Chœur

montran des signes qui sont très loin de la réalité du spectateur. Ce choix du masque gansters c'est une maniere de dire que l'humanité est fait que de voyous. Le choeur, dans le théatre antique il n'y avait que 3 acteurs qqui jouaient tout les rôle de la piece, deriiere c'est acteurs il avait un choeur de 15 chanteurs , ce choeur dancer,chanter et commenter entre chaque acte. -L'utilisation des couleur, déplacement des groupes de personnages: On a un théatre qui jou sur des opposition (Binaire=

appelez Sganarelle ?"). Tout d'abord, Sganarelle proteste qu'il n'est qu'un simple bûcheron, mais il s'empresse bientôt d'admettre tout ce qu'ils veulent, après avoir reçu une raclée de Valère et lucas. A la tombée du rideau, on entend un choeur de bûcherons (choeur des fagotiers: "Nous fesons tous"). Acte II. Une pièce dans la maison de Géronte. Léandre, l'amoureux de Lucinde, chante une courte sérénade sur l'inutilité de résister à la puissance de l'amour (sérénade: "Est-on sage dans le bel âge

même là-bas. Ismène essaye à nouveau de convaincre Antigone. Cette dernière avoue à Ismène qu'elle l'a déjà fait le matin même. Ismène est horrifiée. Toutes les deux sortent de scène. VIII - Le garde annonce le délit à Créon, « Créon entre [...] le chœur entre. » Un des trois gardes qui gardent le cadavre vient se présenter à Créon. Le garde apeuré tarde à dévoiler l'objet de sa venue. Il se justifie de leur manque d'attention, puis explique que le cadavre de Polynice a été légèrement recouvert. Ils

quand même là-bas. Ismène essaye à nouveau de convaincre Antigone. Cette dernière avoue à Ismène qu'elle l'a déjà fait le matin même. Ismène est horrifiée. Toutes les deux sortent de scène.   Le garde annonce le délit à Créon, « Créon entre [...] Le chœur entre. » Un des trois gardes qui gardent le cadavre, vient se présenter à Créon. Le garde apeuré, tarde à dévoiler l'objet de sa venue. Il se justifie de leur manque d'attention, puis explique que le cadavre de Polynice a été légèrement recouvert

aille quand même là-bas. Ismène essaye à nouveau de convaincre Antigone. Cette dernière avoue à Ismène qu’elle l’a déjà fait le matin même. Ismène est horrifiée. Toutes les deux sortent de scène. Le garde annonce le délit à Créon, « Créon entre […] Le chœur entre. » Un des trois gardes qui gardent le cadavre, vient se présenté à Créon. Le garde apeuré, tarde à dévoiler l’objet de sa venue. Il se justifie de leur manque d’attention, puis explique que le cadavre de Polynice a été légèrement recouvert. Ils

aille quand même là-bas. Ismène essaye à nouveau de convaincre Antigone. Cette dernière avoue à Ismène qu’elle l’a déjà fait le matin même. Ismène est horrifiée. Toutes les deux sortent de scène. LE GARDE ANNONCE LE DELIT A CREON, « CREON ENTRE […] LE CHOEUR ENTRE. » Un des trois gardes qui gardent le cadavre, vient se présenté à Créon. Le garde apeuré, tarde à dévoiler l’objet de sa venue. Il se justifie de leur manque d’attention, puis explique que le cadavre de Polynice a été légèrement recouvert.

bur CARMINA BURANA (1937) de Carl ORFF (allemand/1895-1982) Cantate scénique pour 3 solistes, 2 chœurs mixtes, 1 chœur d’enfants, danseurs, Orchestre Une cantate (de l'italien cantare : chanter) est une composition vocale et instrumentale qui comporte plusieurs morceaux. Elle peut être profane ou sacrée, mais à la différence de l'opéra, elle ne comporte aucun aspect théâtral. L’adjectif scénique ici indique qu’il existe quand même une mise en scène pour les danseurs. A l’origine, Carmina

surveillance du corps de Polynice. Il semble également vouloir garder le secret sur cet incident : " Va vite. Si personne ne sait, tu vivras." Le chœur s'adresse directement au public et vient clore la première partie de la pièce. Il commente les événements en exposant sa conception de la tragédie qu'il oppose au genre littéraire du drame. Le chœur affiche également une certaine ironie et dévoile les recettes de l'auteur : "c'est cela qui est commode dans la tragédie. On donne un petit coup de

Entrée en fanfare du chœur, qui chante et danse. * Lutte, au sens propre ou figuré, entre le héros et son ou ses adversaires, arbitrée par le coryphée (chef du chœur), qui s'achève par le triomphe du héros. * Intermède où le coryphée, qui n’a rien à voir avec la pièce s'adresse aux spectateurs pour délivrer un discours de politique générale ou faire l’éloge de l'auteur. * Présentation de divers épisodes dans lesquels le héros célèbre sa victoire * Sortie du chœur, triomphe du héros

[modifier] La division spatiale entre chœur et acteurs, et l'alternance entre parties parlées, récitées et chantées se reflète dans sa structure, rappelée par Aristote dans sa Poétique[35] et vérifiée dans de nombreux cas[36] : prologue (parlé) (avant l'entrée du chœur) ; πάροδος / párodos (chant d’entrée du chœur, souvent sur un rythme de marche) ; épisodes (parlés) coupés par des στασιμα) / stásima (chants du chœur) ; ἔξοδος / éxodos (sortie du chœur, parlé). Plusieurs couples épisode–stasimon