Chocolat Haut De Gamme Conditionnement

................................................ 128 ............................................................. 128 Sommaire X CHAPITRE 4 Ligne, gamme et marque A B C D Distinction entre ligne et gamme Ligne, gamme et politique de marque Rôle des différents produits dans une gamme Politique de gamme ............................................................................... 131 ..................................................................... 132

.........................................................................................................37 Nom du produit :...................................................................................................................37 Conditionnement du produit :.............................................................................................37 © www.e-tahero.net Portail des Etudiants d’Economie -3- Professeur Thami BOUHMOUCH Recherche Marketing PROGRAMME Axe

LE FACTEUR HUMAIN A-T-IL UNE INFLUENCE MAJEURE SUR LA QUALITE DE SERVICE EN RESTAURATION ? .......................................................... 22 Introduction I. PRÉSENTATION DES NOTIONS CLÉS DU SUJET II. CAS RÉEL AU SEIN DE « LA TABLE DES HAUTES TERRES » III. ANALYSE DE LA RELATION ENTRE LE FACTEUR HUMAIN ET LA QUALITÉ DE SERVICE EN RESTAURATION IV. RECOMMANDATION NÉCESSAIRE POUR ATTEINDRE UNE EXCELLENTE QUALITÉ DE SERVICE Conclusion CONCLUSION GENERALE...................................

qualités doivent être : Euphonique, la prononciation doit être facile et harmonique Evocatrice, cad que elle doit permettre des associations d’idées avec le produit, ex : soupline Elle doit être déclinable, ce qui permettra de rendre plus homogène la gamme de produits, ex : Nestlé avec nescafé, nesquick. La typologie et stratégie de marque Marque corporate (ou marque institutionnelle). La marque entreprise (ou corporate brand) correspond au nom de l’entreprise positionné et promu en tant que marque.

S’adapter aux nouvelles cibles : - Les jeunes (produits fun, décomplexer le vin, expliquer le vin …) - Les femmes : de + en + les principales acheteuses. Sensibles prix, packaging, simplicité) Cibler de nouveaux marchés : - Chine (CSP++ / Vins haut de gamme). - USA : 30 % du vin importé. Pas uniquement CSP++. Image France. Surfer sur les tendances : - L’oenotourisme (autre porte d’entrée au monde du vin) - Le bio et développement durable (image à forte valeur ajoutée) - Le renouveau pour la cuisine

segmentation, le ciblage et le positionnement, le marketing-mix ou les quatre P : le produit (product), le prix (price), la communication (promotion), la distribution (place), le cycle de vie d’un produit, la marque, le nom, le conditionnement, l’emballage, l’étiquette, la gamme, les contraintes légales / les contraintes du marché, l’approche par les coûts, par la demande et par la concurrence, les stratégies de pénétration, d’écrémage et de prix différenciés, le mix des communications, les stratégies

Vous avez probablement entendu parler de la Pyramide de MASLOW dans laquelle il y a progression successive dans les besoins fondamentaux de l‟être humain : on cherche à combler les besoins d‟un niveau N avant de passer à un niveau N+1 . De bas en haut les besoins sont -physiologiques .C‟est le règne du boire, dormir, manger par exemple. - de sécurité . Elle peut être physique( médecin) financière ( épargne) matérielle (système d‟alarme) ou psychologique ( stabilité). - d‟appatenance. On veut se

contraint donc les distributeurs à renvoyer une image plus qualitative de leurs produits, ce qui les amène à s’engager dans un processus de valorisation de leur marque. Le positionnement initial des marques de distributeurs évolue au profit d’un « cœur de gamme » proposant le « meilleur rapport qualité/prix ». Sur la fin des années 80, avec l’arrivée des hard-discounters Allemands dont les prix sont 15 à 20% inférieurs à ceux des marques de distributeurs, les détaillants commencent à se préoccuper du packaging

contraint donc les distributeurs à renvoyer une image plus qualitative de leurs produits, ce qui les amène à s’engager dans un processus de valorisation de leur marque. Le positionnement initial des marques de distributeurs évolue au profit d’un « cœur de gamme » proposant le « meilleur rapport qualité/prix ». Sur la fin des années 80, avec l’arrivée des hard-discounters Allemands dont les prix sont 15 à 20% inférieurs à ceux des marques de distributeurs, les détaillants commencent à se préoccuper du packaging

contraint donc les distributeurs à renvoyer une image plus qualitative de leurs produits, ce qui les amène à s’engager dans un processus de valorisation de leur marque. Le positionnement initial des marques de distributeurs évolue au profit d’un « cœur de gamme » proposant le « meilleur rapport qualité/prix ». Sur la fin des années 80, avec l’arrivée des hard-discounters Allemands dont les prix sont 15 à 20% inférieurs à ceux des marques de distributeurs, les détaillants commencent à se préoccuper du packaging