Circonscriptions législatives françaises

LA NOTION DE CONSTITUTION Le 19 février 2007, le Congrès réuni à Versailles ajoute l’article 66-1 à la constitution française de 1958 ; celui-ci dispose : « Nul ne peut être condamné à mort ». Ce texte ne fait que reprendre une disposition en vigueur depuis la loi de 1981 abolissant la peine de mort, et confirmée par des conventions internationales ratifiées par la France : la révision constitutionnelle ne modifie donc pas réellement le droit français. Elle donne pourtant à l’abolition de la peine

régions (conseils : conseil municipal, le conseil général et le conseil régional) | Ressemblances : même action - transfert de compétences administratives même territoire sur lequel les autorités déconcentrées et décentralisées Circonscription administrative déconcentré et CT décentralisé : les deux insistent sur la commune (le maire a une double casquette),la région, le département même source - toujours un mouvement initié par l’Etat (mouvements qui viennent du centre même

15 novembre 1936, en présence de Léon Blum, qui prononce un discours. Il figure au Tableau d'honneur de la Grande Guerre, sous le prénom Paul. Vie politique Jean Jaurès entre en politique à 25 ans comme candidat républicain aux élections législatives de 1885. Il est élu et siège à l'assemblée nationale parmi les républicains « opportunistes » ou il soutient le plus souvent Jules Ferry. En 1889, Jean Jaurès n'est pas réélu. En 1892, quand éclate la grande grève des mineurs de Carmaux, Jean

discussion parlementaire par le président de l'assemblée ou le Gouvernement (FNR), soit a posteriori par le Premier ministre pour déclasser une disposition de forme législative. Enfin, le Conseil constitutionnel est juge de la répartition des compétences entre l'État et une collectivité d'outre-mer (à ce jour : Polynésie française, Saint-Barthélemy et Saint-Martin). b) Un contentieux électoral et référendaire Le Conseil constitutionnel statue sur la régularité de l'élection du Président

redressement national. J’ai dit à plusieurs reprises que mes engagements constitueraient la Charte de l’action gouvernementale. J’ajouterais puisque le suffrage universel s’est prononcé une seconde fois qu’ils sont devenus la Charte de votre action législative […] ». Ce message adressé au Parlement par François Mitterrand après son élection de 1981 marque la confusion des pouvoirs législatifs et exécutifs, caractéristique du régime Présidentiel. La loi constitutionnelle du 2 octobre 2000 dispose que

Révisions QCM de Sciences Politiques Quizz culture générale – politique et institutions françaises n°2 · Organiser un référendum est du pouvoir du Président de la République · Une motion de censure peut être déposée par les députés · Un jury d’assises pour majeurs est composé de 9 jurés· Le Président de la République peut dissoudre l’Assemblée Nationale · Dans la Constitution de la 4ème République, le pouvoir exécutif était surtout détenu par le Président du Conseil · Le mandat de sénateur est compatible

Fonctionnement du parlement de la Vème République française Parlement bicaméral dominé par l’Assemblée nationale Le Parlement français exerce une grande partie du pouvoir législatif et peut en partie contrôler l’activité gouvernementale, selon la Constitution du 4 octobre 1958. Il est bicaméral, c'est-à-dire composé de deux chambres : L’Assemblée nationale compte 577 députés (nombre maximum qui, depuis la révision du 23 juillet 2008, figure à l’article 24 de la Constitution), élus pour cinq ans

peuple et par le peuple ». Remarquons que cette phrase se retrouve au titre des principes de la démocratie Française (article 2 de la Constitution), sans être cependant explicitée comme LA définition de la démocratie, elle y est affirmée. Pour autant, la qualification de République démocratique se retrouve dans l’article 1er de la Constitution qui énumère les qualificatifs de la République Française parmi lesquels figure celui de démocratique. Mais ce qualificatif (déjà présent dans la Constitution de

Arrêt Jacques Vabre L'arrêt Société des cafés Jacques Vabre est une décision de justice rendue par la Cour de cassation française le 24 mai 1975. Par cet arrêt, la Cour suprême de l'ordre judiciaire reconnaît la prévalence de l'ordre juridique communautaire sur les lois nationales, même postérieures. Arrêt Nicolo Par son arrêt d'Assemblée du 20 octobre 1989, Nicolo (Leb. p. 190, conclusions du commissaire du gouvernement Patrick Frydman), le Conseil d'État a pleinement reconnu la supériorité

délégation de pouvoir donc les collectivités restent soumises au pouvoir central, l’Etat reste la seule et unique source de direction. Elle méconnaît ou minimise donc l'existence de collectivités locales en ne les considérant que comme de simples circonscriptions géographiques de l'État destinées à faciliter et accueillir l'aménagement territorial de ses propres services. Elle exclut tout organe ou service local autonome : c'était, en France, le système de l'an VIII. Du point de vue organisationnel, la