Chrématistique Aristote

la société est l’amitié -la philia- dit Aristote. Les différentes sortes d’amitié, au sens de bienveillance, humorisme, … fondent les différentes sortes de société humaines. C’est, dit Aristote, « dans une mise en commun que consiste l’amitié ». On a des compagnons d’armes, de navigations, de classe, … mais aussi des compagnons avec qui on fait du commerce, des compagnons avec lesquels on trouve du plaisir … Aristote insiste sur la communauté d’intérêts et

l’orateur, possède la possibilité de persuader, c’est-à-dire de s’adresser à la subjectivité d’autrui afin de le faire adhérer aux propos tenus. Le rhéteur est donc un artiste de l’apparence, la parole est un instrument de pouvoir. Conclusion : Aristote rappelle que grâce au langage les hommes possèdent l’instrument de décider du juste et de l’injuste, d’élaborer les conventions qui permettront aux hommes la meilleure vie possible. Définitions : Langage : fonction d’expression de la pensée

Dom Juan est le héros d’une pièce tragique : Il est à plusieurs reprises en lutte avec les dieux, Il meurt à la fin de la pièce, ce qui n’arrive pas dans les comédies. Une pièce suscitant des sentiments caractéristiques de la tragédie. Selon Aristote et sa doctrine de la catharsis, la tragédie doit susciter un sentiment de pitié et de crainte. • Les personnages de Dom Elvire et Dom Louis, suscitent la pitié, car on est sensible à cette femme et ce père rejeté par Dom Juan. • Le sentiment

forte LE REGIME DE LA CITE : Le régime politique de la cité n’est pas une invention des étrusques mais ils l’empruntent aux grecs, ou il a atteint sa perfection. Par la conquête du LATIUM, les étrusques font du site de Rome une cité. Pour Aristote, une cité est une sorte de communauté et la participation commune des citoyens à un système de gouvernement. Il y a trois éléments constitutifs de la cité antique : * Les hommes qui participent à la vie de la cité qu’elle soit politique, religieuse

lecture, une vérité partielle Exemple : l’évolution de la mise en scène de "Tartuffe" et l’interprétation de "l’Avare". INTRODUCTION L’art dramatique, selon l’étymologie, consiste à rendre une action présente devant témoin. D’après Aristote, l’essence de la théâtralité consiste à « imiter » les hommes en répétant leurs actions. Suivant cette définition, on pourrait affirmer comme un personnage de Diderot dans « Les Entretiens sur le fils naturel » : « (…) la représentation de celle-ci

La découverte de la pression atmosphérique, la mise en évidence du vide, et l'invention du premier baromètre. Aristote avait prouvé que le vide était impossible en utilisant des raisonnements par l'absurde. Et cette conviction véhiculait par la phrase : La nature a horreur du vide. Cependant les fontainiers de Florence ont troublés cette certitude: Ils ont observés qu'il était impossible de pomper l'eau des fontaines au-dessus de 10,3 mètres. Cette observation fut portée jusqu'aux oreilles

variétés de comique : la stratégie du rire Katagelos : rire polémique, de supériorité, insultant et voulant exclure sa victime (esthétique du ridicule). Cyrano se constitue en objet risible : unité 1 « Moi…je ». Rire dénigrant, sanctionne une laideur (Aristote)… « Ce n’est pas moi qui… » (définition de Baudelaire). Mais très vite on passe à une autre forme de comique, du rire « agressif » au rire « amical », Gelos, le rire-plaisir lié à la phantasia, à la puissance de l’imagination, écriture pointue

les occurrences d'Aristote parlant de Socrate. Et alors là, j'ai découvert ce qui pour moi est quelque chose de central, à savoir le refus par Aristote d'admettre que Socrate avait pu penser que la pensée et l'action pouvaient être la même chose, que le logos et le pathos n'avaient pas à être distingués. Autre trouvaille dans les textes d'Aristote, Aristote dit très explicitement que Socrate ne s'est pas mis du point de vue des moyens puis de la fin, mais directement du point de vue de la fin. On

En tout point conformes à la description d'Aristote. Cette affirmation demande des preuves, dit doucement le prélat. Sépulvéda n'en disconvient pas. D'ailleurs, sachant cette question inévi- table, il a préparé tout un dossier. Il en saisit le premier feuillet. D'abord, dit-il, les premiers qui ont été découverts se sont montrés inca-pables de toute initiative, de toute invention. En revanche, on les voyait habiles à copier les gestes et les attitudes des Espagnols, leurs

Cass, 1ère civ, 22 mai 2008 La transaction est un mode alternatif des litiges permettant aux parties d’éviter la voie judiciaire face à un litige survenu. Ce remède peut parfois se révéler pervers, notamment lorsqu’elle conduit à une action devant le juge fondée sur son existence même comme le montre cet arrêt rendu par la première chambre civile en date du 22 mai 2008. Il permet de cerner les conditions d’annulation de la transaction pour erreur. En l’espèce, la société Fiidem, défedenresse