Christianisme Médiéval

pratiques rituelles. On distingue généralement les religions dites primitives ou animistes, les religions orientales (hindouisme, bouddhisme, shintoïsme, confucianisme, taoïsme…) et les religions monothéistes issues de la Bible (judaïsme, christianisme, islam), le christianisme ayant lui-même donné naissance à plusieurs religions ou Eglises chrétiennes (catholique, orthodoxes, protestantes, évangélique…) Etymologie Le mot religion est dérivé du latin "religio" (ce qui attache ou retient, lien moral

la naissance du dogme chrtien lapparition de lhrsie en est indissociable. Cest dans les dbats des premiers sicles du christianisme que les deux se dfinissent en miroir. Trs vite, lhrsie devient un enjeu politique tre dviant, cest dfier le pouvoir clrical, mais aussi imprial ou princier. Ce sera le cas tout au long du Moyen Age. Proposition de mise en oeuvre LA CHRETIENTE MEDIEVALE (XIe-XIIIe) Introduction 1) Travailler avec les lves sur la notion dEglise. Essayer de leur faire dire que le mot peut

brièveté du mot + inversion syntaxique + place dans le vers (césure) rendent perceptible l'horreur. Ballade qui témoigne aussi de l’angoisse du Jugement de l'âme après la mort. Thématique profondément ancrée dans la spiritualité de la fin de l'époque médiévale. Angoisse de la putréfaction, peur de l'Enfer. « Cendre et poudre » = petitesse de l’homme face à Dieu tout puissant. Cf Ecclésiaste: tu es poussière et tu retourneras en poussière. L’acte de contrition. Foi dans la rédemption. Villon reconnaît

remise   en   question   des   traductions   des   textes   anciens   et   sacrés     nouvelles   traductions   débarrassées   des   erreurs   et   +   fidèle   à   l’esprit   du   christianisme   (ex   Erasme   traduction  du  Nouveau  Testament  1516)   - par   la   science,   meilleure   compréhension   du   monde   par   l’Homme      héliocentrisme   de   Copernic   (1543)

l’habit militaire »[3]. Cependant, au moins jusqu’au Xème siècle, faire couler le sang, même pour défendre les intérêts des chrétiens est considéré comme un péché exigeant une pénitence. La violence est un acte contraire aux valeurs prêchées par le christianisme. Néanmoins, la guerre faisant partie intégrante de la nature humaine, les chercheurs chrétiens veulent justifier l’usage de cette violence. Ainsi, la guerre sainte chrétienne est complexe à définir car elle se rapproche beaucoup de certaines notions

La médecine au Moyen-Age Introduction [pic]  La médecine scientifique apparaît et se développe dans l’Antiquité. En France, au Moyen-Age, la montée du christianisme freine considérablement son essor. Plusieurs sortes de médecine vont ainsi cohabiter. Les épidémies, la famine et la guerre vont entraîner la construction de locaux d’accueil, ancêtres de nos hôpitaux.  La médecine du Moyen-Age aurait-elle jeté les bases de notre médecine moderne ? I. Réactions face à la maladie et à la folie

liée au groupe, tribu ou peuple Rus qui a était identifié avec les Varègues. Vladimir Svyatoslavich a régné jusqu’en 1015, c’est lui qui réussit à réaffirmer l’autorité de Kiev vis-à-vis des Slaves orientaux. Et c’est encore lui qui a adopté le christianisme, sous la forme byzantine-orientale en 988. Cette conversion a aidé à consolider la puissance politique de princes et l’épanouissement artistique et culturel de la Russie kiévienne. La destruction de cette dernière, qui avait commencé déjà au XIème

que ces valeurs, loin de s’éteindre dans un monde désenchanté, basculent alors dans un régime polythéiste : ce dernier terrain d’analyse, qui postule une « guerre des dieux » suite au retrait de tout sens religieux unificateur global (chrétienté médiévale), reste aujourd’hui d’une actualité brûlante. 2 Une empreinte durable et discutée Un siècle après la première publication de L’Ethique protestante et l’esprit du capitalisme, la méthodologie wébérienne et ses typologies continuent à faire le

dans l’oubli. Avec la montée d’une nouvelle religion d’Etat (le christianisme) ce sont les rapports entre l’Eglise et l’Etat qui vont devenir et rester pour des siècles le problème n°1. II LE MOYEN-AGE Saint Augustin (354-430) , théologien catholique africain qui a vécu la chute de l’Empire romain formalise - et nuance - la théorie de l'origine divine du pouvoir , déjà présente chez Saint-Paul ( le véritable fondateur du christianisme)dans la Cité de Dieu (427). Selon lui, il existe deux cités (céleste

l’universel et le général (vrai à un endroit donné) crée une tension très forte. Le philosophe dynamite la pensée générale. * Le monde judéo-chrétien : -monothéisme, vient du monde juif, seule société à proposer le monothéisme, duquel découle le christianisme (et l’islamisme) -le messianisme, attitude d’attente et non d’évidence (où tout est déjà donné, transmission du passé vers le présent). Le messianisme devient une attitude d’attente de la réalisation de la promesse, rejoint l’attitude chrétienne