * Chapitre 1. Le régal. Pendant un banquet de victoire, les mercennaires

Salammbô Gustave Flaubert Salammbô est un roman écrit par Gustave Flaubert (1821-1880). Il paraît pour la première fois en 1862 chez Michel Lévy. Plusieurs années de travail ont été nécessaires à l'écrivain pour le composer, puisque l'écriture du roman a occupé Flaubert de 1857 à 1862. Sur un thème fondamentalement différent, il arrive donc directement après Madame Bovary. Salammbô porte sur la Guerre des Mercenaires du 2e siècle avant Jésus-Christ, dont les combats opposèrent la ville de

absence et par le souvenir des injustices qu’ils ont subies de la part de Carthage, ils ravagent sa propriété ; Salammbô, sa fille, descend alors du palais pour les calmer. Mathô et Narr’havas, tous deux chefs dans le camp des mercenaires, en tombent amoureux. Spendius, un esclave libéré lors du saccage, se met au service de Mathô et lui conseille de prendre Carthage afin d’obtenir Salammbô. À Sicca : Carthage persuade les mercenaires de quitter la ville en attendant leur solde. Ils marchent jusqu’à

1 INTRODUCTION « Salammbô, traduit du Carthaginois »1 titre d’une série de caricatures sur Salammbô publiées par Morel-Retz, dit Stop, dans Le Journal amusant, 10 janvier 1863, p. 4-6. 1 2 Pour Flaubert, écrire sur Carthage, c’est vivre la souffrance du traducteur. Un rapide survol des lettres dans la période 1857-1862 permet de prendre la mesure de l’épreuve : « La difficulté est de trouver la note juste [...] Pour être entendu, d’ailleurs, il faut faire une sorte de traduction

Salammbô ici l'en−tête original.) 1 Salammbô 2 Salammbô Index I. LE FESTIN. II. A SICCA. III. SALAMMBÔ. IV. SOUS LES MURS DE CARTHAGE. V. TANIT. VI. HANNON. VII. HAMILCAR BARCA. VIII. LA BATAILLE DU MACAR. IX. EN CAMPAGNE. X. LE SERPENT. XI. SOUS LA TENTE. XII. L'AQUEDUC. XIII. MOLOCH. XIV. LE DEFILE DE LA HACHE. XV. MÂTHO. Index 3 Salammbô Chapitre 1 LE FESTIN C'était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d'Hamilcar. Les soldats qu'il avait commandés

le succès de Salammbô en 1862, la publication en 1869 de L’Éducation sentimentale ne remporte pas un grand succès. Flaubert connaît alors des soucis d’ordre financier et sa maladie nerveuse l’épuise.En mai 1880, Flaubert meurt d’une hémorragie cérébrale, laissant inachevé son roman Bouvard et Pécuchet. B. Bibliographie L'Education sentimentale , Date de parution : 1845 Par les champs et les grèves , Date de parution : 1848 Madame Bovary , Date de parution : 1857 Salammbô , Date de parution

quand elle se promène au jardin, sa grâce ennuyée parlent vivement à son imagination, à ses sens tout juste éveillés. Il laisse timidement percer l'intérêt qu'il prend à la voir, à lui parler. La maîtresse de pension, qui devrait être blasée sur ce chapitre, devine son trouble et répond à ces avances, s’arrange à les provoquer, excipant de son ennui pour dissimuler sa coquetterie. Un dimanche après-midi, elle s'introduit dans la chambre de l'étudiant. La démarche est loin d'être innocente. Pourtant

dont il est parlé dans Marion de Lorme [d’Hugo] » Visite du château de Fontainebleau : « Nous avons vu la cour où se firent les adieux célèbres et la table où le Grand Homme [Napoléon] signa l’acte d’abdication [le 2 avril 1814] ». Février 1831 14 mai 1831 Jeudi 28 juillet 1831 Lundi 12 décembre 1831 Fin 1831 Dimanche 15 janvier 1832 Janvier 1832 Samedi 4 février 1832 Lundi 26 mars 1832 Fin mars 1832 Fin avril 1832 Mardi 15 mai 1832 Mercredi 12 décembre 1832 Dimanche 30 décembre