Choses Hors Du Commerce Juridique

philosophie influencera la philosophie juridique. Les effets du Droit ne sont pas constants. L'évolution du Droit dans le temps et dans l'espace donne des questions aux juristes. Les règles de Droit ne sont pas éternels, le juriste doit faire la part des choses. La norme juridique (lois, règlements édictés constituant le droit) est l'élément formel exprimant un ordre juridique, elle ne peut être détachée des fondements et des finalités de cet ordre. Un ordre juridique est un acte contraignent cad qui

fonde-t-il pour poser cette interdiction. Selon les principes fondamentaux régissant tout contrat, un contrat ne peut porter que sur des choses pouvant être « dans le commerce » (Article 1128, créé par Loi 1804-02-07 promulguée le 17 février 1804 «Il n'y a que les choses qui sont dans le commerce qui puissent être l'objet des conventions »). Il existe donc des choses qui ne pourront jamais faire l’objet d’un contrat. Par exemple, dans le domaine de la santé, les drogues ou les médicaments sans autorisation

ce qu’elles possèdent. La notion de personne n’est pas seulement juridique, mais aussi philosophique. La personne c’est ce qui est de l’ordre de l’humain. ► Cette distinction entre humain et chose est-elle si évidente ? Pas tant que ça car au travers de la notion d’esclavage, on avait un statut intermédiaire. Mais les animaux sont des choses. Dans les choses, ont parle de meubles ou d’immeubles. Il y a une discussion juridique, et la réponse est mitigée : Ex : Lors d’un divorce, qui des

avec l'embryon avec le cœur qui commence à battre, chacun peut voir avec différentes nuances l'apparition de la vie à différents moments. Mais on peut trouver des consensus. Au minimum il faut déterminer le moment de la vie avec la capacité juridique, cette personne vivante à des droits mais avant non, il faut mettre des barrières, les règles seront différentes. Exemple: > Je suis enceinte, j'ai un accident de voiture, je ne suis pas en tort, je suis enceinte de trois semaines, et je perds

de la personne humaine. 
Dés lors, la distinction entre Sujet et corps Humain n'est plus, ils se confondent. 
 Cet article 16 sur la dignité humaine est fortement empreint de la philosophie morale (elle n’est pas, initialement de nature juridique), et a été principalement conceptualisée par l’impératif catégorique kantien : « Agis de façon telle que tu traites l’humanité, aussi bien dans ta personne que dans tout autre, toujours en même temps comme fin, et jamais simplement comme moyen »

 THEME 2 : LES ACTEURS DE LA VIE JURIDIQUE ET LEUR ETAT Chapitre 6 : La personnalité juridique, les personnes physiques et morales On a déjà vu que la notion de « droit » peut être utilisée pour parler de la règle de droit, on parle alors de droit objectif : l'ensemble des normes et règles juridiques. Mais on a également vu qu'il existait une autre définition (j'ai le droit de..) pour laquelle on utilise surtout le pluriel (« les droits de l'homme », « les droits d'une personne »)

personnes et des incapacités, édition Dephrenois. Teyssié, droit des personnes. Revue : la semaine juridique, le recueil Dalloz… Mercredi 11 Septembre : Préambule : Thèse initiale : Le droit est l’objet d’une connaissance certaine, connaître le droit, connaissance de droit, pas de règle mais de connaissances concrètes, chose juste, quelque chose qui s’incarne dans une réalité, discernés dans les choses ce qui est juste. Le droit est toujours une chose concrète, matériel, défini. Le droit c’est ce

droit pénal qui étudie les éléments constitutifs de l’infraction et les modalités de sa répression. Le DPS prend donc chaque incrimination de l’arsenal répressif de façon particulière pour en préciser la nature, les éléments constitutifs, le régime juridique du point de vue de la procédure et de la peine applicable. Alors que la 1ère branche du DP c'est-à-dire le DPG organise et étudie les règles communes applicables à toutes les infractions, la 2ème branche du droit pénal dénommée DPS décrit quant à

de la vie juridique que la personne est envisagée cad une personne qui est apte à avoir des biens, des droits, et à participer au commerce juridique en exerçant des actes qui affecteront son patrimoine. Cette aptitude à s'insérer dans la vie juridique, à réaliser des actes consiste en ce qu'on appelle la capacité. On ne vise pas seulement les personnes physiques on vise également les groupement <=> la personnalité morale. La personnalité juridique et la capacité

devenir nommé. A partir du moment où il existe différentes origines d’un contrat innommé, la principale difficulté du juriste sera de qualifier le contrat afin de déterminer son régime juridique applicable. L’existence de contrat innomé implique une opération de qualification. Définir sa qualification juridique afin de le classer dans telle ou telle catégorie. Cela apparait de plus en plus fondamental en raison de la multiplication des contrats spéciaux et surtout en raison de la prolifération des