Cité des étoiles

Qui vois-tu pendant le générique en noir et blanc ? Hitler Dans quelle ville ? Paris Pourquoi d'après ton cours ? Victoire de l'Allemagne En quelle année se passent les événements du film ? 1942 Que porte l'enfant près du manège ? Étoile juive Que chante-t-on à l'école ? « Maréchal nous voilà » Quel portrait apparaît sur le mur de l'école et dans d'autres lieux ? Pétain A quoi s'oppose l'instituteur ? Au port de l'étoile Sur qui porte le cours des infirmières ? Les

Il se réfugiera en Suisse. Micromégas est un conte philosophique écrit par Voltaire paru en 1762 au XVIIème siècle qui se compose de sept chapitre. L’histoire raconté dans ce conte philosophique est celle d’un Sirien (habitant de Sirius, une étoile de Saturne) qui se prénomme Micromégas est qui décide « afin de se former le cœur et l’esprit » de voyager de planète en planète en quête de connaissance et de savoir. Le titre de l’œuvre est éponyme, le nom du héros est Micromégas (comme d’autre

texte nous montrerons dans quelle mesure ce roman est-il réaliste . Nous verrons en premier lieu comment Zola amplifie le réalisme à l'aide de lieux puis enfin par les sentiments et les relations qu'entretiennent les personnages . Tout d'abord, Zola cite des lieux qui sont réels : « Rouen », « Paris », « Le Havre », « La croix Maufras », « le quartier d'Europe » à paris … même si peu sont présent dans ce livre les lieux y sont décrits précisément : « C'était impasse d'Amsterdam, dans la dernière maison

fantaisie : Michel Décaudin a consacré une étude particulière à la notion de "fantaisie" chez Rimbaud. Il cite d'abord diverses définitions de dictionnaires du XIX° siècle dont celle-ci : "Fantaisie, se dit aussi, surtout en termes de Peinture et de Musique, des ouvrages où l'on suit plutôt les caprices de son imagination que les règles de l'art, mais sans abandonner tout à fait ces dernières" (8° sens, dans le Dictionnaire de l'Académie, édition de 1879). Michel Décaudin note l'usage croissant

Les mamelouks, esclaves blancs venus des steppes turques, prirent la tête des armées des califes égyptiens avant de devenir, dès le XIIIe siècle, des souverains pour qui le sabre tint lieu de droit. Ils firent du Caire la première cité du monde musulman, comme en témoignent aujourd'hui encore plus de cent cinquante superbes édifices. Jean-Paul Roux fait revivre ici pour nous l'épopée de ces mamelouks, soldats, mercenaires et grands princes. « Les esclaves les plus chers du monde » Les Arabes

la désertion Vers 5 à 7 : gradation + parallélisme « Malheur a…/ Honte au… ». « se mutiler » action lâche : stratégie pour éviter le danger, fuite. « Chanteur inutile » inutile a la communauté. « Porte de la cité » métaphore de l’humanité. V 5/7 → « qui se mutile … par la porte de la cité » : fuite ; suicide pour éviter les dangers et les malheurs du monde. Blâme du sentimentalisme mélancolique Vers 8 à 12 : Eloge du poète qui apporte le bonheur « jours meilleurs/utopie » vers 12 : parallélisme

été divisé par deux avec le TGV entre Paris et Marseille, en 1970 on mettait environ 6h30 alors qu’en 2007 on mettait plus que 3h avec le TGV, la réduction est considérable. Les nouvelles constructions de TGV partent toutes de Paris et partent en « étoile » dans toute la France, ces tracés vont vers le nord (Lille), vers l’est ( Strasbourg) et vers le Sud (Marseille) ; des lignes à grande vitesse sont prévus d’être construite vers Bordeaux, l’Espagne, la Suisse et l’Italie afin de desservir plusieurs

- transporter les populations, ce qui permet de déplacer les populations les plus pauvres en périphérie, - créer des axes de circulation et de communication, aérer la ville, - équiper la ville, - et l’embellir pour en faire une cité internationale attractive et touristique, Pour cela, Haussmann va intervenir sur plusieurs niveaux et on va assister à une croissance de la ville par fragments, ainsi qu’à un morcellement par vagues successives. Au niveau global, on compte :

juillet 2004 Sanglots de Guillaume Apollinaire, mis en musique pas Francis Poulenc Notre amour est réglé par les calmes étoiles Or nous savons qu'en nous beaucoup d'hommes respirent Qui vinrent de très loin et sont un sous nos fronts C'est la chanson des rêveurs Qui s'étaient arraché le coeur Et le portaient dans la main droite Souviens-t'en cher orgueil de tous ces souvenirs Des marins qui chantaient comme des

consciences opta irrémédiablement pour la justice et la liberté. L'universalisme perpétuel que continue de susciter le talent de Kateb Yacine à travers ses œuvres et ses prises de positions dénote on ne peut plus clair l'incommensurable tracé de cet auteur, étoile scintillante encore plus présente et pressante dans le ciel de la littérature mondiale. Revisiter l'écriture katebienne, c'est se confronter à un éternel recommencement, dans une double vision : rétrospective et prospective. En effet, passé, présent