Chimène Et Rodrigue Un Amour

Genre/sous genre Théâtre tragi-comédie La tragédie Comédie Opéra lyrique Narratif Comédie Le thème Le dilemme : honneur ou amour ? L’amour ou la gloire ? L’absence de dilemme ! Vertu ou amour ? Le combat de l’Amour et de la Raison Le traitement du thème. A la fin de l’acte I, les stances «  monologue lyrique divisé en strophes) sont l’instrument pour Rodrigue d’une délibération intérieure. Le traitement simple : règle des trois unités. Passage une scène d’adieu empreinte de la tristesse

« mais » : elle hésite. Elle continue à aimer ses enfants l.20 tendresse de mère et l23. Sentiments humains : l.20 femme humilié s'exprime puis femme mère. L.28 hésitation d'ordre tragique : tué ses enfants ou pas ? Combat entre vengeance et amour maternelle : opposition vers 10et11. Vers 18a20 séparation entre sentiments de femme et sentiments de mère. Vers 16 et 17 fureur/pitié. Vers 11 et 12 : innocent/criminel. Tout ça résumé vers 27 et 28 : monologue délibératif, entre 2 choix. III-

l’utilisation de tournures exclamatives et interrogatives tels que l’interjection : « Ah ! » v.4 et les mots interrogatifs comme : « Où » ou encore « Quel » v.1 et 2. Deuxièmement, le personnage se retrouve face à un dilemme : doit-elle cèder à son amour et retenir Oreste d’accomplir le meurtre de Pyrrhus qu’elle a elle-même demandé : « Je tremble au seul penser du coup qui le menace ? » le verbe « trembler » nous prouve à quel point hermione tient à Pyrrhus et à quel point il a de l’emprise sur elle

incompatibles, la passion et la raison. Bérénice et Titus sont amants de longue date, un jour, le père de Titus meurt et lui laisse le trône d’empereur. L’intrigue est qu’un empereur romain ne peut épouser une reine étrangère. Titus doit choisir entre son amour pour Bérénice, et son rôle d’empereur. Le dénouement est ici un coup de théâtre, Bérénice laisse de côté son intérêt personnel pour la raison d’état. La leçon de morale est que la raison triomphe sur la passion destructrice. Cette pièce est adressée

du doute pour que la conclusion soit heureuse => les rebondissements superficiels d’une intrigue mouvementée sont nécessaires pour que l’amour triomphe. A la fin les héros ne sont plus seulement devenus amoureux, ils sont devenus certains de leur amour. L’effet de présence ne dure pas. Il s’évanouit quand le regard se détourne de l’être éclatant. Rien ne perpétue l’événement magique, à moins qu’il ne reçoive la durée par un décret de la raison ou de la volonté (sous la forme d’un serment) : Le

l'accuse d'outrage aux mœurs, Flaubert contourne ainsi l'expression trop crue de l'acte sexuel. • La litote : elle permet de dire moins pour en faire entendre plus. Exemple : « Va, je ne te hais point. » C'est ainsi que Chimène avoue avec pudeur son amour à Rodrigue dans Le Cid (1637, III, 4) de Corneille. Les figures d'opposition : Exprimer les contrastes plutôt que l'harmonie. • L'antithèse : rapprochement de deux mots ou expressions de sens contraire. • L'oxymore : forme d'antithèse

conséquences désastreuses des actes de leurs entourages. Dans Le Cid de Corneille, c’est à cause de son père, Dom Diègue, qui n’a pas su se défendre face à Dom Gomès, le père de Chimène fiancée de Rodrigue, que ce dernier se retrouve confronté à un cruel dilemme. Comme dit le proverbe, « on ne choisit pas ses parents », de ce fait Rodrigue n’est pas le principal responsable de sa situation. En outre, il est parfois possible, surtout dans les tragédies antiques, que la responsabilité de la situation tragique

litote aussi prolifère avec Mme de la Fayette. En effet elle est très utilisée à l’époque classique car elle permet aux personnages de déclarer leur amour de manière voilée et en respectant ainsi une certaine pudeur. Evoluant à la même époque, le dramaturge Pierre Corneille en est l’exemple incontestable avec Le Cid où Chimène, s’adressant à Rodrigue, dit : « Va je ne te hais point ». Le style joue également un rôle essentiel pour le roman d’analyse. Avec La Princesse de Clèves, celui-ci comporte

Durant sa carrière, Corneille, dramaturge et poète du XVIIe siècle a composé de nombreuses œuvres, parmi lesquelles se trouve Horace , une pièce jouée pour la première fois en 1640 et mettant en scène l’affrontement entre les Horaces et les Curiaces. L’action se construit sur un événement tragique, aux prémices de Rome, alors que la ville rentre en guerre contre une de ses voisines, Albe. Horace, personnage principal de la pièce est désigné pour prendre part au combat, bien

péripéties de l’histoire se basent sur le combat contre le personnage malfaisant mais aussi contre le cruel destin qu’il a provoqué au personnage principal. En revanche, dans Le Cid, de Robert Corneille, le mauvais Compte de Gomès se fait tuer par Rodrigue au début, mais ceci provoque un changement défectueux du destin du protagoniste. On peut donc confirmer que le mal peut se mélanger au bien dans une pièce à cause des personnages, mais il ne peut pas le faire autrement ? Effectivement