Chiasme

objet. L’allégorie : des choses imaginaires représentés par une chose réel comme la paix( la colombe). La métonymie : c’est remplacé un mot par un autre qui lui est liée par association logique. Le chiasme : il réuni 4 mots/termes qui se répondent mais qui occupe des places différentes dans la phrase. Ces mot ce répondent : ils ont le même sensils s’opposentsont identiquespartage des sonorité communes.A→DB→CLa litote 

déception (métonymie « d’un œil marri », opposition ironique de « fortune » et « répandue » v 25, GN ironique « La dame de ces biens »), risques (mise en valeur « grand », infinitif passif (= soumission) « être battue »). · Humour noir, chez le Curé : chiasme v22 et 23 ; association avec « tous deux », « de compagnie » ; euphémisme -> mort (chp lexical du déplacement, de l’accompagnement ; verbes de mouvement) ; pronoms possessifs qui lient le Curé et le Mort jusque dans le trépas. · Cruauté : au paroxysme

un objet pour lequel la langue n’offre pas de terme propre. On dit couramment que la catachrèse est une métaphore lexicalisée. Exemple : « les pieds d’une table », « les bras d’un fauteuil » ou encore « les ailes d’un avion ». Chiasme (masculin) : On dit qu’il y a chiasme lorsque des termes sont disposés de manière croisée, suivant la structure A-B-B-A. Exemple dans Les Fleurs du Mal de Baudelaire : « Les soirs illuminés par l’ardeur du charbon […] » (« Le balcon »). Comparaison (féminin) : Une

Prologue : lecture linéaireDans ce prologue, sous un apparent désordre se cache une profonde unité, fruit notamment d’une succession d’images qui s’entretissent et entretiennent des liens Dans votre édition belin gallimard, vous trouverez une proposition d’introduction. L’entrée en matière : lignes 1 à 5 L’entrée en matière de ce prologue a de quoi surprendre ! L’auteur interpelle son lecteur avec désinvolture : la première adresse se fait sous la forme d’une apostrophe,

capable d’enrichir en un jour l’Achéron » l’Achéron était un des fleuves des enfers, référence à Œdipe Roi de Sophocle. L’auteur parle ensuite des conséquences : tout est négatif « ne… pas » ; « Ni…ni ». Chiasme « ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » l’interêt de ce chiasme est qu’il insiste sur le terme « tous ». Le monde paraît sans vie : plus d’amour (hirondelles) + emploi de l’imparfait. 2) Intervention des animaux _ 19 vers pour le lion _ 09 vers pour le renard Il

sauvages «heureux» / les Européens «malheureux» ; «tout est à tous» / «je ne sais quelle distinction du tien et du mien» ; «le pur instinct de la nature» / «effacer de nos âmes son caractère» ; «libre» / «esclavage» ; «ignorance» / «lumières», etc. Le chiasme «elles sont devenues folles dans tes bras ; tu es devenu féroce entre les leurs» renforce cette opposition entre les deux mondes. - Une vie qui correspond aux lois de la nature : «Nous suivons le pur instinct de la nature» ; «Vous êtes deux enfants

gais , prêts à tout, à tout indifférents *…+c’est bien la que les gens sont de simples ressorts » le narrateur s’engage en employant « je » il envoie le lecteur vers une lecture critique. L’antithèse « tristes » et « gais » souligne l’hypocrisie. Le chiasme « prêt a tout indifférent » traduit l’arrivisme des courtisans b) L’enjeu réel de la cérémonie Dès le début, la dimension purement protocolaire de la cérémonie ne peut pas échapper aux lecteurs. Le vocabulaire est essentiellement administratif

7) = refus de l’oisiveté (cf Pascal / ennui = angoisse)accumulation de verbes (l.6) + présence d’un chiasme (l.4) présence de l’adverbe « toujours » (l.7) = agitation perpétuelle dès la l.1, on note l’association de deux termes « ambition « et« galanterie » units l’un à l’autre par la conjonction de coordination « et » = séduction devient moyen pour satisfaire un but. « L’ambition » (cf chiasme l.4) La cour = lieu de conflits, intrigueset complots qui animent cette société (cf l.3 et 8) qui est

les qualités d’Hippolyte rehaussées par la comparaison avec son vice à elle : il était « un fils chaste et respectueux », deux qualités qui s’opposent à la manière dont est caractérisé l’œil que sa marâtre ose jeter sur lui « profane, incestueux » (chiasme des adjectifs). La chasteté du jeune homme contraste avec sa perversité à elle : le « feu » qui la ravage, elle, « lui faisait horreur » à lui. Phèdre s’attache davantage à blanchir la mémoire du jeune homme qu’à insister sur son crime à elle ; elle

d'un état à l'autre accentué par « à peine » : les deuxièmes états d'âmes du poète suivent de façon rapide (il est presque lunatique). Les procédés utilisés sont les hyperboles, des rimes riches, des rimes qui sont pour l'œil, même brisées. Des chiasmes, des césures et la structure formelle et argumentative ainsi qu'une métaphore filée. Le sonnet est également de mode durant la période baroque. Saint-Amant conclut de façon générale avec la condition humaine. Au début du quatrième quatrain,