Chevelure de Bérénice

plus de force. Voirépanorthose | | | |le cliché |répétition d'une image ou d'une tournure usés |« Une chevelure de feu » | | | |par un emploi fréquent et populaire et |(pour rousse)

autres figures féminines qui parcourent les Fleurs du mal, mais ici le côté fatal est gommé au profit d’une relation salvatrice qu’on ne retrouve ni dans le « Poison », ni dans le « Vampire ». C’est d’ailleurs plutôt vers des poèmes tels que « la chevelure » qu’il faut se tourner pour retrouver le plaisir sensuel du poète. [...] [...] b) L’ambivalence : On retrouve de nombreuses antithèses ou associations ambivalentes dans le texte. Sorcière/nymphe ; morsure/baiser ; déchires, rire moqueur/œil doux(+structure

Voir épanorthose « Je t'aime, que dis-je... je suis fou de toi, oui fou de toi » le cliché répétition d'une image ou d'une tournure usés par un emploi fréquent et populaire et hautement prévisible et souvent littéraire ou artistique « Une chevelure de feu » (pour rousse) « un beau ténébreux » (un jeune homme aux cheveux bruns) l’hyperbole amplification d'un énoncé. C'est la principale figure de l'exagération « La liberté, c'est le bonheur, c'est la raison, c'est l'égalité, c'est la

romanesques Séquence 1 : Leurs yeux se rencontrèrent... Séance 1 : Leurs yeux se rencontrèrent Objectif : identifier les caractéristiques d’une scène de rencontre Texte 2 : Aragon, Aurélien (1944), Incipit La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. Elle lui déplut, enfin. Il n'aima pas comment elle était habillée. Une étoffe qu'il n'aurait pas choisie. Il avait des idées sur les étoffes. Une étoffe qu'il avait vue sur plusieurs femmes. Cela lui fit mal augurer

disputait en fraîcheur à celui d'un enfant. Ces beaux yeux étaient surmontés de sourcils comme tracés par un pinceau chinois et bordés de longs cils châtains. Le long des joues brillait un duvet soyeux dont la couleur s'harmoniait à celle d'une blonde chevelure naturellement bouclée. Une suavité divine respirait dans ses tempes d'un blanc doré. Une incomparable noblesse était empreinte dans son menton court, relevé sans brusquerie. Le sourire des anges tristes errait sur ses lèvres de corail rehaussées

personnels (emmener Hermione v. 99-100, p. 25), Oreste trahit sa mission officielle d’ambassadeur (emmener Astyanax). Seul dans la pièce à n’être aimé de personne, il appartient à la famille des grands « délaissés » raciniens, comme Antiochus dans Bérénice. Question 3. Y a-t-il d’autres récits dans Andromaque et quelle fonction ont-ils ? Quatre autres récits sont présents dans Andromaque : 3 © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2009. A ndroma qu e — Le récit d’Andromaque de la dernière nuit

Ionesco, Rhinocéros Exercices d’approfondissement 1 Molière, Le Tartuffe 2 E. Labiche, Un chapeau de paille d’Italie 3 Beaumarchais, préface du Mariage de Figaro 4 E. Ionesco, Notes et contre-notes Prolongements 34 34 35 35 36 J. Racine, Bérénice A. Cabanel, Phèdre Mise en scène de Phèdre Extrait du film Œdipe Roi de P. Pasolini É. Jodelle, Cléopâtre captive E. Le Sueur, Clio, Euterpe et Thalie Pierre-Antoine Demachy, Le Louvre… Séquence 3 Racine et ses sources B. Flémal, Le Sacrifice

merveilleusement insensible à toutes les vibrations de la douleur terrestre, ces paroles ne comportent point de réponse. Thierry Maulnier Lecture de Phèdre LA PASSION COMME LÉSION L'Amour, en Phèdre exaspéré, n'est point du tout celui qui est si tendre en Bérénice. Seule, ici, la chair règne. Cette voix souveraine appelle impérieusement ta possession du corps aimé et ne vise qu'un but : l'extrême accord des jouissances harmoniques. Les images les plus intenses sont alors maîtresses d'une vie, déchirent ses

présentée ici. ... à vous de lire les deux Bérénice : Corneille et Racine (1670)... (p. 229) 1. Comparaison des deux pièces En réalité, les deux intrigues sont très différentes, et ces différences sont commandées par les conceptions dramaturgiques profondes de chacun des auteurs. Essentiel des divergences On peut relever : – les personnages secondaires : Domitian et Domitie chez Corneille, Antiochus chez Racine ; – chez Corneille, Bérénice revient. Elle est rappelée par Domitian par nécessité

Soucy apparaît vraiment comme une resucée de celui de Réjean Ducharme, “L’avalée des avalés” : le domaine isolé rappelle l’abbaye où vivent Bérénice Einberg, son frère, Christian, et leurs parents. Et cette influence apparaît encore plus nettement quand on examine la langue et le style de Gaétan Soucy. Intérêt littéraire Comme Réjean Ducharme, dont la Bérénice allait jusqu’à inventer «le bérénicien», Gaétan Soucy a créé une enfant qui malmène la langue. Elle se veut  «un secrétarien, un vrai, qui