Christianisme Conclusion

aspect de la personnalité. On le voit à partir de « rouge de colère » → elle a lu les épîtres de Saint Paul : « femmes soyez soumises à vos maris » : cela l'interpelle. (« j'ai jeté le livre »). → Saint Paul est une des figures principales du christianisme et il a eu un jour une illumination sur le chemin de Damas. A la suite de cela, on voit une nouvelle facette de Mme de Grancey → avant c'était le narrateur qui parlait d'elle mais là, elle est comme vivante à nos yeux par le dialogue. → Sorte

c’est un vers ancien, qui appartient au passé. Le poète préfère toutefois des vers irréguliers, libres. Repères brouillés (de temps et de personne) Indice personnel « je » (v15-23) et indice personnel « tu », christianisme personnifié et évoqué. Dialogue fictif entre lepoète et le christianisme ainsi que le Pape. Enonciation complexe et propice aux ambiguïtés . Dialogue avec soi-même ? Personnage tantôt destinataire, tantô énonciateur. (dédoublement de la personnalité à la fois spectateur et acteur)

fait qu’il y a toujours eu plusieurs Europes. Ces divisions datent depuis l’antiquité. A l’Ouest de l’Europe qui était déjà désigné d’Occident à l’époque, avait eu lieu une symbiose organique entre des éléments de l’Antiquité tardive et du christianisme d’une part, et des éléments barbares germaniques d’autre part. Ce Orbis Latinus faisait opposition à la Byzance, et à l’Islam qui occupait la moitié sud de cet ancien monde. Certains historiens considèrent que l’histoire de l’Europe commence réellement

emporter l'âme du comte en Paradis. » b) L’honore dans la mort : « Disent que le noble comte est mort en conquérant. » Conclusion : Ce poème épique est une pièce très important de la littérature du Moyen Âge puisqu’il dénote un moment historique en racontant une histoire basé sur la bataille de Roncevaux, en plus on distingue, l’importance et l’influence du Christianisme dans cette époque de chevaliers. On aperçoit aussi la façon de s’habiller des chevaliers et les décors dans leurs armes. Ainsi

la force /=/ justesse/ sagesse de l'existence du juste → la justice est impuissante par essence car elle ne dispose pas par elle meme et en elle meme d'1 force qui serait celle du juste. → titre original : Apologie de la religion chrétienne ► christianisme aurait un défaut dans la relation justice-force ? → explicable par maîtrise/contrôle de l’Église sur populations modestes (n'ayant ici pas accès à l'éducation) → force invoque sa justice par un être immatériel qui nous est supérieur: Dieu ► pour

tout en embrassant son enfant : ‘’Demain il mourra ? ‘’» p63 Chapitre 3 : La victoire du christianisme sur la philosophie grecque Luc Ferry nous explique ensuite le rapport entre la religion et la philosophie et sa victoire sur la philosophie grecque. La religion chrétienne promet un salut autrement, avec la résurrection des corps permettant de retrouver les êtres chers. * Théoria : Le christianisme apporte une double rupture : le divin est personnalisé avec le Christ,  « c’est tout simplement

évident que la religion en démocratie représente une tension entre tradition et modernité. Si la question de la compatibilité se pose, elle pose indirectement le traitement du rapport des religions à la modernité. Selon J. Rollet dans son livre : le christianisme, l'Islam, la Démocratie, « la modernité occidentale a contraint les religions à entrer en démocratie, à respecter les droits de l'individu ; elle a sécularisé la plupart des institutions » Cependant il reste que les valeurs religieuses sont proprement

entraîne le peuple à prier pour l’Empereur. - Statues de l’empereur, images, etc 1. Le contrôle de l’Eglise L’empereur et le concile : Lorsque le christianisme est autorisé, il est divisé. Constantin réuni à Nicée en 312 le concile de Nicée = principe reste : c’est l’empereur qui convoque et préside le concile. Ceux qui refusent les conclusions du concile sont qualifiés d’hérétiques par opposition aux orthodoxes (qui croient dans le dogme droit). Le pw impérial est en charge d’appuyer les autorités

ne tire nos conclusions que par l'intellectuel on en oublie les lois de départ, les bases: les lois du naturelles. Ici, Voltaire provoque l'ironie à travers la maréchale qui évoque cette loi de façon étonnante. Voltaire dénonce aussi l'Eglise. En effet la maréchale fulmine contre la phrase de Saint Paul « femmes, soyez soumises à vos maris ». L’abbé Saint Paul, qu’elle traite d’ailleurs d’auteur « impoli » ligne 8, est l’un des fondateurs et l’une des principales figures du christianisme qui a dit

Séance 8 : Des femmes « sans âmes » ? Les femmes, l’Eglise et la société courtoise A l’instar du concile de Macon qui niait l’existence d’une ame aux femmes « ( La femme) était bien inférieure à l’homme puisque n’ayant pas d’ame, selon la conclusion du concile de Macon » Pascal Picq et Philipe Brenot dans Le sexe, l’Homme et l’Evolution, Odile Jacob, 2009, p.249. On retrouve des echos de cette legende dans cette ouvrage. Débat qui apparait au 16e siècle. On se met à interpreter de manière négative