Cicéron Le Gouvernement Idéal

nature cyclique caractérise Rome (A) et forme une constitution mixte idéal selon Polybe (B). A). L'anacyclose de la res publica romaine  : Aristote avait déjà fait un constat d'une déviance obligatoire des régimes, Polybe va plus loin et exprime la théorie de la succession cyclique des régimes anacycloses car il exprime dans son extrait la tendance des romains à se tromper de régimes, passant d'un régime à l'autre. Le gouvernement était aristocratique puis passer à la démocratie et ensuite à la

4 Section 1 La naissance de l’ordre juridique dans le monde grec 4 §1. Microcosmos 4 §2. Platon et la Loi 7 §3. La politeia d’Aristote 9 Section 2 Juris-prudence : le droit à Rome 11 §1. La philosophie romaine 12 §2. Cicéron et la pensée romaine classique 14 Chapitre 2 Le droit naturel dénaturé ou le retour de l’Homme 17 Section 1 Le droit révélé : du judaïsme au christianisme 17 §1. Le droit hébraïque et la tradition vétérotestamentaire 17 §2. Le christianisme

1) Les écoles de pensées grecques (Platon-Aristote). Platon (427-348) : le régime idéal pour Platon est une aristocratie où le savoir et la raison dominent, tous les autres régimes sont écartés par Platon car ils négligent la place du savoir. Pour résumer cette théorie de Platon le conduit à une position politique élitiste. Platon a développé l‘idée de quatre formes de gouvernements : La timocratie : le gouvernement par l’élite, dirigé par la caste des chefs vertueux, voué à l’intérêt général, mais

(en partie en raison de l’absence de réelle différenciation sociale, pas de possibilité de prise d’ascendant sur un autre individu ou groupe), l’obéissance à une coutume ancestrale (qui tient lieu à la fois de constitution, de lois, de règle de gouvernement). En cas de désobéissance à la coutume, la sanction (essentiellement morale ou religieuse) est immédiate : L’individu est mis au ban de la société par une sorte de mépris généralisé, ce qui correspond quasiment à un arrêt de mort. La société repose

D'une part, les Vies parallèles (ou Vies des hommes illustres), recueil de biographies, comprennent cinquante vies, dont quarante-six accouplées deux à deux, un Romain s'opposant en général à un Grec (Alexandre-César, Alcibiade-Coriolan, Démosthène-Cicéron...). Issues du genre rhétorique du parallèle et d'une riche tradition historique et philosophique, ces biographies ont une visée morale : l'étude des hommes illustres, surtout par l'évocation de faits significatifs et l'analyse psychologique, contribue

disant qu'elle empêche la tyrannie d'un seul . La paix découle de la démocratie . - Le second est Megabyse, il représente l'aristocratie et dit que la démocratie est le pouvoirs du peuple se qui est dangereux et long . L'aristocratie est un gouvernement serrés qui ne comprend que les meilleurs, ce sont des savants, des gens d'expérience . L'aristocratie est une barrière entre la tyrannie d'un roi et l'ignorance du peuple . - le troisième est Darius qui représente la monarchie et dit que un

mérites : avoir élaboré une forme politique nouvelle tout à fait originale : la cité, la polis, c’est une innovation fondamentale. C’est cette communauté de citoyens organisé, qui vivent sur un territoire déterminé et qui pratique une forme de gouvernement qui leur est propre. Les caractéristiques : Faible population dans la cité La capacité de vivre en autarcie La cité repose sur l’esclavage. La cité a une religion qui lui est propre, chaque cité à son panthéon. Elle dispose d’une constitution

de la justice : est-elle l’origine du pouvoir ou la conséquence ? Est-ce que ceux qui ont du pouvoir sont justes ou est-ce qu’ils imposent leur vision de la justice parce qu’ils ont du pouvoir? Ces questionnements mettent en doute l’autorité du gouvernement et donc de la loi et nous permettent de nous demander : peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ? Est-ce qu’il y a de situations où le bon sens est de nier l’autorité et commettre un hybris, désobéissant les lois fruits du pouvoir souverain 

Locke, Hobbes. Au 18s : Rousseau, Kant, Montesquieu. Au 19s : Hegel, Marx. 20s : Hayek. À côté de ces grands philo il y a également des juristes, le point de vue est différent, ce sont des praticiens du droit qui vont s’interroger sur leur pratique : Cicéron, Quintilien, Portalis. III- L’art du discours juridique : entre philosophe du droit et rhétorique La rhétorique est familière aux juristes, la manière de convaincre est un outil à part entière, principale contrainte que l’on doit faire face dans

question politique inaugurée précédemment. Ces auteurs ont considéré que cette étude portait sur la structure même des régimes et sur leur finalité = ce qu'ils visent → le bien commun ? I- Platon Philosophe idéaliste. Il a envisagé un système politique idéal où tout est prévu avec une grande précision. Cette Cité accorde une grande importance des Philosophes qui sont l'élite car ils ont accès au monde des Idées (allégorie caverne). Trois catégories citoyens : philosophe (gardiens parfaits → raison), guerriers