Charles Ier d'Orléans

prestance ni la majesté qu’on attend d’un monarque mais il avait un bon sens politique lui permettant de créer un équilibre qui historiquement s’imposait a cette époque. Le comte d ‘Artois remplace Louis XVIII le 16 septembre 1824 sous le nom de Charles X. C’est le benjamin de la fratrie. Il est au sein de la cour de Louis XVI, le chef de la branche la plus conservatrice. Il porte à cette époque le titre de comte d’Artois, il est encore plus fermé aux idées nouvelles et plus imperméable que ne l’était

de commandement. Gélase accorde ce pouvoir aux rois. ( L’Empire carolingien a su faire la synthèse de ces deux pouvoirs : l’empire = une société chrétienne parfaite = la RESPUBLICA CHRISTIANA. La dislocation de l’empire à la mort de CHARLES LE GROS en 888 pose à nouveaux la question des pouvoirs. L’Eglise récupère peu à peu l’auctritas au terme du long mouvement appelé REFORME GREGORIENNE. Les principautés s’affirment dans le jeu politique du Xe-XIe siècles. Elles sont gouvernées

la France chrétienne et romaine comme le vrai défenseur de la civilisation et de la nationalité. Cet héritier, c'est Charles Martel. Les d'Héristal sont décidément une race douée. Charles a du caractère, du talent. Les circonstances le serviront, et il excelle à saisir les circonstances. Comment s'impose-t-on à un peuple? Toujours de la même manière : par les services rendus. Charles représentera l'ordre et la séeurité. Il a déjà battu les agitateurs neustriens : la légalité est rétablie. Il dompte

la dynastie carolingienne. Hugues Capet afin de perpétuer la dynastie capétienne va instaurer un usage qui sera perpétué jusqu’à Philippe Auguste, il va prendre soin de faire sacrer son fils Robert de son vivant le 25 décembre 987 à Sainte-Croix d’Orléans, afin qu'à sa mort il n'y ait pas de disputes, son fils est d’ores et déjà légitimé par le sacre, on ne pourra s'opposer à son couronnement. Le sacre va être renforcé par les capétiens dans un climat de crise des institutions royales, en se substituant

L'édit de Milan ou édit de Constantin, promulgué par les empereurs Constantin Ier et Licinius en avril 313, est un édit de tolérance par lequel chacun peut « adorer à sa manière la divinité qui se trouve dans le ciel » ; il accorde la liberté de culte à toutes les religions et permet aux chrétiens de ne plus devoir vénérer l'empereur comme un dieu. 380 : L'édit de Thessalonique fut décrété par l'empereur romain Théodose Ier le 28 février 380. Par ce décret, le Christianisme devient religion officielle

premier cycle constitutionnel va permettre le retour d’un exécutif fort, c'est-à-dire le retour de Bonaparte et de l’Empire. Constitution apparemment démocratique, très rapidement, celle-ci connaît des modifications progressives qui vont amener au Ier empire. Sénatus consulte, 4 août 1802, Napoléon utilise un référendum pour faire de lui un Consul à vie. Le mandat des consultes est illimité et la place du premier consul est plus importante. 1804 : on fait de Bonaparte un empereur héréditaire. La

l'amitié des deux hommes restera uniquement sur le plan artistique. En réalité, la mort de Buckingham, connu pour être un des amis du peintre, accéléra le départ d'Espagne de Rubens vers l'Angleterre, dans le but de ratifier un traité de paix avec Charles I. Rubens poursuivra sa collection d'œuvres antiques et de dessins jusqu'à la fin de sa vie, ceux-ci représentant pour le peintre, des outils de travail et des sources d'inspirations inégalables. 2- Le portrait au service de la diplomatie

figures majeures : les rois de France et d'Angleterre, François Ier et Henri VIII, l'empereur Charles Quint et le pape Clément VII qui mourut l'année suivante. Fin octobre 1532, François Ier rencontre Henri VIII pour tenter d'obtenir son soutien contre l'Empire. Henri VIII, quant à lui, souhaite que François Ier use de son influence auprès du pape Clément VII pour résoudre la question de son divorce avec Catherine d'Aragon, la tante de Charles Quint. Les rencontres sont chaleureuses : François offre à

 elles nous situent principalement au cœur des années romantiques, entre l’arrivée du jeune Liszt à paris en 1823 et la mort en 1839 de la jeune princesse marie d’Orléans. Ainsi suit-on la carrière de maria Garcia dite « la malibran » depuis ses débuts  jusqu’à la mort de la diva en 1836, celle de Liszt jusqu’en 1848, les activités de  marie d’Orléans de 1829 à 1839, la vie de l’opéra d’Angers de 1827 à 1841. Le  projet de galerie de portraits des chefs vendéens ainsi que la trajectoire des figures  angevines

pour Hélène, 1578). Le Château de la Possonnière où est né Pierre de Ronsard le 10 septembre 1524 père de l'âge de deux ans à celui de six ans, car de 1526 à 1530, Loys de Ronsard est en Espagne avec les enfants de François 1er otages de Charles Quint. Dès l'âge de cinq ans, Pierre de Ronsard est confié à un précepteur, peutêtre son oncle, l'archidiacre de Navarre, Jean Ronsard, qui l'initie aux auteurs latins et lui léguera à sa mort (1535Imitant les auteurs antiques, Ronsard emploie d'abord