Cinéma Réalité

conséquences à l'échelle humaine. La communication, étymologiquement, c'est la mise en commun, la mise en relation des hommes ou des collectivités. La route, la poste, le chemin de fer, le télégraphe ont développé des solidarités nouvelles. La radio, le cinéma, la télévision ont élargi le champ culturel de cette communication démultipliée, jusqu'à tisser un réseau de relations sociales aussi serré que le système nerveux dans le corps humain. En raccourcissant les distances, en accélérant les contacts

Ensuite Bergson relie les artistes à l'art puisque se sont eux qui le produise. Il se demande donc quel est l'intérêt, le but de l'art et montre dans sa question réthorique que l'art sert à montrer une réalité inatteignable par aucun autre moyen, et finalement à atteindre une vision de la réalité plus juste et surtout plus complète. Cependant des conditions doivent apparaitre pour que les artistes puissent nous réveler des choses. En effet s'ils peuvent nous faire apparaitre ce que nous ne voyons

communication et les technologies. Actuellement on fait confiance aux images, on a une foi incroyable en elles (exemple: si on voit une photo de G.W.Bush, on sait que c'est lui même si on ne l'a jamais vu réellement confiance dans l’image considérée comme réalité). L’image agit sur nous car on a confiance en elle, même si on ne les comprend pas toujours bien ou qu’elles nous trompent parfois. Malgré le fait que l'on peut manipuler, modifier les images, on Martens Emmanuel | 1 leur accorde toujours autant

roman, témoigne donc de la mondanité qui règne à Paris durant son époque, de même que Saccard nous montre la spéculation immobilière existant à Paris au XIXe siècle. Dans un second lieu, on peut considérer qu'un personnage appuyé sur la réalité nous ressemble, et que l'on peut donc mieux s'identifier à ce personnage, et les émotions du lecteur sont d'autant plus fortes, puisqu'il vit l'histoire à travers un personnage, ce qui favorise l'expression des sentiments. On peut prendre comme exemple

indifférent ou même nous fait horreur. Au delà du désir de savoir et de comprendre il y a de fait un réel plaisir lié à la connaissance dont les thèmes sont la souffrance d'autrui (horreur des camps par exemple), la violence (guerres,...). L'art embelli la réalité du seul fait de la représenter. Ces exemples permettent de mettre en évidence le pouvoir de manipulation des artistes et à partir de cette idée, on comprend alors pourquoi ils sont toujours l'objet d'une surveillance et d'une censure. En effet, dans

dit souvent que « les goûts et couleurs ne se discutent pas », mais la popularité même de ce dicton devrait nous le rendre suspect. L’on assiste bien souvent au contraire à des discussions passionnées entre amateurs de musique, de littérature ou de cinéma : de quoi s’agit-il lors de ces échanges sinon de chercher à convaincre autrui qu’une œuvre d’art est belle, sublime, voire plus belle et plus sublime qu’une autre ? Mais y parvient-on vraiment ? Est-ce légitime ? Par ailleurs pourquoi cet empressement

.........................................34 3. Première question : pourquoi des choristes ? ........................................................................................................ 36 4. Deuxième question : pourquoi “mythiser” la réalité pour la (re)-présenter ? ...................................................... 38 5. Troisième question : degré de mythisation ........................................................................................................... 40 6. De l'auteur

tout devient possible au niveau de l’imaginaire. » Eric Soyez. + Conte = Epoque floue, imprécise : Cf noirs entre scènes : crée le merveilleux car rompt la continuité d'un espace-temps défini. Collages de scènes. Extrait 2 : Loupe : déforme la réalité de ce que voit le spectateur : réalisme magique en ce sens que la loupe permet de lire l'intérieur de la jeune fille, en proie au mal-être. Lumière qui se focalise uniquement sur Sandra et voix narratrice, la conteuse. La voix de la conteuse transporte

son imagination ?» A l’heure d’aujourd’hui, on peut dire que « victime de son imagination » prend tout son sens. De part la situation économique et la condition psychologique des gens, le monde est envahi d’illusions pour ainsi échapper à la réalité et s’en tenir à l’imaginaire, qui est encouragé par le monde virtuel. Afin de mieux cerner le sujet, il faut définir les deux termes de la problématique « que signifie être victime de son imagination ? ». Tout d’abord, le mot « victime » peut signifier

une toute autre signification, un peu plus restreinte en s’appliquant uniquement pour les productions des beaux-arts, qui d’ailleurs sont pour Hegel au nombre de six : l’architecture, la peinture, la poésie, la sculpture, la musique et la danse, le cinéma devenant au cours du XXème siècle le 7ème art. Par ailleurs, le langage est un système de signes exprimant des idées (F. de Saussure), c’est donc la faculté de parler dans le but de communiquer. De plus l’art et le langage semblent avoir en commun