Chœur

d’artistes qui sont des amateurs et ce groupe forme le chœur. ( Le chœur c’est donc l’élément premier de la tragédie. ( On chante le destin funeste d’un héros (au départ le bouc) ( Progressivement vont apparaitre des intermèdes om l’on va parler. Càd en fait va être figuré par un acteur le héros sacrificiel et il va donc être représenté et apparait du même coup la parole. Au début l’acteur qui joue le héros sacrificiel va parler avec le chœur. ( Eschyle (né en 525) va introduire un deuxième acteur

Sophocle respecte les principales caractéristiques de la tragédie grecque, comme la présence du chœur et le Coryphée[1], ou le fait que ses héros tragiques ne sont pas exposés comme des exemples qui doivent être imités, mais plutôt comme une réflexion sur les limites de la nature humaine. La structure de la tragédie classique est aussi respectée dans Antigone : Prologue – parodos (entrée du chœur) – épisodes / stasimas (parties chorales) – exodos Antigone est une des héroïnes tragiques

joyeux, habile et rusé dont le maître a besoin. Le chœur :Dans l'Antiquité, le chœur était composé de plusieurs personnages anonymes qui intervenaient pour commenter l'action, dans la comédie et dans la tragédie. Le texte du chœur était chanté, parfois accompagné de danses, au cours des intermèdes. Exemple : Le chœur dans Antigone de Sophocle (vers 442 av. J.C.). Rem. : Le chœur a survécu dans certaines pièces du théâtre contemporain

première représentation a été faite après la mort de Musset en 1861. Elle raconte sur un ton tragi-comique les amours compliqués de Perdican, jeune homme sorti des études, et de Camille, jeune fille sortie du couvent. Dans cette scène d'exposition, un chœur présente deux précepteurs : ceux de Perdican et Camille, deux jeunes gens brillants. Les paroles s'inscrivent dans un registre comique et suivent une structure très stricte. Alfred de Musset cherche à donner à son spectateur, sous une forme originale

pour grand orchestre et chœur, articulée autour de pulsations et de rythmes vigoureux, aux sonorités riches. Cette œuvre constitue la première partie d'une trilogie intitulée Trionfi (les Triomphes), qui comprend les Catulli carmina « cantate d'après Catulle », 1943), pour chœur, voix solo, pianos et percussions, dans laquelle le chœur fournit un accompagnement quasi instrumental aux solistes, et Trionfo di Afrodite (le Triomphe d'Aphrodite, 1953), pour grand orchestre et chœur. Cette trilogie est fondée

constituée du chœur et des acteurs. Le chœur est composé de quatorze choristes et d'un chef appelé coryphée, il s’exprime en vers lyriques « selon des séries de stances en général jumelées ou alternées de manière à supporter des mouvements chorégraphiques : à la strophe (στροφή / strophè, « se tourner ») répond l'antistrophe symétrique, une épode pouvant conclure. Le rythme de ces vers constitue l'essentiel du chant, à l'unisson, et accompagné par un aulos. Enfin, un chef de chœur, ou coryphée

pièce, du héros ● Le parodos, l’entrée du chœur en fanfare, qui chante et qui danse ● L’agôn, combat verbal entre chœurs et acteurs, affrontement burlesque qui s’achève sur le triomphe du héros, ● La parabase, où le chœur exprime la pensée de l’auteur, le coryphée rompt l’illusion théâtrale pour s’adresser aux spectateurs avec bien souvent un discours politique ou prosaïque pour faire la publicité de l’auteur, ● L’exodos, ou la fin de la pièce et sortie du chœur, triomphe du héros, farandole endiablée

explique que le dieu Apollon est courroucé par la mort de Laïos, qui n'a pas été élucidée et dont le meurtrier court toujours. Œdipe se déclare prêt à aller jusqu'au bout afin de découvrir la vérité et de châtier le coupable. Suit la parodos, l'entrée du chœur tragique, qui déplore le fléau qui frappe Thèbes. Dans le premier épisode, Œdipe reçoit le devin Tirésias. Tirésias refuse d'abord de parler, ce qui provoque la colère d'Œdipe. Contraint à parler, Tirésias finit par déclarer que la souillure qui a

la surveillance du corps de Polynice. Il semble également vouloir garder le secret sur cet incident : " Va vite. Si personne ne sait, tu vivras." Le chœur s'adresse directement au public et vient clore la première partie de la pièce. Il commente les événements en exposant sa conception de la tragédie qu'il oppose au genre littéraire du drame. Le chœur affiche également une certaine ironie et dévoile les recettes de l'auteur : "c'est cela qui est commode dans la tragédie. On donne un petit coup de

vraiment monastique : le plan est entièrement cerné par des lignes droites qui se rencontrent à angle droit. → Plan en forme de croix latine → Une nef + deux bas côtés → Un transept flanqué de quatre chapelles carrées du côté du levant → Un chœur à chevet plat. C’est un plan typiquement cistercien et que l’on retrouve dans toute l’Europe (de la Scandinavie jusqu'à la Sicile). LA NEF : huit-travées voûtées en berceaux brisés, divisé et soutenu par des doubleaux qui reposent sur des pilastres