Christianisme Médiéval

est étrangère à son individualité réelle, comme si elle était sa vraie vie ; ils sont religieux car la religion est ici l'esprit de la société civile, la marque de l'abîme qui sépare l'homme de l'homme. […] La chimère, le rêve, le postulat du christianisme : la souveraineté de l'homme, mais de l'homme comme être étranger, comme être différent de l'homme réel, tout cela est dans la démocratie, réalité sensible, présence, maxime profane. [6] […] On distingue les droits de l'homme comme tels des

indulgences et des récompenses spirituelles. Il s’agit de combattre les infidèles et les hérétiques sanctionnées par le pape. Le terme « croisade » est rare et n'apparaît pas avant le milieu du xiiie siècle en latin médiéval et seulement vers 1850 dans le monde arabe, les textes médiévaux parlent le plus souvent de voyage à Jérusalem En effet même si certaine croisades ne dépassaient pas les limites de l’Europe les plus connus et c’elles que nous allons étudier ojd ce déroule en Terre sainte plus

(source latine). Idée d’un peuple, l’expérience des israélites fait que l’on s’interroge sur qu’est ce qu’un peuple ? Comment s’organise un peuple ? Comment s’institutionnalise-t-il ? Quelles sont les règles de la vie en communauté. Comment le christianisme a-t-il joué le rôle de moteur dans les idées politiques ? La politique et la religion sont liées que la religion soit chrétienne, musulmane, juive… Il faut mesurer l’importance politique d’une religion et le rapport religion –ordre politique. Cependant

politiques, artistiques ainsi qu’intellectuels. L’humanisme défini par les philosophes possède les valeurs de placer l’être humain au centre de l’univers et de la pensée. En même temps, les réformes religieuses se mettent en place pour laisser au christianisme la place au protestantisme, et pour cause une trop grande richesse de l’église d’après les humanistes. Ces périodes sont elles en ruptures ou en continuité avec le Moyen Age ? En premier lieu, nous analyserons l’Humanisme et la Renaissance, ses

monde et comme son modèle de civilisation-l´evangilisation n´étant au fond qu´un des aspects de ce dynamisme européen appelle désormais à change le cours de l´histoire mondiale. Cette volonté de changement vit de jour nouvel dans l´histoire du christianisme traditionnellement confronte aux hérésies séisme potentiel. La crise du XVIème siècle brise l´unité de la chrétienté occidentale. La reforme protestante touche l´Europe entière. I-) La RENAISSANCE 1-) Définition Le mot renaissance désigne la

déterminant et primordial. Interdépendance des facteurs éco culturels et sociaux qui ont fait cette société de l’ancienne France (Vème – XVIIIème). Découpée en 3 périodes : Franque, médiévale et Ancien régime. Pour l’étude des institutions sociales, certains historiens enlève la distinction entre l’époque franque et l’époque médiévale, pour eux pas de distinction entre ces deux facteurs (jusqu’au XIIème). Première partie : la société Franque La société Franque est la rencontre de deux sociétés dont l’une

distinction entre hommes libres et esclaves. Il est naturel de hiérarchiser dans les sociétés traditionnelles, malgré ce qu’on peut dire. Depuis que le monde est monde il n’y a qu’une religion, le christianisme qui a posé comme principe de base l’égalité des individus. Cette idée révolutionnaire du christianisme, qui met en place une égalité des hommes aux yeux de Dieu. C’est cela qui au cours du temps a amené à rédiger une déclaration des droits de l’homme et du citoyen, qui prône une égalité, très importante

qu’on pourrait rendre par : L’illusion d’amour ou l’erreur de l’Occident, étude où l’auteur s’essaye à une synthèse entre le Christianisme et l’œuvre de C.G. Jung. Mais on ne peut traiter du mythe sans se référer au drame musical de Richard Wagner Tristan & Isolde. Il faudra alors souligner, pour une meilleure compréhension du mythe, en quoi Wagner s’est éloigné du modèle médiéval et ce qu’il en a supprimé. La démarche de Tristan à la recherche de l’Anima (au sens Jungien), les émergences de conscience

ecclésiastiques chrétiennes se sont vues entièrement rédigés en latin, promue langue officielle de l’Eglise catholique romaine. Le christianisme, enrichi des références antiques, a connu ensuite une diffusion extraordinaire dans le monde. Plus tard, ce fut la voie ouverte par les humanistes de la Renaissance qui, se détachant de la tradition littéraire sclérosée et de la scolastique médiévale, ont remis à l’honneur tout ce que les cultures grecques et latines avaient produit de meilleur avant cette période de

Numérisations du Livre de Kells, produit autour de l’an 800 (témoignages de la Renaissance carolingienne), conservé au Trinity Collège de Dublin | Histoire médiéval | | Renaissance carolingienne, culture et enseignement | 27 mars 2012 Créé par : Davina Kronz Histoire médiéval Renaissance carolingienne, culture et enseignement Index Introduction……………………………………………..2 Conclusion………………………………………………5 Bibliographie…………………………………………….6 Introduction L’expression « renaissance carolingienne »