Cinéma Réalité

fantastique ou réel, et non plus s'il existe une différence entre rêver et vivre. » La réalité c’est le caractère de ce qui a une existence concrète, par opposition aux apparences, aux illusions ou aux fictions de notre imagination. C’est l’ensemble des choses et des faits réels, c’est ce qui existe effectivement, et pas seulement à titre d'idée, de représentation ou de mot (par exemple : avoir un pouvoir réel). La réalité c’est l’ensemble des choses qui existe. Si je choisis de vivre hors du réel, alors

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tente de nous faire réfléchir sur l'art. Par la littérature, qui est un art au même titre que la musique ou la danse par exemple, Bergson s'interroge sur la fonction même de celui-ci. L'art, pour Bergson, aurait pour but d’étendre notre vision de la réalité. Il ne se limiterait donc pas à une imitation mais serait plutôt une redécouverte du réel, transmettant la vision de l’artiste à ses spectateurs. Suivant cette thèse, nous pouvons nous poser plusieurs questions : Quel est la finalité de l’art, et

écrite, du domaine de la littérature, du cinéma, du théâtre ou de la radio. Étymologie Le mot fiction vient du verbe latin « fingere, fingo, is, fixi, fictum », signifiant « manier », « toucher », « caresser » (en pressant), « composer », « coiffer », « friser », « modeler », « feindre », « faire semblant », « inventer », « se figurer », « imaginer ». Et plus directement de l'accusatif « fictionem » du mot latin « fictio, -nis ». Fiction et réalité [modifier] Tous les faits présentés dans

ou des cours de philosophie (sur le notions philosophiques enseignées en classe de terminale comme l'art, l'autrui, l'état…) rendez vous sur SOS Philo à l'adresse suivante : http://www.sosphilo.fr.st L’imagination 1. L’imagination éloigne de la réalité • Par définition, l’imagination produit des “images” qui peuvent, soit “imiter” le réel, soit au contraire s’en détacher. Dans un cas comme dans l’autre, la tradition rationaliste est méfiante, et volontiers critique à l’égard de la constitution d’un

prenant un « je » dépourvu e tout repère. Rien ne doit « détourner son attention, ni freiner son effort ». Les personnages secondaires représentent d’expériences ou rêves dont le but est de « les forcer à lui livrer la réalité nouvelle qu’il s’efforce de découvrir ». La technique du cinéma un «rival mieux armé »  doit s’intégrer au roman. Dans le roman la jalousie c’est l’élément psychologique. Le « héros » principal est le narrateur qui n’a aucune identité (origines) au début. Le fait d’être extérieur

son caste, après avoir humanisé ces personnes, on nous introduit à leurs ambitions, et à l’importance que celle-ci peuvent avoir pour eux. L’œuvre est un mélange de style, autant l’on peut y voir des entrevues en plans fixe, des images du type du cinéma direct où l’on suit le sujet dans ses déplacements, ses actions et ses discussions avec la caméra à l’épaule. On peut également retrouver des valeurs de plans qui varient selon l’intention que l’on veut donner, soit des plans très resserrés lorsque

précise. - PLAN MOYEN : le contexte environnant devient de moins en moins présent, le personnage est perçu en son intégralité, la définition en est suffisante pour traduire son attitude. - PLAN AMERICAIN : c’est un plan fréquemment utilisé dans le cinéma américain : les personnages sont cadrés a mis cuisses ou à la taille. - PLAN RAPPROCHE : il s’agit d’un plan qui permet de visualiser le personnege jusqu’au buste, le contexte immédiat est simplement figuré sans grande définition, ce plan est notamment

avait raison depuis le début? Une question sans réponse que seule le spectateur peut se forger. Commentaire: Christopher Nolan avec son dernier ouvre du 7ème art, Inception, nous plonge dans un univers vraiment original et une expérience de cinéma en tout point unique. En effet, Inception est d’abord un blockbuster, un divertissement, mélangeant tous les genres. L’idée de base, la possibilité de rentrer dans les rêves des gens à l’aide d’une machine, relève d'un parfait mélange de grandes œuvres

catégorisé des lycées et universités américaines, il est le souffre douleur mis à l'écart, le freaky («monstre de foire» dont geek est un dérivé étymologique). Il se réfugie alors dans un univers virtuel, moins fade que la vraie vie, il fuit la réalité et ses angoisses en développant un monde imaginaire. Le geek est un enfant qui ne veut pas grandir, il se déguise, regarde des dessins animés, joue au jeux vidéo. Mais c'est cela qui fait la force du geek: son imagination et sa curiosité. Il ne se