Christianisme Médiéval

Histoire de l’Eglise Médiévale Cours n°1 01.10.2009 Andréa Martignoni Suisse Martignoni.andrea@yahoo.fr Validation : Dossier écrit dégageant une problématique, avec documents en annexe, soutenu à l’oral (15 mn). (Dossier rédigé de10 pages ou plan détaillé) Bibliographie scientifique : monographie, actes de colloque, article de revue scientifique… Le moyen-âge Moyen-âge : 1000 ans L’Eglise imprègne la culture, la vie économique, sociale, intellectuelle… Une datation flexible… De

Le roman „Le Code Da Vinci“ et l’Église catholique Beaucoup de lecteurs et lectrices du roman de Dan Brown « Le Code Da Vinci » se laissent impressionner par ses présentations suggestives de l’histoire du christianisme, bien éloignées de la foi de l’Église catholique et prétendument basées sur des preuves scientifiques. Un nombre étonnant de personnes avalent de telles constructions comme la pure vérité, sans se rendre compte que présenter ces choses comme véridiques est un procédé courant dans

culture, chaque confrontation entre l’ancien et le nouveau, on trouve des femmes. Des femmes inspirées ont bravé l’autorité de l’Empire romain, de l’Eglise primitive, de l’Eglise médiévale, les usages des cours, les idéaux de la féminité parfaite, et l’exigence de mariage et de procréation. Avant l’avènement du christianisme comme religion reconnue, des femmes ont revendiqué la liberté de proclamer la parole du Christ ; avant que la perspective de la Renaissance n’apparaisse, des femmes ont envisagé

caractéristiques principales : 1. C’est tout d’abord un récit très bref, 2. C’est un texte contenant de nombreux thèmes du courant humaniste, 3. C’est un apologue I. La brièveté du récit. La brièveté est le propre des fabliaux médiévaux, des contes à rire colporté oralement où les personnages souvent populaires sont stéréotypés. Les quiproquos sont nettement mis en évidence par un schéma narratif simple. Personnages stéréotypés : Ils ne sont pas nommés et sont

premières traces d'art chrétien connues en Italie et plus particulièrement à Rome. Cet art se divise en deux périodes: avant 313 après J.-C, l'art chrétien est discret car cette pratique est interdite. Après cette date, qui marque la reconnaissance du christianisme marqué par la conversion de l'empereur Constantin, l'art chrétien devient officiel. Il durera jusqu'à la fin du Ve siècle, puis lui succéderont les arts chrétiens appelés "barbares germaniques" dans l'ancien empire romain d'Occident (arts lombard

magistrats, élit les sénateurs et impose les lois. Le système politique évolue donc non vers la démocratie mais vers un système autoritaire. 1.1. Les croyances. 1.1.1. Le polythéisme gréco-romain. VOIR COURS PAGES 38, 40, 41 ANNEXEES. 1.1.1. Le christianisme. Les 3 raisons pour lesquelles les chrétiens furent persécutés : 1. Comme ils sont monothéistes, ils ne peuvent en aucun cas vénérer l’Empereur. 2. Le message chrétien est basé sur l’amour et la charité, or les romains aiment se battre et même

mêmes droits. Réussite historique remarquable. IV. Le Christianisme des origines. A. Christianisme et conception antique de la religion. Dans les civilisations antiques, la religion et la politique sont très liées, on ne peut pas concevoir l’une sans l’autre. Il y a toujours un soutien divin. Les dirigeants romains n’entreprennent rien sans l’autorisation de Dieu au travers des Auspices et ils regardent les signes divins. Le christianisme va bouleverser les choses. Le Christ n’est pas un homme

garde cette moralisation du comportement envers l’animal. Ainsi, à partir du christianisme il n’est plus question de sacrifier des animaux. De même, on va se débarrasser de la plupart des interdits alimentaires juifs. Il y a donc eu le choix de se débarrasser de tout ce qui semble superflu. Nous allons alors avoir une position différente à l’égard de l’animal. Malgré tout, le monde animal ne disparait pas du monde médiéval où la religion n’est pas accessoire. La proximité avec l’animal reste, y compris

passés pour mieux comprendre comment on a conçu l’enfance, éduqué l’enfant, aimé l’enfant. Exemple de représentation picturale d’un nourrisson : Vierge à l’enfant La représentation de Marie et de Jésus bébé est très fréquente dans l’art sacré du Christianisme. Le but n’est pas le réalisme : il ne s’agit pas de montrer seulement un enfant, mais un « Dieu incarné ». Une attitude d’allaitement plus réaliste, même si toujours très stéréotypée. Complicité entre le bébé et sa mère. 2.2. La question de la

historien du mouvement et port-royaliste convaincu, tente une définition a minima du mouvement, évacuant les questions particulières pour créditer tous les jansénistes de quelques traits communs : ils placent toute leur vie sous la règle d'un christianisme exigeant, ce qui leur donne une vision particulière de la théologie dogmatique, de l'histoire religieuse et du monde chrétien. Ils critiquent avec sévérité les évolutions de l'Église mais lui gardent en même temps une fidélité inébranlable[g 1]