Civ 1 30 Avril 2009

droit | | | | | | | | | | | | | |Section 1 : La loi | | | | | | |

Chapitre I – Les caractéristiques du cautionnement Section I – Les critères essentiels du cautionnement § 1 – Le cautionnement est un contrat Dans la pratique, c’est souvent le débiteur qui demande à la caution de s’engager à ses côtés. Le contrat est conclu entre la caution et le créancier et non pas entre la caution et le débiteur. A . Un contrat consensuel 1 ) Le principe Le contrat est formé par un simple échange des consentements. Il n’y a aucune autre cause de validité

notamment par les biens de l'entreprise commerciale et sont, pour la plupart, regroupés sous la notion de fonds de commerce. C'est au fonds de commerce et aux opérations portant sur le fonds que vont être consacrés les développements qui suivent. Section 1. La notion de fonds de commerce La notion de fonds de commerce ne connaît pas de définition légale. Le législateur s'est essentiellement intéressé au fonds pour en régler la vente et le nantissement dans un premier temps puis diverses autres opérations

 de faire retranscrire les actes d’état civil américain dans l’état  civil  français.  Le  ministère  public  s’est  érigé  contre  cette  transcription,  et  le  juge  a  considéré  cette  action (le recours) recevable. Arrêt de la Cour d’Appel du 28 février 2009 : la gestation pour autrui  « est contraire à la conception française de l’ordre public international ». Le Sénat avait demandé à  un  certains  nombre  de  sénateurs  de  créer  un  groupe  de  travail  sur  la  gestation  pour  autrui,  qui  a  rendu un rapport

en fait ailleurs : savoir si l’obligation a été voulue (acte juridique) ou si l’obligation résulte d’un fait hasardeux (fait juridique). 2.2- Classifications en fonction du contenu de l’obligation 2.2.1- Classifications en fonction de l’objet 1. La distinction traditionnelle des obligations de donner, de faire et de ne pas faire Au sujet du contrat, art. 1101, art. 1136 et s. du cc, qui reprennent la distinction en donnant plus de précisions. Cette distinction s’intéresse à la nature de la

une disposition accessoire, une stipulation accompagnant un contrat[footnoteRef:1]. Les parties cherchent ainsi à prévoir et régler les différends potentiels de manière efficace, sans recourir à des discussions interminables ni à des procès coûteux. Leur intention commune est de se soustraire aux tribunaux ordinaires et de confier la résolution des litiges à la décision d'un ou de plusieurs arbitres[footnoteRef:2]. [1: clause compromissoire en droit commercial : thèse pour le doctorat / présentée

conséquences d'une catastrophe environnementale. → Peut-on s'assurer contre n'importe quoi? → De quelle façon est ce qu'on s'assure? c'est-à-dire: Comment être sûr et certain que l'assureur ne va pas devoir indemnisé plus de catastrophe? Section 1: Historique Il est toujours périlleux d'affirmer que tel ou tel évènements est à l'origine d'un phénomène. On peut dire qu'un certains nombres de facteurs peuvent être retenu comme étant à l'origine de la création et du développement de l'assurance

toujours évident de déterminer si la victime doit utiliser la responsabilité contractuelle ou la responsabilité délictuelle, parce qu’il faut non seulement que le contrat existe, mais aussi que l’obligation inexécutée entre dans le champ du contrat. Civ 2ème, 13 juillet 2006 Sur ce point, la jurisprudence a rappelé que l’obligation de sécurité a toujours une nature contractuelle. Cette position a été fortement critiquée par la doctrine. On lui reprochait d’être beaucoup trop sévère avec l’établissement

législatives auxquelles sont assujetties des sociétés soumises à un régime particulier nécessite que l’on examine tout d’abord sa signification (1) avant son champ d’application (2). 1) Signification de l’article 916 de l’AUDSCGIE Pour mieux cerner le sens de l’article 916 de l’AUDSCGIE, il serait indiqué de faire appel à l’avis rendu par la CCJA le 30 avril 2001 en rapport aux questions posées par le gouvernement Ivoirien sur la compréhension que devraient avoir les Etats parties sur l’article 916

Civ. 1re 10 sept. 2014, 13-19015, inédit Sur le moyen unique : Attendu, selon l'arrêt attaqué (Douai, 4 mars 2013), que, le 28 juin 1974, le syndicat des copropriétaires de la résidence Les Jardins du bourg (le syndicat des copropriétaires) a conclu avec la société Schindler cinq contrats d'entretien portant sur les ascenseurs de la résidence ; que ces contrats ont été conclus pour une durée initiale de dix ans, renouvelable par tacite reconduction par périodes successives de cinq ans, sauf avis