Chrématistique Aristote

barrières tarifaires et encourageant les exportations. Le mercantilisme n'est pas un courant de pensée en tant que tel[1]. Il marque la fin de la prééminence des conceptions économiques de l'Église, inspirée d'Aristote et Platon, qui dénonçait la chrématistique (dont l'accumulation des richesses et le prêt) et qui voyaient dans l'activité économique un jeu à somme nulle dans lequel ce qui était gagné par l'un l'était aux dépens de l'autre. Le mercantilisme apparaît à une époque où les rois souhaitent

Thèse de Richesse Selon Aristote Dans la citoyenneté d’aujourd’hui, un individu qualifiera la richesse (avoir de l’argent) comme la véritable richesse et acquisition dans la vie, comme sa fin ultime. Aristote, lui, à une autre définition pour la richesse. Pour lui, la richesse est quelque chose que l’on peut viser, ça sert à entretenir l’existence. Il définit la richesse en deux formes que l’on pourra qualifier selon leurs fins. Une des fins dispose des fins limités et des biens indispensables

1) Pour Aristote, l’économie est une économie naturelle, elle vise à un usage propre c’est à dire un bien qui nous est utile dans le but de satisfaire ses besoins vitaux et de s’accorder quelques fantaisies tandis qu’il perçoit la chrématistique comme une économie d’argent, elle vise à un usage marchand c’est-à-dire d’acheter un bien qui permettra d’accumuler de la monnaie et non de satisfaire ses besoins personnels. « mode synthétique » : Aristote oppose l’économie à la chrématistique puisque

Argent ... I Rappel sur la chrématistique d’Aristote II Spéculation sur les marchés III Application à la compréhension de la crise actuelle Présentation sur le thème de l’argent et plus particulièrement sur le principe sur lequel est fondé le système économique actuellement, à savoir la spéculation. Dans un premier temps, je reviendrai sur la différenciation aristotélicienne entre économique et chrématistique. Cette dernière est fondée sur une idée de profit, dont l’obtention se fait, dans

Selon Aristote il y une forme pathologique de l’économie ; c’est la chrématistique car d’après sa définition c’est le fait d’accumuler de la monnaie pour elle même et non en vue d’un fin. Aristote cette attitude car le but premier de la monnaie est de pouvoir faire des échanges commerciaux alors que cette attitude n’a pas pour but cela, mais juste s’enrichir pour être plus riche que son voisin. Aristote distingue dans la chrématistique deux notions la premières c’est la chrématistique naturelles

LES POLITIQUES-ARISTOTE Livre premier Chapitre 1 à 7 : Dans ce chapitre, Aristote revient aux fondements de la société qu’il juge de l’ordre du naturel. Celle-ci est selon Aristote, est en fait un ensemble de famille dont ses membres sont naturellement des êtres sociables. Chaque membre de cette société, est par nature fait pour occuper un poste bien précis : Mari, femme, esclave, maître etc. Ainsi, Aristote, défend le caractère naturel de la supériorité de l’état sur l’ensemble de la communauté

aussi un militaire. C’est lui qui invente le mot « économie » ou « oikos nomos » vers -380 (l’art de bien gérer son environnement) 2 – Aristote (384-322) et la chrematistique Il fait la distinction entre la valeur d’usage et la valeur d’échange. Il va aussi distinguer deux usages de la monnaie, pour échanger (bien) et la monnaie pour s’enrichir (la chrématistique). Pour lui, s’enrichir ne doit pas être valorisé dans la Grèce antique. L’enrichissement personnel menace, selon lui, l’intégrité du groupe

1) Considérations générales sur la place de l’économie dans la société antique Sté Antique : 4ème siècle avant J-C Platon & Aristote : intellectuels de l’époque Quelle est leur attitude face à l’économie ? Structure sociale de la cité divisée en 3 catégories : Esclaves, Métèques, Libres citoyens. PLATON souhaite que les besoins ne se multiplient pas. ARISTOTE distingue 2 instruments : animés (esclaves) et inanimés. La richesse est la terre, les libres citoyens sont les propriétaires

l’enrichissement ? Nous verrons tout d’abord que pour Aristote, l’économie ne concerne pas l’accroissement des richesses, cela relève du domaine de la chrématistique. Ensuite, nous étudierons la pensée de Marx qui montre que l’économie comme accroissement des richesses ne profite pas forcément à tout le monde. Et enfin, nous constaterons que l’économie n’est pas l’unique moyen de gestion des richesses à travers un autre procédé, le don. Aristote, dans Les Economiques et l’Ethique à Nicomaque expose

ECO: Aristote est le premier qui parle de "oeconomia" : l'économie ce sont les règles de la maison , de la domesticité. Chrématistique = s'enrichir. Selon aristote théme qui représente ttes les modalités d'enrichissement de nature commerciale. oeconomia bien chrématistique mauvais. systéme perturbateur de la démocratie athénienne. 2) Thomas D'acquin (1225-1274): Pensée d'écriture monopolisé par l'Eglise. 12é s révolution commerciale*, emergence des machines économiques => 11,12,13ém