Chomage Volontaire Néoclassiques

LE CHOMAGE Intro Une idée : autant on sait lutter contre l’inflation, on ne sait pas ce que sait une politique anti chômage. 2.1 Les indices libéraux et keynésiens 2.1.1 Les analyses libérales en termes de marché Dans le courant libéral, il ya deux tendances : -le courant classique (premier libéraux) -le courant néoclassique (année 50, plus contemporain) Le travail fait l’objet d’une offre et d’une demande, l’offre de travail vient des ménages et la demande de travail

Sujet : La flexibilité du travail peut-elle permettre de lutter efficacement contre le chômage ? Introduction : ➔ ➔ ➔ Accroche (un des exemples au choix) : - la grève des salariés de Carrefour contre les conditions de travail et d'emploi générées en grande partie par le recours à la flexibilité (février 2008) ; - l'épisode du CPE (mars 2006) ; - la proposition d'instaurer la flexsécurité comme le modèle danois ; - la suppression du CNE par l'OIT. Présentation plus générale du sujet : -

les échanges entre pays ont toujours fait l'objet de nombreuses théories en économie. Dans cette partie nous nous concentrerons sur deux approches en particulier : l'approche classique, avec les apports de Smith et de Ricardo, puis l'approche néoclassique, avec notamment l'apparition du théorème HOS. A – L'approche classique : spécialisation et libre échange Adam Smith, considéré comme l'un des pères fondateurs de l'économie classique, est notamment à l'origine de théories importantes dans

internationalisation des échanges (théorie des avantages comparatifs Ricardo, ) Implication de l'Etat (loi TEPA, LME, fiscalité...) ● PLAN ● ● ● ● ● ● ● ● Qu'est ce que l'Economie ? Le PIB La consommation finale L'investissement La croissance Le chômage L'Inflation Les politiques économiques Qu'est ce que l'économie ? ● L'économie : organisation de la production et de la répartition des richesses – – – Circuit économique simplifié Interdépendance entre les acteurs Loi de la rareté et

petite taille. Les marchés ne sont pas en concurrence pure et parfaite -> cette 1ère caractéristique n’est pas vérifier.  L’homogénéité du produit : sur un marché donné, les producteurs proposent des biens rigoureusement identiques (pour les néoclassiques) -> s’oppose à l’objectif des entreprises. Elles veulent se différencier.  La libre entrée et sortie du marché : producteurs caméléons. Une entreprise est capable de se positionner immédiatement dans un domaine différent (instantanéité). 

croissance « nécessaire » pour satisfaire les entrepreneurs-investisseurs et le taux naturel de croissance qui définit le taux auquel l'économie doit croître pour éviter le chômage). Il y a croissance équilibrée de plein emploi quand la croissance effective est telle que les entrepreneurs sont satisfaits ( ) et qu'il n'y a pas de chômage ( ). Selon HARROD (1939), la vérification de ne peut être que par le fruit du hasard19(*). Après les travaux de HARROD, se sont succédés plusieurs modèles de croissance

uniquement pour des motifs de transaction et elle sert à fixer le niveau général des prix & donc les grandeurs nominales. Elle n’influence pas les niveaux de production & elle ne peut pas être à l’origine d’un déséquilibre économique. b. Les néoclassiques. Ils ont apportés la révolution marginaliste avec :  Walras : équilibre général quand le marché est en concurrence pure et parfaite & que les agents agissent : Travailleurs : maximisent leurs utilités sous contrainte de budget Producteurs :

l'abstrait : l'élaboration d'une problématique. Le chercheur doit identifier le problème qui correspond. Il doit donc poser sa problématique. Par exemple, lorsque Keynes se demande comment lutter efficacement contre le chômage, il cherche à trouver des moyens de lutter contre le chômage, pas à le décrypter. Puis il transcrit des grilles de lecture afin de mettre en oeuvre des solutions (demande effective, …). Il s'agit ici de représentation mentale, générale et abstraite de phénomènes qui permettent

 4 • Les classiques • Adam Smith (1723-1790) p. 5 • David Ricardo (1772-1823) p. 6 • Thomas Robert Malthus (1766-1834) p. 8 • Karl Marx (1818-1883) p. 8 • Les marginalistes ou néoclassiques • Jean-Baptiste Say (1767-1832), précurseur des néoclassiques p. 11 • Les néoclassiques p. 11 • La situation du Royaume-Uni après 1918 p. 19 • La crise de 1929 p. 20 • John Maynard Keynes (1883-1946) p. 21 • Le New Deal p. 23 • Les crises pétrolières p. 23 • Les crises financières

la notion de classe sociale et de lutte des classes, il faut une analyse critique du mode de production capitaliste car il repose sur l'exploitation des travailleurs et le capitaliste conduit à des crises de sur-production. C- Les courants néoclassique (fin 19ème, début 20ème siècle) 1) Les fondateurs Pour eux la valeur c'est l'utilité marginale. Ils ne reconnaissent pas la valeur travail mais la valeur utilité, ils résonnent en micro-économie, l'idée de la concurrence pure et parfaite