Chocs Pétroliers

s’est d’ailleurs envolée durant cette période de boom économique, passant de 7,5 millions de barils par jour (Mb/j) en 1945 à 20 Mb/j en 1960 puis à près de 60 Mb/j en 1973 au moment du premier choc pétrolier. Après avoir stagné dans les années 1980 à cause de la crise économique due aux chocs pétroliers de 1973 et 1979, la consommation mondiale de pétrole est repartie à la hausse dans les années 1990. Elle atteint aujourd’hui 85 Mb/j, poussée par la forte demande asiatique, dont celle de la Chine

Iran-Irak démarrée en 1980, la première guerre du Golfe en 1990-1991, et l'envolée de 2007-2008, voici venir - pour peu que les troubles se maintiennent et que les transitions dans le monde arabe soient longues à se mettre en place - le septième choc pétrolier lié à la révolte de la rue arabe. Le roi Abdallah d'Arabie saoudite, en convalescence au Maroc depuis trois mois, est rentré dans son pays mercredi 23 février. Il avait les bras chargés de cadeaux : une hausse de salaire de 15 % pour les fonctionnaires

Chocs pétroliers 1 PRÉSENTATION pétroliers, chocs, hausses rapides et très fortes du prix du pétrole, survenues en 1973 et en 19791980, qui, en contribuant à l'accélération de l'inflation et au ralentissement de l'activité économique des pays industrialisés, sont l'une des causes majeures de la récession mondiale des années soixante-dix et quatre-vingt. 2 LE PREMIER CHOC PÉTROLIER DE 1973 Dans le début des années soixante-dix, les pays producteurs de pétrole — regroupés au sein

que les NPI continuent de profiter de la croissance mondiale. Le premier choc pétrolier a lieu, puis le second en 1979. Ce sont les « Trente Piteuses ». Les pays se désindustrialisent et les usines se délocalisent. L’inflation dépasse les 10 % et les États n'arrivent pas à trouver une solution au problème du chômage de masse ; on parle de « stagflation ». Le système décline, le dérèglement monétaire et les chocs pétroliers fragilisent l’économie. Le taux de croissance retombe à 2%. Enfin, la croissance

PIB en valeur et en volume. Cela signifie que l'inflation a été très forte. (argument) Le moment de la reconstruction (dans les années 50) a été marqué par de forts taux de croissance et également par une forte inflation et plus tard, par des chocs pétroliers (années 1970) où le prix du pétrole a fortement augmenté, entraînant une hausse des coûts de production des entreprises françaises et donc des prix de vente. (explication) Par exemple, entre 1950 et 1951, le PIB en valeur a augmenté de 26% alors

surproduction. En 1973, le premier choc pétrolier entraîne une très forte hausse des prix du pétrole qui entraine une hausse de l'inflation et du chômage. La crise de 2008 est d'abord une crise financière liée aux subprimes. Elle s'étend à l'économie réelle avec un ralentissement de l'investissement et de la consommation, et la mise en place de politiques conjoncturelles est rapidement remise en cause par l'apparition des inquiétudes autour de l'endettement des Etats. Des chocs d'offre et de demande viennent

raisons de la récession économique des pays industrialisés sont : -l’augmentation du prix du pétrole. En effet, les pays de l’OPEP, qui est l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, ont multiplié par 4 le prix du baril. Ce premier choc pétrolier fut suivi d’un second en 1979. -le rejet du taylorisme. En effet, à partir de la fin des années 1960, les salariés ont commencé à rejeter cette méthode qui consiste à spécialiser chaque ouvrier dans une tâche précise qu’il répète indéfiniment en

son apparition : la stagflation → France dont la croissance s’est ralentie depuis début 70’s : - taux de croissance en stagna° = début 60’s 6% passage 2% en 81 rupture dynamique 30G par chocs pétroliers (essoufflement 60’s) - baisse pté & I = répercussions sur profits alors que hausse continue des salaires (sur marges) - effets crise = de 62 à 74 hausse de 100% de la p° industrielle de 74 à 81 hausse de 10%

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Turquie entre 1915-1922, ainsi que l’immigration massive de paysans anatoliens à partir des années 1970 . Leurs arrivées en Europe coïncide avec une période qui vit le développement des réflexes identitaires suite à la crise économique des deux chocs pétroliers . Malgré tous ces handicaps, les Turcs sont parvenus à se forger une solide réputation de travailleur. D’ailleurs, selon Mr De Tapia « dans la société, ca se passe plutôt bien avec les Turcs qui sont perçus comme des gens extrêmement actifs