Chomage Pauvreté Précarité

tout d’abord une certaine forme d’intégration républicaine et de promotion sociale. C’est également une certaine idée du rôle de l’Etat providence qui prédomine. L’Etat est présent pour soutenir l’égalité en matière de sécurité sociale, d’assurance chômage qui sont deux composantes géré à la fois par le patronat et les syndicaux. L’aspect sociale prend toute sont importance dans le modèle sociale français. Une relation sociale qui sera caractérisé par un taux de syndicalisation élevé dans les grandes

conseille que chaque citoyen étant apte à travailler paye des charges sociales hebdomadaires, afin de profiter en retour de prestations en cas de chômage retraite ou maladie. Beveridge pense que c’est le moyen d’assurer un niveau de vie minimum en dessous duquel personne ne devrait vivre. Il s'agit de lutter contre la pauvreté , insalubrité, maladie, et le chômage. Il existe 2 autres logiques : - la 1ère plutôt social-démocrate qui se fige sur un modèle mixte qui fonctionne sur l’universalité. Les

certains en leur appliquant un traitement spécifique défavorable sans relation objective avec ce qui permet de déterminer l'ensemble plus large. Précarité: La précarité est l'état de ce qui est précaire, c'est-à-dire qui n'offre aucune garantie de durée, qui est incertain, sans base assurée, révocable. Dans le domaine économique et social, la précarité est l'absence des conditions et des sécurités permettant à une personne, à une famille, à un groupe, d'assumer pleinement leurs responsabilités et

Fiche de lecture Serge Paugam, Le salarié de la précarité. Les nouvelles formes de l’intégration professionnelle, Paris, PUF, Coll. Quadrige, 2000, 437 p. Une enquête sociologique L’ouvrage de Serge Paugam rend compte d’une recherche réalisée par l’Observatoire sociologique du Changement (FNSP - CNRS), en collaboration avec la CFDT et dans le cadre de l’agence d’objectifs de l’Institut de Recherches Économiques et Sociales (IRES). Serge Paugam s’appuie sur une lourde enquête en deux phases

Pauvreté et exclusion en ZUS : un cumul de facteurs I- Présentation des ZUS Les zones urbaines sensibles (ZUS) ont vu le jour en 1996. La loi les définit comme « de grands ensembles ou de quartiers d’habitat dégradé et par un déséquilibre accentué entre l’habitat et l’emploi. Il existe aujourd’hui 751 ZUS dont 416 zones de redynamisation urbaine (ZRU) et 100 zones franches urbaines (ZFU). Elles regroupent 4 460 000 d’habitants soit 8% de la population française et 10% de la population urbaine

société (chômage, nationalité, handicap). Définition selon un homme cadre de 50 ans : L’exclusion est le fait de ne pas avoir accès aux éléments fondamentaux de notre société : travail, logement, langue, santé. Définition selon une personne âgée : L’exclusion c’est quand on ne se sent pas accepté par les autres. Après l’étude de ces définitions, on peut constater que - certes - les définitions diffèrent selon l’âge, le sexe, les études, le métier, mais que, néanmoins, la pauvreté est le

THEME 4. DYNAMIQUES FAMILIALES, MÉNAGES ET PAUVRETÉ Président de séance : Pr Nabiha Gueddana, Directrice Générale Office National de la Famille et de la Population (ONFP), Tunis ( n.gueddana@rns.tn) Séance 1 : Pauvreté et stratégie de survie des familles Victor PICHE, DD Montréal (victor.piche@UMontreal.CA) Kokou VIGNIKIN , URD-UEPA (kvignikin@yahoo.fr), Revenu du chef de ménage et stratégies de survie des ménages pauvres : une comparaison Dakar/ Bamako. Kuepie Mathias, DIAL-CIPRE/CEPS

La pauvreté, définition et mesure et enjeux En octobre 2007, pour la première fois, une journée de lutte contre la pauvreté est organisée. Depuis, quelques temps, la pauvreté est revenue au premier plan de la scène politique et depuis une dizaine d’années hélas au premier plan de la scène médiatique (voir les manifestations du canal Saint Martin). Cette pauvreté devient beaucoup plus visible et se donne à voir à travers les plus démunis d’entre les pauvres : les sans logis, la mendicité, le

travailleurs. R. famille : compensé par le versement de prestation familiale. R. décès : compenser par le versement d’une rente au enfant ou conjoint survivant . R. chômage : compensé par le versement d’une allocation chômage . Risques sociaux émergents : R. dépendance : conséquence de modification démographique R. pauvreté/exclusion social : conséquences sociaux économiques . Prises en charge des risques sociaux : - L’ entre aide familiale : la famille prend en charge partiellement ou

contre la précarité et l’exclusion. Le RMI plaçait le bénéficiaire du RMI comme acteur d’un processus d’évolution personnelle et sociale. Mais 20 ans après la loi instaurant le RMI et 10 ans après a loi du 29/07/1998, le constat est que ces politiques qui avaient pour objectif de réduire la pauvreté, n’ont pas atteint leurs objectifs et cela pour 2 raisons : * les minima sociaux (RMI, API) sont complexe et peu incitatif à la reprise d’une activité * le développement de la pauvreté au travail