Cicéron Le Gouvernement Idéal

qu’il y ait isonomie: isos=égal et nomos=la loi. Égalité de tous devant la loi. Donc en démocratie le sujet légiférant doit viser l’intérêt général et non particulier. Les institutions politiques chargées de l’administration de la cité sont le gouvernement et la présidence de la république (= pouvoir exécutif). Pouvoir législatif=parlement (assemblée nationale + sénat). Pouvoir judiciaire=les juges et l’ensemble de tribunaux. Il y a le conseil constitutionnel qui juge de la conformité des lois par

introduction de droit civil. Suite à la révolution, on a abolie les privilèges. "La loi doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse" Article 6 de la Constitution. Validation législative : Technique qui consiste pour le gouvernement à faire reprendre dans une loi, les dispositions d'une décision administrative suceptible d'être déclaré illégale par un tribunal. L'énoncée d'une loi est dite de façon impérative. - CI.19 La généralité est une propriété quantitaive, elle

existe vraiment ici quelque chose comme la liberté (...). La république n’est pas une vaine illusion, et le fait qu’il n’y ait pas d’État national ni de véritable tradition nationale ([...] dans une mesure importante, (...) ne constitue pas même un idéal, encore moins une réalité) crée une atmosphère de liberté ou, du moins, exempte de fanatisme. ». Hannah Arendt née Johanna Arendt en 1906, issue d’une famille juive, et décédée en 1975, se définit elle-même comme professeur de théorie politique

relative à l'organisation des pouvoirs administratifs. LOI SUPPLETIVE OU INTERPRETATIVE Loi qui vient compléter une autre loi qui est floue, elle n’apporte aucun autre principe que celui déjà abordé par la loi de base. ORDONNANCES Permet au gouvernement selon article 38 de la Constitution et sur autorisation du Parlement, d’adopter des décisions qui relèvent du domaine de la loi. DECRETS D’application : énonce la façon dont une loi doit être appliquée. Réglementaires : dispositions générales

droit criminel, on peut dire qu’environ 90% des lois sont faites pour protéger les biens de riches. Les plus forts ont donc la majorité du pouvoir, même au Canada en 2012. B) Le droit comme expression de l’ordre divin et comme recherche d’un idéal de justice : le droit comme science du juste et de l’injuste « Il est difficle de juger le juste, nous sommes porté à ne voir que l’injuste, lorsqu’il nous touche, ce qui donne un faux sentiment que le juste est sinon, toujours présent. » 1.

l’intermédiaire de ses représentants. Dans son traité de politique « De Republica »(2) , Ciceron,  par la suite,  propose un modèle d’organisation politique inspiré de Platon, sorte de compromis entre la monarchie, l’aristocratie et la démocratie.  C’est ce compromis qu’a  connu la République romaine. Ainsi se mettent en place quelques-uns des caractères qui définissent la République «une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir et la puissance  ne sont pas détenus par un seul et dans lequel

magis nostra delectant. » Cicéron, De divinatione, I1. Jean-Charles Jobart, ATER en droit public à l’Université des sciences sociales de Toulouse I (IDETCOM-IEID). Cet article est la version écrite d’une présentation orale faite lors des Ve Journées de l’Association française des constitutionnalistes tenues à Toulouse en juin 2002. 1. « Mais qu’ai-je à faire des Grecs ? Je ne sais comment cela se fait, mais j’éprouve plus de plaisir aux choses qui sont nôtres » Cicéron, De la divination, trad.

la hiérarchie, de façon symbolique, en créant un renversement entre le pouvoir et lui-même, entre le raffiné et le grossier. De plus, un « roi du carnaval » était élu, prenant alors la place, lui aussi symboliquement, de l'autorité à la tête du gouvernement de l'époque. On perçoit donc une similitude entre la culture populaire de l'époque et l'œuvre de Rabelais. Toutefois, nous pouvons imaginer que Rabelais ne s'adressait pas au peuple du Moyen-Âge majoritairement illettré mais au contraire à un public

Cette distinction est assez tardive à Rome (distinction entre Droit sacré et droit profane de l’autre qui prévalait à Rome). Cette distinction se retrouve chez Ulpien, auteur romain «  le droit public est-ce qui concerne l’administration du gouvernement romain, tandis que le droit privé est-ce qui est en relation avec les intérêts des individus », .et décrit ces 2 ordres juridiques «  le droit public est constitué des cultes du sasser d’os et également des magistratures(*1), le droit privé est

moderne. - Il mentionne la Grèce comme une civilisation de référence « Même la Grèce dans ses plus beaux jours ne montra pas autant d’estime » « jusqu’au Grec même n’ont pas changé leur idiome » l47. - Référence à des écrivains antiques majeurs : Cicéron, Virgile, Lucrèce admirés et redécouvert par les humanistes. Ces auteurs étaient aussi des références suprêmes pour les Lumières. Il les cite comme faisant partis des plus grands écrivains. En effet les Lumières avaient aussi le goût de