Cité de Westminster

des années 1988 - elles ont été bridées par la crainte de leur dévergondage et de l'instabilité gouvernementale qu'il aurait pu entraîner. Et chacun s'accorde à reconnaître que le Parlement de la Ve République contrôle peu et mal. Au modèle de Westminster, il a emprunté la procédure des questions ; jusqu'en 1995, elles étaient rares - « une séance par semaine » au plus, dans la jurisprudence du Conseil constitutionnel leur était consacrée - et réparties à la proportionnelle des groupes dans des conditions

appliquent le droit canonique. C'est donc contre ces juridictions que va s'élaborer la comune ley, droit anglais des cours royales de justice, celles-ci appelées communément du nom du lieu où elles vont siéger à partir du XIIIème siècle, cours de Westminster. Au début du Moyen-Age, le roi n'exerce que la « haute justice » par le biais de la CURIA REGIS dans laquelle siègent ses serviteurs les plus proches et les grands du royaume. La Curia Regis est la cour des grands personnages et des grandes

lui même. SOLON 6ème siècle avant JC un des premiers qui parle de démocratie. Pour établir les règles de la constitution idéal il avait parcouru l'ensemble des citées grecques. A Rome les décemvirs en rédigeant les 12 tables avait pris le soin d'aller étudier le droit grec. Aristote s'était intéressé à l'étude comparée des 158 citées grecques et barbares. Au moyen âge, ce que l'on appelait les DISPUTES = discussion/débat à la Sorbonne pour comparer le droit romain et le droit canon = droit de

politiques, dégradation qu’il n’envisage pas sous un angle historique mais sous un angle logique. Initialement, nous avons l’aristocratie, c’est à dire le gouvernement des meilleurs qui est fondé sur le culte du bien commun, dans le c’est-à-dire de la cité idéale. Puis vient la timocratie qui est le gouvernement des courageux fondés sur les honneurs, l’oligarchie, le gouvernement de quelques-uns qui est fondé sur les richesses. Puis vient, la démocratie qui est le gouvernement du peuple fondé sur l’égalité

et qu'il ne les tutoyât point. Guillaume répondit que sa conscience ne le lui permettait pas, et le père, indigné et au désespoir, le chassa de sa maison. Le jeune Penn remercia Dieu de ce qu'il souffrait déjà pour sa cause ; il alla prêcher dans la Cité ; il y fit beaucoup de prosélytes. Quatrième Lettre 11 Lettres philosophiques Les prêches des ministres éclaircissaient tous les jours ; et comme Penn était jeune, beau et bien fait, les femmes de la cour et de la ville accouraient dévotement

est interprétée différemment selon les lieux, les époques et les idéologies. La justice des uns, note Mure, est l'injustice des autres. Mais même le droit injuste est du droit et doit être étudié et compris dans son espèce logique, écrit Delvecchio cité par Mure. On comprend mieux ainsi que le droit peut varier selon les systèmes nationaux. C- Troisième partie: Les fondements du caractère coercitif du droit. L'un des problèmes fondamentaux de la philosophie du droit consiste à se demander d'où

Pour faire vite, la compétition serait productive mais douloureuse, la solidarité serait coûteuse, mais réparatrice. A l’heure où le Grand Lyon s’engage dans une démarche visant à reposer la question du sens de la solidarité et de sa place dans la cité, il est important de s’interroger sur cette double injonction. Doit-on considérer qu’il faut d’abord être compétitif pour produire de la richesse à redistribuer ou, à l’inverse, doit-on affirmer que la solidarité d’un territoire est un prérequis pour

Déclaration des droits de 1689 protègent les citoyens anglais contre le pouvoir du roi. L'Angleterre, cette « nation de philosophes », rend justice aux vraies grandeurs qui sont celles de l'esprit. Présent en 1727 aux obsèques solennelles de Newton à Westminster Abbey, il fait la comparaison : à supposer que Descartes soit mort à Paris, on ne lui aurait certainement pas accordé d'être enseveli à Saint-Denis, auprès des sépultures royales. La réussite matérielle du peuple d’Angleterre suscite aussi son admiration

d’élever les homme (Diderot et d’Alembert) mais aussi « l’art d’élever les troupeaux Politique vient du grec polis= la cité, c’est le cadre spatial dans lequel se réunissait les individu. L’idée de politique regroupe les relation entre les individu d’une cité organisé : la société policée (société au sein de laquel les meurs leurs sont adoucies par la civilisation). La cité antique représentait une organisation politique perfectionnée, préfigurant l’état moderne. La politique voulait rapprocher

maritimes et artisanales. Autre élément de l’apport des grecs à l’Europe : la langue, apport politique. Mot politique vient de « politéia » c'est à dire l’art d’organiser la vie de la cité. La Grèce a forgée la notion de cité : « polis », préfiguration de l’état et donc la notion de citoyen. Pour Aristote, la cité est une communauté et la participation commune des citoyens à un système de Gouvernement. De plus, parmi les régimes politiques se développant sur le sol grec, avec Athènes, a donné naissance