Chris Burden

l’art à la vie en général» (2).

Très imbriqué, et participant de la performance, se développe à la fin des années 60 et
 1 au début des années 70 l’art corporel avec Michel Journiac (3) et Gina Pane, ou “body art”. Aux Etats-Unis, “Shoot” de Chris Burden (F. Space, Santa Anna, Ca.) le 19 novembre 1971. “Making of the body”? Le terme de “body art” apparaît dans un article d’ “Arts Magazine” de Cindy Nemser de septembre 1971 et celui d’ “art corporel” dans le numéro 1 d’Artitudes de la même année

repoussé certaines limites de représentation, en suscitant parfois les réactions négatives d'un public médusé. Une partie des artistes de l'art corporel explorent des pratiques parfois violentes et/ou sadomasochistes. En effet, avec Shoot (1971), Chris Burden se fait tirer dans le bras par un assistant. En 1975, Carolee Schneemann sort un rouleau de papier de son vagin dans sa performance Interior Scroll. La Messe pour un corps, de Michel Journiac, une réinterprétation personnelle de la liturgie catholique

peinture et du théâtre ; elle a lieu dans des galeries, mais uniquement avec la participation d'un public (" art de la perturbation " : vise à produire un spasme existentiel par l'intervention des images de la vie ; cf. la catharsis). Exemples : Chris Burden, Dead man (1972) : il se fit enfermer dans un sac et déposer sur une autoroute en Californie : jeu de mots mortel entre " corpse " et corpus. Il aurait pu être tué, et il le savait. Il voulait que ça fasse partie de l'œuvre, et qu'on y réagisse

puisqu’il ne dure pas dans le temps à cause de la météorologie. * La performance ou art performance: C’est un art éphémère né au milieu du XXème siècle, qui s’est fait connaître par le groupe Japonais Gutaï en 1945. Joseph Beuys, Yves Klein, Chris Burden ou bien Gina Pane sont des artistes performance. Cet art se reproduit sur des peintures de très grand format qu’il faut entailler, déchirer, mettre en pièces, brûler, projeter, lancer. L’œuvre étant généralement détruite à la fin de la performance

s'agit de moments où les deux artiste/spectateur sont en présence et dans un processus de perception, d'émotion, d'appropriation du lieu. Principalement, les performances et happening, dès 1960-1961, permettent ce nouveau rapport à l'oeuvre 7/ Chris BURDEN: « Shoot », 1971, performance. 8/ 1° happening ; « Untitled Event », Black Mountain College, été 1952. 9/ Edmont .COUCHOT et Michel. BRET et Marie-Hélène TRAMUS, « Je sème à tout vent « , 1990, dispositif interactif. A propos de E. COUCHOT:

N’écrit pas spécialement en toutes lettres. Utilisations de pochoirs, graffitis, posters, mosaïque, stickers, toiles. 11. Le Body Art Années 50 à aujourd’hui CONTEXTE = Précurseur = Pierre Molinier. Apparu au Black Mountain Collège. Artistes : Chris Burden → tirer dans la main ; David W. → cousu les lèvres ; Nato → peintre piano avec le nez dans le cul de qqn ; Ana Mendieta. = aussi utilisé pour des fins révolutionnaires et politique et non seulement pour l’art. C’est un art libre → on fait ce que

scénari prédéfinis, non reproductibles et dont seules subsistent des photographies et des vidéos. Les traces dans les chairs des artistes-performers peuvent être éphémères (comme par exemple chez Robert Racine ou Vito Acconci) ou durables (comme chez Chris Burden ou Orlan). Leur impact sur le spectateur est toujours violent car le propre de ces actions est de jouer avec les limites de la souffrance et de la douleur, de la jouissance et de la peur, de la vie et de la mort.

demeure, la maison • Habiter, vivre Dans le même sens d’activités prosaïques, du quotidien BEN – Gallery One Aucune coupure entre la vie quotidienne et l’artistique Le privé est transposé dans un espace public Chris BURDEN – 20 jours dans un lit dans une galerie Son corps se transforme en objet, sa disparition, effacement SPOERRI – Déplacer le leu de l’art vers le lieu de la vie quotidienne L’activité prosaïque devient activité créatrice Lieu expo, création

 Fabien  Barcella,  Bakkies  Botha,  Mar1n   Castrogiovanni,   Ian   Evans,   Juan   Mar1n   Fernandez   Lobbe,   Maf   Giteau,   Mamuka   Gorgodze,   Guilhem   Guirado,   Carl   Hayman,   Chris   Masoe,   Alexandre   Menini,   Maxime   Mermoz,   Drew   Mitchell,   James   O’Connor,   Ali   Williams.         Gregory  Annefa,  Anthony  Belleau,  Coren1n  Braendlin,,  

his partner to take moral and legal responsibility for this. Joe goes free on appeal; his partner goes to prison. Meanwhile, one of his sons, Larry, goes missing in the war, a fact that the boy’s mother, Kate, will not acknowledge, while the other, Chris, returns from the war and, after a time, decides to propose to Larry’s fiancée, Ann Deever, daughter to the imprisoned man. As the play unwinds, so suppressed anxieties and concealed truths work their way to the surface. Finally we discover that Joe